L’élection à la présidence de la République (pour un mandat de sept ans), en mars 2002, du général Denis Sassou...
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L’élection à la présidence de la République (pour un mandat de sept ans), en mars 2002, du général
Denis Sassou Nguesso, en l’absence de réels contrepoids institutionnels, n’a offert que la façade du calme
à un régime structurellement instable et incapable de se réformer de l’intérieur.
La paix n’a pas été
définitivement établie avec les milices du chef de guerre «illuminé», le pasteur Ntoumi, dont les
combattants – y compris des enfants soldats – attendaient dans la région du Pool de profiter des
programmes de «désarmement, démobilisation et réinsertion» (DDR).
La nomination, en la personne de
Rigobert Andely, d’un ministre de l’Économie plus technicien n’a pas suffi à calmer les critiques du FMI.
Le pétrole, première richesse du pays, est demeuré au centre des conflits internes et des critiques
externes.
Cette matière première assure 80 % des ressources d’exportation et 60 % des recettes
budgétaires annuelles.
La production est en baisse depuis 2000 à cause du vieillissement des champs en
exploitation.
Or, la transparence dans ce secteur n’a guère progressé, ainsi que l’ont noté le FMI, lors de
la mission d’experts effectuée en février 2004, et le rapport de l’ONG Global Witness (mars 2004).....
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