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MoyenÂge Division de la nature A Jean Scot Erigène B St Anselme: vérité comme rectitude Dieu ne peut être pensé...

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« MoyenÂge Division de la nature A Jean Scot Erigène B St Anselme: vérité comme rectitude Dieu ne peut être pensé qu'existant Dieu ne peut être pensé qu'existant nécessairement � l'autocontradiction de rincroyant --i> L'adhésion de l'incroyant 1 Incroyants Définition de Dieu : ce qui est tel qu'6 priori rien de plus grand ne peut être pensé C St Anselme : r·argument ontologique· Preuve de l'existence Preuve de la nécessité Première Scolastique / Jean Scot Erigme ; Anselme de Canterbury Première Scolastique C'est sur cet arrière-fond que se dresse le célèbre Avec l'effacement progressif de la civilisation � argument ontologique » avec lequel, dans le antique apparaît une époque qui eut pour objet Proslogion, il veut prouver rationnellement principal de conserver et de transmettre le savoir ! 'existence de Dieu, et cela même pour celui qui accumulé. ne croit pas en Dieu : Un phénomène exceptionnel est, à cene époque, Dieu est déterminé comme l'œuvre créatrice de l'lrlandais Jean Scot Erï&ène « ce qui est tel qu'a priori rien de plus grand (de (vers 810-877) qui fut appelé par CiiARLF.s LE plus parfait) ne peut être pensé (aliquid quo CHAUVE à l'Ecole de sa Cour. maius nihil cogitari potest) ». Toutes les aspirations humaines au savoir ont L'incroyant aussi comprend ce principe parce pour point de � la question de la foi en la qu'il se trouve dans son entendement.

Si l'on m8ation.

C'est à la nilD qu'incombe néanmoins admet à prbcot que ce qui est plus parfait n'est le devoir d'expliquer le sens de la révélation.

pas seulement pensé mais qu'en plus, il existe en Aucune contradiction ne peut surgir enbe foi et rialiti a priori, alors doit exister nécessairement « ce qui est tel vraie raison.

On doit suivre I 'auJoriti des Pàes de !'Eglise aussi longtemps que celle-ci est en accord qu'on ne peut rien penser a priori de plus par­ avec la révélation. fait"· Dans le cas d'une contradiction entre l'autorité St ANSELME étend l'argument en constatant que, et la raison, c'est la raison qui 1'emporte d'� la définition de départ de Dieu, la non­ (cf.

p.

12, schéma B). existence d'un tel être est inconcevable, Dans son écrit intitulé De la prithstination, car ce qui existe nécessairement, est plus ElUGl!NE se lance dans une controverse � discu­ parfait que quelque chose dont la non­ existence peut être pensée, et qui existe donc tée, dans la mesure où il monbe que le libre par contingence. arbitre de l'liomme est nécessairement lié à la croyance chrétienne en Dieu.

De plus, il tient la L'argument fut âprement discuté IOUt au long du bonté de Dieu pour inconciliable avec le fait qu'il Moyen Age.

KANT entreprit enbe autres, une ait prévu, à l'avance, pour !'homme les puniuons réfutation de cet argument dans sa Critique th la de ['enfer (l'enfer c'est le repentir). raison pure (cf.

p.

141). Dans son œuvre principale, De la division th la Avant que Dieu n'ait créé le monde, celui-ci se naJure, il distingue trouvait dans son esprit comme !die.

Les arché­ 4 formes de nature : types constituent le.... »

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