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�:��:::;·��::;�;:� �:;::���: • Une conspiration en 1537: œuvre de la maîtresse de Musset, George Sand, écrite sans doute en 1830-1831....

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« �:��:::;·��::;�;:� �:;::���: • Une conspiration en 1537: œuvre de la maîtresse de Musset, George Sand, écrite sans doute en 1830-1831.

George Sand ne publie pas son manuscrit mais le donne à Musset.

Celui-ci reprend une vingtaine de répliques et étoffe considérablement la trame narrative de George Sand qui faisait du meurtre d'Alexandre une intrigue de palais resserrée sur quelques heures. • La Storia Fiorentina de Benedetto Varchi : histoire de la famille des Médi­ cis de 1_527 à 1538, rédigée à la demande de Côme de Médicis (successeur d�lexandre).

Cette chronique italienne sans complaisance s'appuie sur des documents d'archives et sur le témoignage de différentes personnes, dont Lorenzo.

Au x1x• siècle, l'engouement des Français pour l'Italie explique que George Sand et Musset, qui ont voyagé en Italie, s'intéressent à un tel ouvrage. • Shakespeare et les romantiques anglais et allemands : Musset affirmait, adolescent, qu'il refusait d'être écrivain à moins d'être « Shakespeare ou Schiller ».

L'.attitude de Lorenzo rappelle celle du Hamlet de Shakespeare. Afin de venger le meurtre du roi son père, Hamlet doit tuer son oncle qui s'est emparé du trône et a épousé la veuve.

Pour cela, il simule la folie. • Déçu par l'échec de sa première comédie La Nuit vénitienne, en décem­ bre 1830, Musset renonce à écrire pour la scène.

Il confie Lorenzaccio en juin 1834 à La Revue des Deux Mondes.

Il publie ensuite son œuvre en volume, avec Dès que possible, insistez· On ne badine pas avec l'amour, sous le titre sur le paradoxe què · Un spectacle dans un fauteuil.

Le but de constitue cette œuvre : une Musset est clair : il veut donner libre cours à pièce de théâtre qui n'est son imagination et à celle du lecteur, plutôt · pas destinée à être jouée et que d'assujétir son œuvre aux règles et con­ ..qui le sera des années après traintes de la représentation théâtrale. la mort dé:l'auteur.

· · • À la publication du livre, la critique reste silencieuse, déroutée sans doute par la forme et l'écriture exhubérante de Lorenzaccio.

Sainte-Beuve, célèbre critique littéraire, reconnaît en 1836 « bien des jets d'une superbe vigueur » mais applique à Lorenzaccio la réplique de Valori à Tebaldeo : « Sans compliment, cela est beau ; mais non pas du premier mérite il est vrai ».

Seul Théophile Gautier vante les mérites de la pièce: « une admirable étude dramatique qu'aucun maître ne désavouerait, une magnifique étude philosophique, d'un comique terrible et douloureux». mtt.Jbiffl®M4 ,ifülll·Mitmdt:14hD • La première fois que la pièce est jouée, une grande actrice rêve d'endos­ ser le rôle de Lorenzaccio, Sarah Bernhardt.

Elle demande à Armand d'Artois d'adapter le texte pour la scène et celui-ci opère de larges.... »

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