Seconde période du XVIII' siècle et première période du XIX' siècle Gram maire dlc1ion neire objective comparative lJ) Compréhension subjective...
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Seconde période du XVIII' siècle et première période du XIX' siècle
Gram
maire
dlc1ion
neire
objective
comparative
lJ)
Compréhension
subjective
A
divinatoire
Schleiermacher: les méthodes herméneutiques
�\
/
-5Doctrine de la vertu
-
-,,,,Science
État
universellement
Manière de penser
organisent
Doctrine des biens ,.._ symbolisent
individuellement
Doctrine des devoirs
Action
B
Schleiermacher: Êthique
Église
w
Libre sociabilité
Le système de l'lllliq,u (1798) de FlcKra se
constitue à partir des multats de la doctrine de la
science.
Une action est morale lorsqu'elle a pour
fondement, confonnément àl'autonomie absolue
du Moi, la victoiresurtouredq,endancedu Moi à
l'égard de la nature.
Le principe de la moralité repose ainsi dans
l'idée que le Moi « doit déterminer sa liberté
d'après le concept d'autonomie, absolument
sans exception •·
L'action est détenninœ d'après le conœpt de
devoir, de sorte que l'impératifcalégorique devient:
« Agis toujours selon la meilleure conviction
de ton devoir."
Le COlllenU de l'impératif est donc défini dans une
doctrine autonome du devoir.
Le Fondement du droit nahutl (1796) suit égale
ment les principes de la doctrine de la science.
Flarra montre qu'un être raisonnable ne peut
se poser sans s'attribuer une activité libre.
La possibilité de la conscience de soi exige en
effet que le Moi pose hor., de soi IDJC limite de son
activité, c.-à-d.
un monde.
Mais J'impulsion qui Je
pousse à l'autodétennination ne peut être
comprise que comme un appel adressé au Moi par
d'autres êtres raisonnables.
Le Moi ne peut donc
se comprendre comme agissant de façon
autonome que
s'il suppose d'autres êtres raisonnables libres
qui limitent leur champ d'action au profit de ses
propres possibilitts d'action et le reconnaissent
ainsi en tant qu'être raisonnable.
Il en découle que le Moi ne j>CUt se poser sans se
trouver en relation avec d autres êtres raisoo
nables; c'est ce qui constitue la relation de droit.
Le principe général du droit est alors le suivant :
« Je dois dans tous les cas reconn&1"'trc l'être
libre en dehors de Moi en tant que rel, c.-à-d.
limiter ma liberté par le concept de sa liberté.
,.
La condition de possibilité de !'agir dans le
monde sensible est le corps.
Le droit originel de
la personne est par conséquent
le droit à la liberté et à l'intégrité du corps
et à la durée de la libre activité dans le monde.
Dans la communauté cette liberté doit se limiter
en fonction de celle des autres.
Le droit de contrainte sert à imposer les relations
de droit.
Il repose sur un contrat libre et a besoin
d'un Etat communautaire pour l'exercice du pou
voir juridique.
La pWlœophie de la rellgioo contenue dans le
traité Sur la raison de notre croyance en un gou
vernement divin du monde (1798), valut à Flarra
d'être accusé d'athéisme par ses adversaires, car
il y identifiait Dieu à 1'ordre moral du monde.
Dans l'initiation à la vie bienheureuse (1806), il
se rapproche du christianisme, en exposant que la
vie véritable consiste à se tourner vers l'Eternel,
qui doit déjàêtre saisi dans Je monde fini.
« La....
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