XX' siècle Étoile du matin l' sens différent même référence se lève se lève --------------­ Étoile du soir même référence...

« XX' siècle Étoile du matin l' sens différent même référence se lève se lève --------------­ Étoile du soir même référence sens différent Ulpa navigue sur référencé le référencé navire sans référence référenc6 sans référence A Frege ·sens et référence· Faits atomiques Isomorphisme �--f Objet \._},Il Propriété Relation B L'atomisme selon Russell bleue (adjectifl est(verbel Pbilœophie analytique F.n philosophie, l'analyse est la méthode qui consiste à réduire des expressions complexes en expressions plus simples et plus fondamentales. Le domaine propre de l'analyse est le lupge. On peut définir la pbllosopbie analytique comme l'étude qui se consacre à l'élucidation d'une expression et à l'éclaircissement de son emploi dans le discours. Elle étudie la signification de concepcs et d'énon­ œs, le contexte de leur emploi, et d6cide de la correction logique de descriptions. En somme, la philosophie analytique permet de concevoir une nouvelle méthode en philosophie, dont le cœur est l'analyse du langage dans tous ses rapports avec la réalité.

Au départ, elle ne s'inté­ resse pas à la constitution d'un système, mais veut être un instrument qui libère une théorie philoso­ phique d'obscurités de langage.

On peut dire avec GllBERT RYLE « La tâche d'un philosophe ne s'épuise pas dans le fait d'être un philosophe, un expert, mais dans celui d'être philosophe d'un philosophe.

» C'est dans la logique que l'analyse recherche les fondements les plus profonds du langage, par exemple à propos de la signification des notions de« vérité»,« définition »,«grammaire», etc. Gottlieb Frege (1848-1925) est tenu poor un des pères de la logique moderne et de l'analyse du langage.

Il développe une théorie qui, à une expression, une formule ou une proposition, attribue deux choses : le sens et la r«innce. « Scott » et « l'auteur de Wavtrley • ont la même référence : la personne « Walter Scott ». Mais elles ont un sens différent.

« L'actuel roi de France » a bien un sens en tant qu'expres­ sion, mais n'a pas de référence. FREGE emprunte à LEIBNIZ le concept de « substi­ tution,.: « Des cboses sont identiques, qui peuvent se remplacer (substituer) mutuellement, sans que par là la vérité soit changée (sa/va veritaJt).,. Si donc un composant essentiel d'une expres­ sion est remplacé par un autre élément de même référence, le sens en est changé, mais pas la réfé­ rence. George Edward Moore (1873-1958) développe l'analyse en menant une discussion critique avec la philosophie idéaliste, dont le représentant anglais le plus notoire est BRADLEY.

Il lui oppose les opinions inattaquables (truisms) de l'entende­ ment commun (common sense). Si le common sense est institué comme fonde­ ment, l'analyse est alors en mesure de clarifier les presuppositions cachées et les absurdités logiques contenues dans les théories philosophiques. Dans ses Principia Ethica, MOORE tente de clari­ fier l'emploi du concept« bon».

F.n son temps, HUME avait qualifié de paralogisme le passage d'énoncés d'être à des énoncés de devoir.

Partant de la perspective analytique, MOORE en vient à conclure que« bon» n'est pas davantage.... »