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MoyenÂge Écrits bibliques Influences philosophiques Philon d'Alexandrie Platonisme Stoïcisme École d'Alexandrie : Clément d'Alexandrie (vers 145-2151 Origène 1185-2531 A Groupes...

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« MoyenÂge Écrits bibliques Influences philosophiques Philon d'Alexandrie Platonisme Stoïcisme École d'Alexandrie : Clément d'Alexandrie (vers 145-2151 Origène 1185-2531 A Groupes combattus : Thèmes débattus Marcionites Arianistes Donatistes Nestorienistes Monophysistes Pélagianistes Gnose; Écriture canonique Divinité du Fils Théorie des sacrements 1 ou 2 natures dans le Christ Théorie de la grâce Vue d'ensemble '"V'"··-, avec corps sans corps Transcendance sans raison (Animauxl � doué de raison Création 1 Incarnation les sages pré-chrétiens : Participation au logos sans sens (Plantesl � avec sens vivant Tout le logos de Dieu sans vie � Étant B Justin: théorie du logos C Denys l'Aréopagite: gradation de l'être Pères de l'Eglise L'époque des Pères de l'Eglise, dont 1 'étude constitue la Patrologie (mieux connue sous le nom de Patristique), est une phase transitoire de l'antiquité chrétienne, qui va des premiers apolo­ gistes du christianisme, sous les Antonins (11' s. apres J.-C.), jusqu'à la formation de la !Mologie scolastique (vur-JX' ap.

J.-C., cf p.

73).

Les œuvres des « Pères " (patres) ont souvent été considérées comme possédant autant d'autorité que la Bible.

Leur pensée ne possède cependant pas d'unité systématique ou historique. L'œuvre considérable de saint AUGUSTIN constitue une exception. Les infliunces qui ont agi sur la philosophie des Pères provenaient du platonisme, de la philoso­ phie propre à la religion de PHn.oN o'AlExANDRIE (vers 25 av.

J.-C.-40 ap.

J.-C.), du néoplatonisme et du stoïcisme. Les apologistes du Il' s.

ont défendu le chris­ tianisme naissant contre les préjugés et les accusations des« païens ,._ JUSTIN soutenait l'idée que: la venue des sages, avant la venue du Christ, participait déjà partiellement du Verbe (logos) de Dieu par lequel est née la création, et qui s'est incarné en tant que Tout, dans le Christ (se faisant chair). Au courant gnostiqiu, qui cherche à dépasser la simple croyance par une connaissance plus élevée, s'oppose la tentative de Clément d'Alexandrie (vers 145-au plus tard 215) qui veut fonder la véritable gnose chrétienne en coulant dans la forme de la philosophie antique de nou­ veaux contenus apportés par la foi chrétienne.

Il prend ainsi position dans la question controversée touchant le caractère utile, inutile, ou même nuisible de la philosophie pourlafoi. Pour Ci.btENT, la philosophie est voulue par Dieu, et son usage rationnel est salutaire.

Bien que les philosophes grecs aient bénéficié d'une lumière naturelle venant de Dieu, la révélation leur a fait défaut, par exemple, avec l'intuition d'un fondement premier du monde. La contribution de CŒMENT se heurte au net refus de TER1VLLIEN (vers 160-apres 220) de laisser la philosophie s'introduire dans le domaine de la foi: « Jérusalem et Athènes n'ont rien à faire ensemble!,. Avec Origène (vers 185-au plus tard 253), la philosophie commence à s'imposer en tant que réflexion sur les contenus de la révélation. Dieu est immatériel, il a créé le monde à partir de rien.

Son fils est le Logos, il occupe une position intennédiaire entre le Père et le monde.

Les choses du monde sont à l'image du Logos, et non du Père lui-même. A l'origine, Dieu a créé tous les êtres spirituels parfaitement égaux.

Leurs différences viennent de leur libre arbitre grâce auquel ils ont la possi­ bilité de faire le mal.

Les esprits qui sont du côté de.... »

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