Turkménistan (1996-1997) Le pouvoir autocratique du président Separmourad Nyazov (objet, sous le nom de "Turkmenbashi", d'un culte de la personnalité...
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Turkménistan (1996-1997)
Le pouvoir autocratique du président Separmourad Nyazov (objet, sous le nom de
"Turkmenbashi", d'un culte de la personnalité chaque année plus développé) a
semblé stable.
La crise économique s'est néanmoins aggravée et a entraîné une
paupérisation générale se traduisant par des manifestations sporadiques.
Sous la
pression du FMI, le gouvernement a mis fin, en juin 1996, aux subventions
généreuses pour les produits de base.
Le seul espoir était donc de réussir à
exporter le gaz (il y aurait de 12 à 21 trillions de mètres cubes de réserves,
plaçant le pays au troisième rang mondial) sans passer par la Russie, qui
commercialise pour elle-même le gaz exporté vers l'Ouest.
Le Turkménistan a donc
signé plusieurs accords avec la société américaine Unocal pour la construction
d'un gazoduc passant par l'Afghanistan.
Il a aussi essayé de se désenclaver par
l'Iran.
La ligne de chemin de fer Sarakhs-Meched-Tejen a été inaugurée le 13 mai 1996.
Elle relie le Turkménistan au port iranien de Bandar Abbas, mais reste encore
insuffisante pour évacuer la production de coton.
La construction d'un gazoduc
Turkménistan-Iran, avec lien possible....
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