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- Seconde période du xvor siècle et première période du XIX' siècle ~ =-- ===---=== Productivité Substance éternelle A La...

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« - Seconde période du xvor siècle et première période du XIX' siècle ~ =-- ===---=== Productivité Substance éternelle A La philosophie de la nature Bien t Homme Mal B • Recherches philosophiques sur l'essence de la liberté humaine• La pensée de Friedrich Wllhdm Joseph Scbelling (ITTS-1854) a COIIDU d'importantes évolutions. Longtemps tenu pour le brillant second de Flam:, il s•�arte cependant de celui-ci par la conception de sa philosophie de la nature ; sa dernière philo­ sophie laisse appanuà'e l'influence de la pensée mystique et théosophique de JACOB BÔIIME (1575-1624). Un des problànes de fond chez SCiœwNG est l'unitl des oppositions du sujet et de l'objet, de l'esprit et de la nature, de l'idéal et du rœl. « La nature doit être l'esprit visible, l'esprit la nature invisible.

C'est donc ici, dans l'identité absolue de l'esprit en nous et de la nature hors de nous, que le problème de la possibilité d'une nature hors de nous doit se resoudre.

,. Dans le SystàM tk l' idlalinM transcendantal, la �de soi est consid6rée comme le principe supreme du savoir.

Elle se produit elle-même, mais constitue aussi, par une production incons­ citntt, le monde des objets.

Le moi comme sujet est identique au moi comme objet, par le fait qu • en pensant il se fait objet. « Le moi n'est rien d'autre qu'un produire qui devient objet pour lui-même.

» Dans la pbllœoplùe de la nalllrt de SC!ŒwNo, la nature est, en tant que sujet, absolue productivitl, et, en tant qu'objet, simple produit.

S'il n'y avait que la pure productivité, rien de détenniné ne verrait le jour.

Il faut donc qu • existe une action oppos6: qui fonctionne comme ralenlisseme,u, et dont sont issues les formes. La raison du ralentissement réside dans la nature elle-même, en ce qu • elle devient à elle­ même un objet. Ces forces opposées font que la nature est un permanent tkvenir.

L' apparente pennanence de produits est en n!alité une constante reproduction, une destruction et une nouvelle cn!ation penna­ nentes. SCIŒwNG illustre cette idée par l'image d'un œurs d'eau, qui forme en soi.

par la n!sistance d'obstacles, des tourbillons déterminés.

Le contre-aimant des tombilloos naît toutefois de la force du courant.

Eux aussi se maintiennent dans le constant rmouveau des forces antagonistes. La nature entière est anirnœ par la productivité de la vie.

Même ce qu • on nomme l'inorganique est considéré comme de la vie encore non éveillée, endonnie. « Même ce qu'on nomme la matière morte n • est qu • endonnie, comme, par leur finitude, le monde des plantes et celui des animaux [ ...J ,. Dans la nature se produit une évolution, dans laquelle les Connes sont incorporées aux supérieures, tandis que tout est englobé dans la substance éternelle (ou l'absolu). Av� sa philosophie de la nature, SciŒwNo a simplement cherché à dupliquer la doctrine de la science ficbtéenne, la prenant comme un traité de méthode, une sorte d'algNJre métaphysique, faite de signes universels, dont il a voulu que sa propre philosophie devienne I'applicalioo.

Il va donc infmeures Idéalisme allemand /.... »

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