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Rou&&eau : Le contrat �ocial Il ny a qu'une aeule loi qui, par oa nature, exige un conaentement unanime. C'eot...

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« Rou&&eau : Le contrat �ocial Il ny a qu'une aeule loi qui, par oa nature, exige un conaentement unanime.

C'eot le pacte aocial: car l'aooociation civile eot l'acte du monde le plua volontaire; tout homme étant né libre et maître de 5 lui-même, nul ne peut, aoua quelque prétexte que ce puiMe être, l'aooujettir aana aon aveu.

Décider que le uila d'une eaclave naît eaclave, c'eot décider qu'il ne naît point homme. Si donc lora du pacte aocial il a'y trouve dea 10 oppooanta, leur oppoaition n'invalide paa le contrat, elle empêche aeulement qu'ila y o0ient compria ; ce aont dea étrangera parmi lea citoyena.

Quand l'ttat eot inotitué le conaente­ ment eot dana la réoidence; habiter le territoire, 15 c'eot ae aoumettre à la aouveraineté. Haro de ce contrat primitiu, la voix du plua grand nombre oblige toujoura toua lea autrea ; c'eot une auite du contrat même.

Maia on demande comment un homme peut être libre, et 20 uorcé de ae conuormer à dea volontéa qui ne aont paa lea oiennea.

Comment lea oppooanta aont-ilo librea et aoumia à dea loia auxquellea ila n'ont paa conoenti ? Je réponda que la queation eot mal poaée.

Le 25 citoyen conaent à toutea lea loia, même à cellea qu'on pau,e malgré lui, et même à cellea qui le puniMent quand il ooe en violer quelqu'une.

La volonté conotante de toua lea membrea de l'ttat eot la volonté générale.

C'eot par elle qu'ila aont 30 citoyena et librea.

Quand on propoae une loi dana l'aooemblée du peuple, ce qu'on leur demande n'eot paa préciaément a'ila approuvent la propooi­ tion ou a'ila la rejettent, maia ai elle eat conuorme à la volonté générale qui eot la leur; chacun en 35 donnant o0n auuurage dit aon avia là-deMUa, et du calcul dea voix ae tire la déclaration de la volonté générale.

Quand donc l'avia contraire au mien l'emporte, cela ne prouve autre choae oinon que je m'étaia trompé, et que ce que j'eotimaia 4° être la volonté générale ne l'était paa.

Si mon avia particulier l'eût emporté, j'auraia uait autre choae que ce quej'avaia voulu, c'eot aloro queje n'au­ raia paa été libre. RousseAu, Du contrat aocial. La loi est souvent èonsidérée comme l'affaire d'une élite politicienne décidant de la vie du reste de la population et comme un instrument d'asservissement et de privation de liberté du peuple.

La « politiq,ue » est, elle.

perçue comme un monde lui aussi élitiste; abstrait, étanche et capricieux.

Pourtant l'homme est le seul animal politiq,ue : tout homme doit donc avoir un véritable accès au politiq,ue car celui-ci fait partie de son essence ainsi q,ue la liberté, condition indis­ pensable d'une organisation politiq,ue légitime. Quel pacte d'association constitutif du peuple P,OUrrait alors permettre l'organisation légitime du corps politique tout en répondant aux impératifs du droit et de liberté 1 ? Le contrat social rousseauiste, basé sur le droit et la raison et af}ant pour but ultime la liberté civile de chaq,ue contractant paraît être une solution répondant à ces impératifs. Mals le caractère radical et absolu des principes de ce pacte n'est-il pas en contradiction avec l'Idée de démocratie ou de république, basée plutôt sur la modération et 1· équilibre2 ? Rousseau annonce tout d'abord 3 la nature du contrat social·� tout ·en rejetant les autres organisations politiq,ues et supposés « droits » q,uïl juge erronés (1.

1/8). Le contrat social est la loi principielle5 fondée sur le droit et par la raison, par laq,uelle 1· orga- ! ; : ; ] i 1 : i ; ; 1) Trop général : le problème porte ici sur le droit d'opposition des minorités en démocratie. D'où la thèse : ce problème ne se pose pas en démocratie. 2) Centrez mieux sur la ques­ tion de la liberté d'opposition des minorités, centrale ici. 3) lacune.

Annoncez la structure d'ensemble : avant et pendant le contrat, unanimité ; après, sim­ ple majorité requise. 4) Insistez sur l'unanimité requise. 5) Bien : définition claire et bien centrée. 6) Oui : loi constitutive du corps politique. 7) C'est pourquoi! 8) Sur la volonté de chacun (= l'unanimité). 9) Explication claire. 10) Évitez «ensuite»! 11) Il insiste donc sur la néces­ sité que la liberté naturelle soit entière au moment de son renoncement. 12) Insistez. 13) Mal dit. 14) Oui : bon effort de défini­ tion. nisation politiq,ue d'une société et la constitution d'un État des citoyens sont possibles et légitimes et par laq,uelle un peuple se constitue6 comme peuple.

L'adhésion.... »

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