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r~vlCÙ 8È 1r6A.e11os àfl'e(po1.atv
La guerre est chose douce pour ceux qui ne l'ont jamais éprou,
vee
ce vers de Pindare (fr.
110, 1 Sn.-M.) indique que toute personne ayant
fait l'expérience de ce qu'est la guerre ne pou11a l'affronter sans trembler : ce fragment nous est parvenu parce qu'il fut cité par une scholie et
le commentaire d'Eustathe (3, 186, 16-18 V.) à un passage de l'Iliade
( t l, 227 sq.) où Hiphidamas s'en allait à la guerre, plein d'ardeur juvénile à l'idée de combattre.
Cet énoncé gnomique, qui est à rattacher au
/(Jpos plus répandu de I'Expertu.î metuit (n.
2046), était célèbre dans
1•Antiquité et fut répertorié par Stobée dans son Florilège (4, 321
Wachsmuth-Hense), de même par les parémiographes (Diogen.
3, 94;
Diogen.
Vind.
2, 16....
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