Seconde période du xvnr siècle et première période du XIX' siècle Impératif catégorique Liberté déterminent la valeur : 1 1...
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«
Seconde période du xvnr siècle et première période du XIX' siècle
Impératif catégorique
Liberté
déterminent
la valeur
:
1
1
1
1
Nécessité naturelle
A
L'analytique de la critique de la raison pratique
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Postulats
Immortalité de l'Ame
17
Dieu-garantit la liaison des deux
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B
La dialectique de la critique de la raison pratique
Idéalisme allemand / Kant : Critique de la raison pratique
L'essentiel de la philosophie pratique de K.wr se
trouve dans les Forukments 1k la métaphysique
iks mœurs (1785) et la Critique 1k la raison pra
tique (CRPrat, 1788).
L' « analytique " de la CRPrat montre que ce qui
importe pour juger la valeur morale d'une action,
ce n'est pas le résultat obtenu mais la volonté qui
l'anime.
Rien ne peut donc être désigné comme
bon absolument sinon une bonne volonté.
La valeur d'une action ne se mesure donc pas en
fonction de lafin visée.
Le but d'une action se situe
en effet dans le domaine de la nécessité naturelle.
Dans leur effectuation, les actions sont soumises à
des contingences empiriques, et rejoignent ainsi
l'ordre des phénomènes au sein duquel il n'y a pas
de plaœ pout la liberté.
Il s'ensuit que seule la
détermination de la volonté, conforme à la raison,
peut constituer la qualité morale d'une action.
C'est Je devoir qui libère l'homme de la détermi
nation par des contingences empiriques fortuites.
Le devoir remplace la nécessité naturelle
« par la nécessité d'une action accomplie par
respect pour la loi (morale) "·
Le devoir oblige le vouloir et l'agir de !'homme à
tenir compte des lois morales issues de la raison,
Dans ce cadre il peut se trouver qu'une action
faite par Inclination corresponde aux prescrip
tions du devoir
K.wr nomme légalité cet agir « conforme au
devoir "• par opposition à la moralité qui, elle,
présuppoee une action accomplie « par ,.
devoir.
Une obligation se présente sous forme d'impératifs.
KANr différencie les impératifs hypothitiques et
catégo•s.
Les premiers ne valent que PaJCC
qu'ils supposent un but visé et n'expriment donc
'l!l'une obligation conditionnelle.
L'impératif caté
goriqae, en revanche, donne valeur à la loi de façon
fonnelle et absolue.
Sa formulation la plus générale
est:
« Agis de telle sorte que la maxime de ta volonté
puisse toujID'S valoir en même temps comme
principe d une législation universelle.
»
Les maximes sont des principes subjectifs.
En tant
que principes déterminants de la volonté, elles
constituent la valeur de cette dernière et donc
celle de l'action en général.
Les maximes ne sont
moralement bonnes que lorsqu'elles satisfont au
critère formel de l'impératif catégorique.
Elles
doivent être constituées de façon à valoir pour
tout être raisonnable.
Par exemple, ce n'est pas le cas de la maxime
d'après laquelle on pourrait mentir : sinon il
faudrait vouloir que tout Je monde mente.
Le jugement synthétique a priori de l'impératif
catégorique est ainsi Je principe formel suprême
que peut formuler la raison, dans une perspective,
pratique pour « contraindre » la volonté humaine :
« Le principe unique de la moralité consiste dans
l'indépendance[...] à l'égard d'un objet désiré et
en même temps aussi dans la détermination du
libre-choix par la simple forme....
»
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