Devoir de Philosophie

Vous êtes observateur => vous devez vous tenir à votre propre point de vue. Vous ne pouvez rendre les impressions...

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« Vous êtes observateur => vous devez vous tenir à votre propre point de vue.

Vous ne pouvez rendre les impressions d’une femme ou la volonté d’une autre… • Commentez => vous devez donner votre avis.

Vous pouvez donc être ironique… Nous allons commencer à rédiger votre devoir.

À vous de le continuer, de changer les exemples, de l’adapter à votre goût… …Nous sommes le 9 janvier 2008.

Il s’agit d’un mercredi car les soldes commencent toujours le mercredi.

Devant renouveler ma garde-robes, je me rends aux Galeries Lafayette (Printemps / Naf-Naf, Célio…), à l’heure d’ouverture (prévue à 8h, au lieu de 10h comme les jours habituels).

Je suis arrivée à 7h58 devant l’entrée principale du magasin, pensant être la première et ravie de ne pas avoir à faire la queue.

Quelle déconvenue ! Le trottoir est déjà rempli de monde.

Hommes et femmes se poussent pour être le plus près de la porte (qui est encore fermée).

J’entends des rires, des gloussements de futurs clients déjà aux anges à l’idée de faire de bonnes affaires.

8H00.

Les rires deviennent des soupirs, on se presse sur la porte.

« Qu’est-ce qu’ils font, grommelle une femme, je n’ai pas que ça à faire ».

« Sont pas capables d’être à l’heure » soupire un jeune homme.

8h01.

Le stress grandit.

Vont-ils ouvrir ? Je me suis décalée de l’entrée, je n’ai pas envie de me faire piétiner et cette impatience me gêne un peu : tant d’excitation pour seulement des soldes… 8H02.

La foule commence à gronde et les gens se poussent de plus en plus.

8H03 : merveille ! Un employé ouvre la porte : la marée humaine s’enfonce dans le magasin en courant.

Ce ne sont plus que des pas rapides, des cris, des sauts, des bonds vers les vêtements / les sèche-linge / les télévisions (à vous de choisir !).

Une femme, plutôt jolie, élégante surtout, se rue sur un tailleur marqué à 50 % mais, surgit de sa droite une autre femme, également jolie mais blonde cette fois-ci, qui s’empare en premier du cintre. Catastrophe ! La première dame s’énerve de dépit et crie à la seconde : « c’est.... »

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