tam bona estfortuna, de qua ni/ possis queri Il n'y a Jamais de fortune, si bonne qu'elle soit, dont...
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tam bona estfortuna, de qua ni/ possis queri
Il n'y a Jamais de fortune, si bonne qu'elle soit, dont on �e
puisse se plaindre
94.
Nul/a
Cette sentence de Publilius Syrus (N 8) possède le même sens que
d'autres fo1111l!les voisines, du type de celle utilisée par Térence (Nostri
nosmet paenitet.
>,
Phormio.
172), ou par Horace au début de son recueil de sat;,es (Nemo
s,,a s,,rte contentus, >)
lorsqu'il se demande pour quelle raison on ne cesse d'envier le sort de
ses semblables, ou encore par Cicéron (Ad familiares, 6, 1, 1 ).
Rappelons en grec un Monastique de Ménandre qui affi1111e : Ka i6(av 4>p6v'1>, Unde queri nequeam.
bona
fors mihi non .fuit i,mquam (Walther 32155c) et....
»
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