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Seconde période du xvnr siècle et première période du XIX' siècle Forme de jupmants B ◄! a A Singuliers (unS...

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« Seconde période du xvnr siècle et première période du XIX' siècle Forme de jupmants B ◄! a A Singuliers (unS estPI Plurahté Afflrm■tifs (SestPI Réalité CatéQonques (Se�PI . . Unrté ! catégories Pert1cullers (quelques S sont Pl Universels (tous les S sont Pl ◄ ◄� 8◄ a 1 Qu � 1 et Totahté Négatifs (S n'est pas Pl lnfinil (Sestnon Pl Négation limitation Disjonctifs (ou bien...

ou bien) Hypothétiques (si.llorsl Inhérence - subsistance Causahté- dépendance Communauté Assertoriques r (cela estl -; . 1 Possibilité- 1mposs1b1hté Existence - non-existence Nécessné- contingence Fil conducteur pour approcher les concepts purs de !"entendement Unité synthétique du divers dans l'aperception -+ ici: Quantité, unité 0 •Je pense• Succession dans le temps tou les corps ...

Qualité, ici :réalité tcoulement réel du tempa : ils .sont pesants .+Relation, ici : subsistance et inhérence Durée: corps (subsistant) masse (Inhérente} Toujours: Las corps sont MCIISSliremem pesants ...

Modalité, ici : nécessité Entendement B Sch6mes Conaissance par l'expérience; • Tous les corps sont pesants• A propos de l'analytique transcendantale Prin­ cipes l l 1 1 Apodictiques (cet!_ est nécessairel11 Problématiques (cela� possiblel Catégories j 1 f �'' "'" Axiome 1 f,-- Analogies � Phénomène , Postulats '2.1 Sensibilité 1 Idéalisme allemand / Kant : Cridque de la ralsoo pure KANT attribue, à chacune des catégories (clics Les principes structurent le champ de 1 'expé­ sont vides à l'origine), un schème qui la rapporte rience objective possible : à l'intuition. ne peut nous apparaître comme objets, ou en L'agent de liaison enlre les catégories et I'intui­ général comme« nature », que ce qui est formé tion est le temps. par les principes a priori de la sensibilité et de Il est la forme aussi bien du sens interne que du l'entendement pur. sens externe et se trouve ainsi au fondement de Car ce n'est que par l'application de ces principes toute expérience. que quelque chose peut nous êlre donné dans A chaque catégorie correspond donc un schème : l'unité synthétique du divers.

Le monde de notre -le nombre, séq�nce temporelle, pour la quan- expérience n'est donc pas un monde de I'« appa­ tité; rence ,., mais du phénomène, qui est nécessaire -le degré de remplissage du temps, de la réalité il obéit à des lois, les lois de notre pouvoir de jusqu'à la négation, pour la qualité; connaJ"tre. -1'ordre temporel (permanence, succession, L'analytique transcendantale s'achève logiquement simultanéité), pour la relation ; par l'opposition en1re phéoomène et noumène : - la modalité se détermine par rapport au temps KANT a limité le domaine de l'activité lui-même: (légitime) de l'entendement au monde des phé­ si une chose est dans un temps quelconque, elle nomènes, c.-à-d.

qu'il l'a liée aux choses telles est possible ; qu'elles nous apparaissent. si elle est dans un temps déterminé, elle est Les choses en soi (noumènes) demeurent incon­ naissables.

Elles fonnent un monde qui est « pro­ réelle; si elle est en tout temps, elle est nécessaire. blématique "• c.-à-d.

possible, dont la fonction Vient ensuite le système des principes.

Les prin­ réside dans la limitation de la.

sensibilité et de cipes indiquent sous quelles conditions l'expé­ l'homme lui-même, puisque les catégories ne rience est possible; ils sont ainsi les lois suprêmes permettent pas à ce dernier de connaître les de la« nature».

Ils contiennent en eux les fonde­ noumènes. ments de tous les autres jugements et constituent Dans la deuxième.... »

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