xv1r siècle et première période du xv11r siècle Idées sensibles Constance Ordre Intensité Perception permanente Idées de l'lmaglmdlan arbitraires Esprit...
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«
xv1r siècle et première période du xv11r siècle
Idées sensibles
Constance
Ordre
Intensité
Perception
permanente
Idées de l'lmaglmdlan
arbitraires
Esprit fini
(Hamme)
A
Esprit infini
(Dieu)
Les idées et l'esprit
r.:r:.J
/'--
B
affecte
Dieu coordonne les perceptions.
D
□----�
L'homme
Erreurs
de langage
Le mouvement
D
La matière
Abstractions
C
Critique de la théorie des idées abstraites
Complexe d'idées déterminées
Empirisme / Hume
Le projet fondamental de David Hume (17111776) est c d'introduire dans la science de
l'homme la méthode d'investigation empirique,.,
c.-à-d.
de s'appuyer sur l'expérience et l'observa
tion.
U développe, dans cette perspective, un
scepticisme mesuré, qui opàe une limitation
critique des possibilités de connaissance de
l'homme.
Son oeuvre principale est le volumineux
Traité de la nature humaine, suivi de traités plus
courts sur la connaissance, la morale, la politique
et la religion.
KANT saluera en HUME celui qui l'a tiré de son
« sommeil dogmatique ,._
Le eul objet immédiat de notre expérience, cc
sont nos contenus de conscience (perceptions).
Ils
se divisent en deux classes:
les impressions, et les Idées ou pensées (ideas).
Les impressions sont toutes nos perceptions
sensibles et internes (affects, émotions, actes
de volonté), telles qu'elles se manifestent
directement dans l'ime.
Les idées sont des
copies des impressions que nous percevons
lorsque nous avons affaire à ces dcmi�rcs sous
la forme de r6flexion, de souvenir ou d'imagi
nation.
Ces deux classes se distinguent par leur degn!
d'intensité, comme par exemple entre la sensation
de douleur à l'occasion d'une blesswe et le sou
venir qu'on en a.
Les impressions produisent les idées simples.
Ainsi
il est impossible de se représenter ou de penscc
une chose qui n'ait éré auparavant donnée dans
la perception immédiate.
L'homme a ccpeodant la capacité de former, à
partir de ces idées simples et au moyen de son
imagination, des idées complues, qui ne provien
nent donc pas de la perception immédiate.
L 'eochaînemc:ot des idées suit la loi de l' as,oda
tioo, qui exprime la tcodancc à� de cataincs
idées à d'autres, d'aqris les prmcipes suivants:
ressemblance, contigw'l6 dans le temps ou
l'espace, cause et effet.
Un concept n'a de signification que si l'on réduit
les comPo58n.!.8 de l'idée qui lui correspond à des
impressions.
Et comme on oc peut le faire pour les
concepts métaphysiques, ces derniers sont à
exclwe de la philosophie.
« Quand donc nous soupçonnons qu'un terme
philosophique est employé sans aucun sens, ni
aucune idée correspondante (comme cela se
fait trop fréquemment), nous n'avons qu'à
rechercher de quelle impression dérive cette
idée supposée.
,.
Il s'agit à présent de savoir comment nous parve
nons aux jugements qui vont au-delà de notre
perccptioo immédiate et de notre souvenir.
HUME
distingue d'abord les jugements portant sur des
relalions d' idJes (vairés rationnelles) et ceux
portant sur des faits (vairés de fait).
Les premiers appartiennent au domaine des
mathématiques et de la logique ; dans ce cas il
est possible d' 11C9Uérir une certitude absolue,
puisque le conttauc d'une vairé conceptuelle
est logiquement impossible.
Ces jugements ne
contiennent en revanche aucune indication sur
la r6aliré....
»
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