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xv1r siècle et première période du xvnr siècle Axiomes Propositions Définitions 1. Proposition 19: Dieu est éternel, autrement dit les...

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« xv1r siècle et première période du xvnr siècle Axiomes Propositions Définitions 1. Proposition 19: Dieu est éternel, autrement dit les attributs de Dieu sont éternels Démonstration A Scolie La méthode géométrique (ex.: Éthique, 1, 19) Une substance (Dieu) Étendue B La Substance, les Attributs et les Modes Pensée Ratlooalisme / Splnœa Baruch (Benedlctus) de Spioou (1632-16TT) est Dieu au contraire est un êR absolument infini, qui W1C des figures les plus considmbles de la n'enveloppe aucune négation (limitative) et philosophie classique, tant à cause de la rigueur consiste parCODKqumt en une infinitéd'attnl>uts. systématique de son œuvre que par l'acuité de son SPINOZA déduit de cela que Dieu existe nécessaire­ esprit critique - qui lui a valu d"être accusé ment, qu'il est la seule substance et qu'il est donc indivisible. d'athéisme. Le Trait/ de la rlforme de l'entendement, consi­ Les choses étendues et la pensœ sont par consé­ quent soit des attributs de Dieu, soit des affec­ déré comme W1C sorte de prop6deutique à l'éthique, servit à la préparation méthodologique tions des attributs de Dieu. de sa doctrine.

Son œuvre maîtresse, l' Ethique SPINOZA détermine d'abord qui est la substance (16TT), est rédigœ selon l'ordre géométrique infinie, et ensuite, qui sont les modes finis (le (lat.

more geometrico demonstrata), tout comme monde et l'homme).

La différence peut aussi être son premier 6crit, les Principes de la philosophie exprim6c avec d'autres cooccpts que substance et accident: de Descartes (1663). notura naturans et natura naturata ; Oiaque partie se compose de définitions, d'axiomes, de propositions - avec leurs la nature natutanle n'est pas identique à la nature démooslrations-, de corollaiies et de scolies, de nalllrée.

Mais : remarques et de postulats (schéma A).

« Les « Tout cc qui est est en Dieu, et rien ne peut sans Dieu être ni êR conçu.

,. corollaires viennent compléter les �ilions, alors que les scolies sont des additifs à tencut A la question de savoir si cela ne confond pu Dieu et le monde, SPINOZA répond notamment ceci : souvent polémique.

• « Mais s'il y en a qui pensent que Dieu et la L'onlre mathématique (comme dans les Sommes nature (par quoi ils entendent WIC masse ou une du Moyen Age, ou comme on le trouvera plus tard matière corporelle) ne sont qu'une et même dans le Tractatus /ogico-philosophicus de Wrrr­ OENSTI!IN) n'est pas un simple aménagement de la chose, ils sont totalement dans I 'CITCut.

,. présentation.

Il exprime le fait qu'en philosophie, L'équation« Dieu ou [encore] la nature" (Deus si�, natura) signifie que comme dans les mathématiques, à partit des principes premiers toutes les autres Dieu est la nature créante (naturans) et que tout cc qui est est advenu par lui (naturata) et est propositions sont dlductibles. aussi par lui maintenu dans l'être. SnNOZA entend ainsi mootrer que cette forme de pr6;entation se ffl:lame de normes de vérité supé­ Toute t:011Missance doit donc saisir les attributs ou modes de Dieu,« et rien d'autre•· rieures à celles qui valent habituellement : elle laisse de cml la question humaine de laJin.

La.... »

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