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Seconde période du XVII!' siècle et première période du XIX' siècle 1 1 ;G 1 1 / • 1 Harmonie...

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« Seconde période du XVII!' siècle et première période du XIX' siècle 1 1 ;G 1 1 / • 1 Harmonie y 1 ' : 1 : 1 1 Faculté de juger Objet Finalité Causalité Représentation A La critique de la faculté de juger • Paix Fédération 1 Plan caché 1 de la nature 1 · --�I ', _ ,r=;::::;;;;::;--'i 1 :a..----"" 1 1 1 1 1 M 1 Civilisation 1 Discipline -- !_ -'f- _I ""'" B 1 10n 1 : 1 1 1 1 1 1 État 1 -- La philosophie kantienne de l'histoire et de la société ~ 1 1 - - Histoire -reÎÏe J.

- - - Histoire natu Liberté - - - - Idéalisme allemand / Kant : Critique de la faaalti de juger Avec la Critique de la facultl de juger, KAN!' L'anthropologie de KANT considère l'homme, au achève en 1790 I' « entreprise attique ".

Dans son contraire de l'animal, comme déterminé non par analyse de la r� de juger, il s'iolaroge sur la l'instinct mais par la raison.

C'est pourquoi chez médiation entre la naJure (cf.

p.

137, CRP) et la l'individu l'éducation doit prévenir une possible liberté (cf.

p.

143, CRPrat).

La farulté de juger est rechute dans 1'état brut, ou état initial de la nais­ présentée comme WJ pouvoir situé entre l'entende­ sance.

L'�ucation doit éclairer, c.-à-d.

non seu­ ment et la raison ; et le sentiment de plaisir et déplai­ lement« dresser,., mais amener l'enfant à penser. sir, qui lui conespood.

est présenté comme situé Elle se réalise par entre la faculté de CODrull"tre et celle de �ircr. « la domestication de la sauvagerie " (disci­ De façon gmmlela faculté de juger est la capa­ line), l'in.structioo pour l'acquisition de l'babicité de subsumer le parti� sous le gmml. et la cultuie. La « faculté de juger rqlichissante », doit per­ La moralisation, qui doit transmettre une dispo­ mettre l'accession au général, le particulier étant sition droite, est fondamentale. donné.

Son �ipe est la�Une autre différence avec l'animal est l'histoire Si la finahtécst subjective, il s'agit de la faculté humaine.

C'est dans ce champ qu' appanu"t le per­ de juger « esthétique " ; si elle est objective, fectionnement, oblenu grice à la transmission de KANT parle alors de faculté de juger « tél�lo­ l'acquis au fil des générations.

C'est par là que la gique ». nature accomplit son plan cac�.

qui consiste à développer toutes ses dispositions dans l'huma­ Dans son traitement critique de l'estMtique KANT nité.

Le moteur en est l'antagonisme de la nature examine le beau et le sublime.

A l'invmcdu beau humaine, son « insociable sociabilité " : le sublime se rapporte à l'illimité, dont la repré­ l'homme aspire à la société et pourtant s'y sentation est accompagnée de l'idée de totalité. L'analytique du beau montre qu'wi jugement L'&on d'une société parfaitement juste est esthétique est, selon les catégories, universel : ce la « tâcbe la plus haute de la nature pour le genre jugement demande aux autres de le suivre et il est humain, parce que la nature ne peut [qu'ainsi) nécessaire parce qu'il fait appel à un sens qui est réaliser ses autres vues sur notre espèce "· commun à tous les hommes.

Dans le jugement Selon la.... »

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