xx• siècle guidage de l'instinct intégral A La position particulière de l'homme dans le règne animal Être vivant qui lait...
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xx• siècle
guidage de l'instinct
intégral
A
La position particulière de l'homme dans le règne animal
Être vivant qui lait
un apprentissage
Connaissance
acquise
Comportement acquis
Déterminisme
génétiqu
r
Nâtûrë
Information
juste
�
La vie est un apprentissage
B
La théorie évolutioniste de la connaissance
Comportement héréditaire
C
l'étude du comportement
Sciences / La biologie
Les théories biologiques de la descendance ne exemple la mécanique ondulatoire et la physique
pouvaient pas ne pas avoir de retentissement sur atomique).
Nos formes intuitives héréditaires de
l'espace, du temps et de la causalité revendiquent
l'anthropologie au sens large.
La comparaison avec l'animal fait apparaître des par conséquent la plus grande vraisemblance, mais
non pas la certitude définitive.
D'après UlRENZ :
particularités biologiques chez l'homme :
- Un développemenJ embryonnaire r61uit.
" Notre hypothèse de travail est donc : tout est
hypothèse de travail.,.
A sa naissance, l'être humain est loin d'être achevé.
Du coup il demeure, et pendant une longue période, D'après UON BRUNSCIMCG (1934) on nomme
soumis à un modelage qui n •est plus naturel mais « appareil ratiomorphe ,.
cette fonne héréditaire
d'évaluation du monde extérieur.
RIEDL l'analyse
culturel.
en une série d'hypothèses :
- Un grand nombre de manqUl!s.
L'homme, par manque d • armes biologiques (dents, - L'hypothèse comparative : pour des objets iden
griffes, rapidité de déplacement, etc.), en est r61uit
tiques nous supposons des propriétés identiques.
- L'hypothèse de dépendance : nous supposons
à des auxiliaires culturels.
des exemples d • ordre dans le monde.
- La réduction de l'instinct.
Au contraire de l'animal, ! 'homme n • est pas déter La répétition de structures (hypothèse nonnative)
miné par l'instinct.
Tandis que, grâce à l'instinct, - La constance dans la combinaison de certains
l'animal est intégré à son milieu, l'homme sort de repères (interdépendance) - Chaque chose à sa
ce rapport d'intégration.
On fonde ici positivement place (hiérarchie) - Constance dans le temps : la
l'idée selon laquelle l'homme est " ouvert au tradition.
monde» (Sc!ŒŒR) ou «excentrique» (Pu:ssNER).
- L •hypothèsefinaliste : par analogie avec les fins
humaines nous supposons des fins objectives et
La biologie s 'intéresse également aux différences
générales.
entre l'homme et l'animal, mais en partant d'une
- L'hypothèse de causalité: nous supposons pour
base génétique liée à l'évolution
toute chose une cause de type linéaire.
" Seul le cerveau, le larynx et les mains sont
Celle-ci ne prend par exemple pas en considéra
{...] en développement progressif» (R.
RIEDL).
tion la rétroaction et les réseaux de causes.
Inver
En particulier, l'homme se distingue par son intelli
sement, d'une cause connue nous attendons une
gence relativement grande, ses aptitudes manuelles
conséquence déterminée (hypothèse exécutive).
spécifiques et son langage articulé (la « pomme
d'Adam»).
C'est surtout dans le cadre de la tension éthique
A côté de l'�tude de la constitution organique, qui produite par le débat entre tenants du comportement
relève de fait du dotnaine de la biologie, et des acquis et partisans de l'inné, c.-à-d.
entre le béha
tentatives, notamment celles conduites par la viorisme et le déterminisme génétique que la
théorie du système, pour démontrer....
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