Le projet Goro-Nickel, au sud de la Grande Terre, considéré comme crucial pour l’avenir économique de la Nouvelle-Calédonie et l’un...
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Le projet Goro-Nickel, au sud de la Grande Terre, considéré comme crucial pour
l’avenir économique de la Nouvelle-Calédonie et l’un des plus grands au monde
dans son genre, prend un second souffle : la société pilote, Inco, a relancé le
projet fin 2004 après une révision des coûts d’investissement, désormais
affichés à 1,88 milliard de dollars des États-Unis.
Fin prévue des travaux :
septembre 2007, pour une production annuelle annoncée à 60 000 tonnes de nickel
et 5 000 tonnes de cobalt.
Mais Inco a dû subir une nouvelle enquête d’impact
environnemental de son projet, après plusieurs manifestations et blocages
organisés par un comité local, Rheebu Nuu, qui s’inquiète du nouveau procédé
chimique utilisé sur ce site.
Pour ce territoire français doté d’une large autonomie qui possède environ un
quart des réserves mondiales de nickel, un autre projet, au nord de la Grande
Terre, mené par une autre société canadienne, Falconbridge, avait jusqu’au 31
décembre 2005 pour entrer dans sa phase opérationnelle, faute de quoi, en vertu
des accords passés avec la France, le bassin minier sera redistribué.
La société
française SLN, filiale du groupe Eramet, a....
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