MoyenÂge Intellect actif - - Sens universel Image dans le sens individuel 1 Abstraction Images des choses 1 de singulières...
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MoyenÂge
Intellect
actif
- -
Sens
universel
Image dans
le sens individuel
1 Abstraction
Images
des choses 1 de
singulières ! l'intelligible
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Faculté de 1
représentation 1
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Intellect
possible
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species sensibilis
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species intelligibilis
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Faculté sensible Intellect
A
Théorie de la connaissance
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Loi éternelle
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Obligation interne
Règla normative
1î
B
Ethique : la loi
Bian-être de la communauté
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Haute sculastique / Thomas d'Aquin
L'homme est l'union substantielle de l'âme
(forme) et du corps (matière).
Ils sont inséparables
el forment l'unité de la substance de l'homme qui
se trouve ainsi toujours détenniné à la fois spiri
tuellement et corporellement Même si l'âme,
comme anima separata, peul se séparer du corps
après la mort, elle a besoin du corps comme âme
humaine car elle a besoin pour comwùe, de la
perception sensible.
L'homme se trouve ainsi placé au centre de la
création:
U participe au monde du pur esprit grâce à la
raison, et par son corps, au monde de la matière.
La forme de l'âme humaine est située au terme
d'une hiérarchie qui va des corps non animés à
! 'homme, en passant par les plantes et les
animaux.
L'âme contient en oi différentes facultés: l'âme
végétative (force de vie), sensitive (perception
sensible), appétiri,•e (instinct), motrice (dépla
cement), et rationnelle (entendement).
La faculté sensible se divise à son tour en sens
particuliers, sens commun (qui comprend les
objets des divers sens), la faculté de représentation
(qui conserve les images sensibles particulières),
la faculté de juger sensible (une faculté de juger
simple dérivée de la situation concnte), et la
mémoire active.
L'entendement se divise en intellect possible
(intellect11s possibilis), et en intellect actif (intel
lectus agens).
On distingue ainsi chez l'homme la
faculté de connaître et la COMaissance vmtable
ment réalisée.
Le processus lui-même de la
COllll(lissance se imsente de la façon suivante :
Un corps produit d'abord une image dans un
organe sensoriel particulier, de là elle parvient
au sens commun, puis comme image particu
lière (species sensibilis) elle est conservée dans
la faculté de reimsentation.
Nous demeurons jusque-là dans la sphère sen
sible.
Mais comme l'intellect possible se �fère
à l'universel (species intelligibilis), l'intellect
actif entre enjeu.
Il abstrait la forme universelle
du sellsible particulier, et rend ainsi possible la
connaissance dans !'intellect possible.
La détennination transcendantale « bien ,.
(cf.
p.
83) est l'objet de l'ontologie et de 1'éthique.
Le bien est une �té qui se imsente comme
une perfection et qui est donc le but d'une aspi
ration pour un autre être.
Cela vaut pour StTHoMAS, comme pour ARlsroIE:
est bien ce vers quoi chacun tend selon son
essence.
Le but le plus élevé de l'homme, à quoi
tendent les buts particuliers, est le bonheur
(beatitudo).
Comme l'homme, d'après sa
forme, est déterminé par l'ame rationnelle, il
n'atteint le bonheur que dans la conformité de
l'âme à la raison.
St THOMAS distingue, panni les vertus, les théolo
gales et les cardinales naturelles.
Les premières ne
sont accessibles à l'homme que par la grâce de
Dieu (foi, amour, espérance),....
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