XX' siècle Catégories fondamentales ex: substrat-relation/ discrétion-continuhé Idéal par ex. Valeurs possible · · · Détermination •·•· Transformaûon réel ···:...
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«
XX' siècle
Catégories fondamentales
ex: substrat-relation/ discrétion-continuhé
Idéal
par ex.
Valeurs
possible
· · · Détermination
•·•· Transformaûon
réel
···: Rupture
nécessaire
-· Novum
catégoriel
•••• Retour
anorganique
Les catégories de Hartmann
1
déterminent un nouveau contenu
Nexus
B
Loi des niveaux
Réel
Catégories modales
A
La philosophie organistique de Whitehead
.1
Nicolai Hartmann (1882-1950) tente d'élaborer
une « nouvelle oolologle ».
Le fondement en est
l'abandon de la tradition subjectiviste, qui consi
dère la comiaissance comme une production de
l'objet.
Au contraire, les actes cognitifs sont transcen
danls, c.-à-d renvoient au-artition
dans différentes sphères d' itre, par exemple
en être réel (temporel) et en être idéal (supra
temporel) l'essence et les valeun;.
HARTMANN affirme, pour la sphère du réel, la
coïncidence du possible, du réel et du nécessaire.
- Les catégories fondamentales : elles aussi sont
valables pour tout être.
HARTMANN roumère
entre autres :
« 1.
Le principe et le concretum.
2.
Lastructure
et le mode.
3.
La forme et la matière...
»
- Lea catigories particulières : par exemple
celles de la physique, de la biologie, des mathé
matiques.
Selon 1es catégories concernées, au sein des
sphères 1'être doit encore être divisé plus pr6cisé
ment en de� ou slralesL'être réel, par exemple, se divise en anorga
oique, organique, intellectuel et spirituel.
Chaque strate supérieure recouvre la pr6cé-
dente.
HARTMANN détCIIDine des lois des strates, par
exemple, les catégories d'une strate inférieure se
retrouvent dans la suivante, mais non l'inverse.
Comme les cau!gories sont élargies dans la strate
sup4!rieure, et que les catégories propres de cette
dernière en déterminent le caractère, une ditermi
nation par le bas est exclue.
C'est bien plutôt la
strate supérieure qui déteIIDine ) 'inférieure.
Alfred Nordi Wlûtehead (1861-1947) développe,
dans son ouvrage Processus et Réalité (1929), une
explication spéculative du monde.
Dans cet
« essai de cosmologie » il entend corriger
quelques malentendus de la pensée occidentale
La« bifurcation» (Aufg•l1111g) de l'esprit et
de la matière est critiquée au même titre que la
division classique en substance et accident, ou
que les rqnsentatioos traditionnelles du
temps.
WHITEHEAD entend échapper à l'illusion qui mu't
de la confusion de l'abstrait et du concret (fallacy
of misplaced concreteness).
Sa philosophie veut
se distinguer par son adéquation.
Elle doit
Nicola.i Hartmann ; Whitehead
« foIIDuler un systmle cohérent, logique et
nécessaire des idées générales, à l'aide duquel
tout élément de notre expérience se laisse inter
préter».
WHlTElll!AD élabore pour cela un sys�me
complexe de catégories qui cherche à saisir tout le
réel.
N'est considéré comme réel, au sens du
« principe ontologique », que l'individuel
concret.
Tout le réel est �énement à l'intérieur d'un pro
cessus dans lequel il acquiert une « immortalité....
»
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