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XX' siècle Image du monde d'un observateur mobile avec v = constante ����i��;a���� statique V=C Signal lumineux Ailleurs Temps Arrivée...

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« XX' siècle Image du monde d'un observateur mobile avec v = constante ����i��;a���� statique V=C Signal lumineux Ailleurs Temps Arrivée des signaux lumineux UIIII I daAdansletrain -----------deAe1e surlaremblai deBdansletrain ---- --- - ------• Signal , lumineux Passé A A Espace-temps B Relativité de la simultanéité Le continuum espace-temps o;z rrITT Courbure bi-dimensionnellê de l'espace A B � 11111 111 � 1 l Espace fini limité Figure d'interférence avec le trou A ouvert Espace ouvert Pos�"'e19ile X 1 avec le trou B ouvert 11111!�11 II 1111111 n Somme des figures d'interférence de A et B Figure d'interfélence effective quand A et B sont ouverts La courbure de respace autour du soleil C Les schémas de la théorie de la relativité générale 0 La physique quantique: l'expérience des trous de Young C'est Albert Einstein (1879-1955) qui, le premier, remit en question le caractàe absolu de l'espace et du temps de NHW!ON, qui deviennent relatifs au cadre de référence choisi, et ainsi modifia la repré­ sentation physique du moode. La théora de la relativité restreinte, formulée en 1905, repose sur deux postulats: - Le principe de relativité « Il est impossible de déterminer un système de référence absolu sur la base de phénomènes phy­ siques quels qu'ils soient.

,. Dans tous les référentiels qui se trouvent en mou­ vement unifonne (référentiels d'inertie), les uns par rapport aux autn:s, les lois de la nature sont identiques.

C'est pourquoi on peut considérer tous ces systèmes comme �uivalcnts. - La constance de la vitesse dt la lumière. Il en résulte une relativité de la simultanéité ; comme le monttc l'exemple d'un train : Sur une voie ferrée tombent deux \!clairs A et B.

Situl! sur le remblai, à �uidistance des deux, un observateur enregistrera les signaux lumi­ neux simultaœment.

En revanche, les deux \!clairs paraîtront décalés à un observateur plaœ dans un train en mouvement, bien qu'ils lui parviennent avec la même vitesse de la Iumim, et il tiendra pour animeur celui vers lequel il roule (schl!ma A). A l'intérieur d'un référentiel d'inertie, la simulta­ nl!ité est encon: plus facile à établir.

Pour 2 points de 1'espace altr : �:ent dans des systèmes d'iDc:rtic mus · é , t, on doit calculer chaque fois leur temps propre. De là s'ensuivent la concentration dt la longueur et la dilatation du temps : Les mesures sont r61uites dans la direction du mouvement, et des horloges en mouvement vont plus lentemcnl en comparai.son du système au repos. L'espace et le temps ne sont donc pas indq>en­ dants l'un de l'auttc ; ils forment le continuum espace-temps : Pour �oir d&rminer un �6oemcnt, on doit fourmr, ai plus des 3 dimensions spatiales, la dimenaion temporelle. Dans ce.... »

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