SENG CAN, LE TROISIÈME PATRIARCHE (mort en 606 ?) Pour Edward Conze, professeur à l'Université de Londres, auteur d'un Le...
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SENG CAN, LE TROISIÈME PATRIARCHE
(mort en 606 ?)
Pour Edward Conze, professeur à l'Université de
Londres, auteur d'un Le bouddhisme (Pbp n° 187,
Payot, 1978), dont la lecture reste toujours attachante
et intéressante, le «poème» de Seng Can, intitulé Xing
Xing Ming («Inscription au cœur de la foi», «Inscrip
tion sur l'esprit de foi», «En croyant en l'esprit»;
mot-à-mot: foi, cœur-esprit, inscription), «est l'un des
plus beaux exposés du bouddhisme que je sache» (id.,
p.
232).
Le lecteur dispose aujourd'hui de deux traductions,
accompagnées de commentaires, de ce poème qui ne
comporte que 36 paragraphes de 8 caractères chacun,
soit 288 caractères en tout, ou 6 pages en traduction
française.
Une belle traduction de L.
Wang et J.
Masui
figure dans un très joli petit volume (Les petits livres
de Sagesse, Table Ronde, 1996) intitulé «Zen et
Vedanta», on ne sait trop pourquoi, avec les commen
taires «actuels» d'Arnaud Desjardins.
Une autre tra
duction avec commentaires, tout aussi «actuels», est
due à Dennis Genpo Merzel qui vit et enseigne à Sàlt
Lake City (U.S.A.).
(Au Cœur du Chan, un maitre du
xxe s.
commente le textefondateur du bouddhisme chi
nois, J.
C.
Lattès, 1997.)
Nous renvoyons le lecteur intéressé à ces deux tra
ductions commentées.
Pour le mettre en appétit, en
voici quelques extraits.
A la lecture de ces quelques
lignes on s'aperçoit combien, au....
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