Devoir de Philosophie

Texte de la copie Montaigne au xvie siècle écrivait : « La force, la violence peuvent quelque chose, mais non...

Extrait du document

« Texte de la copie Montaigne au xvie siècle écrivait : « La force, la violence peuvent quelque chose, mais non pas toujours tout.

» II citait là deux formes d'intervention en vue de régler tout problème national ou international.

De nos jours, cette affirmation se s discute et s'explique encore car elle s'applique à de nombreux événements mondiaux, et même à la vie de chaque jour.

Mais aujourd'hui, peut-on justifier et démontrer cette déclaration ? Ces deux mots cités dans Les Essais n'ont-ils pas pris un autre sens ? Montaigne avait à ce moment une bonne vision des choses et écrivait cette phrase à juste titre.

La force et la violence pouvaient être un moyen de mettre fin aux querelles politiques et religieuses fréquentes à cette époque.

Les idées opposant des hommes ou des partis provoquaient comme aujourd'hui des bagarres, des mouvements de force, des crimes...

La violence pouvait être une manière de survivre. En effet, les paysans et les ouvriers étaient malheureux à cette époque.

Beaucoup d'entre eux se sont transformés en pilleurs dans les campagnes.

Les mouvements massifs et revendicatifs aujourd'hui fréquents étaient connus par l'auteur.

Ils se formaient surtout dans les villes.

Toutes ces actions ne pesaient guère car les moyens de communication n'étaient pas rapides.

La population avait donc des difficultés à former un groupe massif.

La phrase de Montaigne signifie bien une juste pensée.

Grâce à ces méthodes parfois violentes, il se produisait peu à peu une prise de conscience des gens. Mais le bénéfice de leur action n'était pas déterminant.

Bien souvent les nobles gouvernant ne leur donnaient rien et tout le monde restait pauvre.

Bien au contraire, les charges étaient augmentées.

Montaigne pensait aussi aux problèmes internationaux. Lorsque deux pays avaient des idées opposées sur leurs institutions et leurs idées, la tension grandissait de jour en |our entre les deux nations.

Évidemment, la guerre éclatait.

Mais les problèmes n'étaient pas résolus.

Après le conflit une barrière séparait toujours les deux Etats bien qu'un traité de paix ait établi des accords concrets. Montaigne affirme là que parfois les problèmes, bien que partiellement résolus, demeurent. De nos jours, la violence grandit.

Les statistiques le démontrent.

De grandes villes comme Marseille, Paris, Chicago, New York et bien d'autres connaissent une forte criminalité.

Les vols et attaques à main armée sont nombreux.

Les auteurs de ces faits ne se sentent pas bien dans la société et l'expriment de cette façon.

Mais leur action ne s'avère pas bénéfique à leur égard.

Ils se retrouvent souvent aux mains de la police bien que celle-ci soit dépassée par les événements.

La violence n'a donc rien apporté dans ce cas.

Pour éviter de telles choses, il.... »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓