xx• siècle Le ---+ Unicité Père de Charles Il fut exécuté x engendra Charles n t Il n'est pas toujours...
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«
xx• siècle
Le
---+
Unicité
Père
de
Charles Il
fut exécuté
x engendra Charles n
t
Il n'est pas toujours faux de x
ndré Chart■s Il et que
que x ■
x I hxécuté et que
• SI y a engendré Charles Il,
y est identique à x•
est toujours vrai de y.
si y est différent de x
y n'a pas engendré Charles Il
ou
si y a engendré Charles Il
y n'est pas identique à x
A
Analyse d'une proposition
Forme analysée
A□
·x est une montagne
et a la propriété
d'être en or· est faux
de tous les x
"La montagne d'or n'existe pas·
a) objets non existants
.....
----=-l'auteur de Wavartey
~
Scott
~
Scott
,
-
~
.
"Scott a écrit Waverley:
et il est toujours vrai de y
+que
y est identique à Scott
-
Scott
bl Tautologie par substitution
"L'actuel roi de France est chauve·
Tous les objets chauves :
fil
aucun roi de France
;:::=t>n'est pas chauve
�
\\
cl Contradiction
B
Problèmes résolus par l'analyse
n'est chauve
�.e
}}
�
1
si y a écrit Waverley•
Tous les objets non chauves:
aucun roi de France
-
·11 est faux qu'il y ait
une entité qui soit
actuellement roi de
France et soit chauve"
La théorie russellienne des descriptions (surtout
dans On denoting) tente de donner un fondement
logique et linguistique sOr à l'emploi d'éléments
de propositions qui ne sont pas des noms propres.
La dénotation d'un nom propre est l'objet qu • il
nomme.
Des « expressions descriptives ,.
n'ont pas de
dénotation en elles-mêmes, elles sont des« sym
boles incomplets », et n'apparaissent P?ur cette
raison que comme parties de propositions.
De
telles descriptions sont importantes parce que
nous connaissons beaucoup d'objets, non par une
connaissance directe, mais seulement à partir de
descriptions, comme par exemple« le centre de
gravité du soleil».
En même temps leur emploi induit souvent en
erreur, et conduit à des paradoxes comme par
exemple dans la proposition « l'actuel roi de
France est chauve ,.
:
« Si nous passions en revue toutes les choses
qui sont chauves et ensuite toutes celles qui ne
le sont pas, nous ne trouverions pas l'actuel roi
de France parmi elles.,.
C.-à-d.
qu'il est chauve
et qu'il ne l'est pas, ce qui affecte le principe de
non-contradiction.
La théorie de RussELL vise à extraire des expres
sions déterminées d'un contexte déterminé de
sorte que l'expression obtenue soit équivalente à
l'originale.
RUSSELL distingue pour cela 3 cas de
descriptioos :
1) Une expression est une description qui ne décrit
pas quelque chose :« l'actuel roi de France ».
2) Une expression décrit un objet déterminé :
« l'actuelle reine d'Angleterre».
3) Une proposition décrit de façon indéterminée
« un homme ,.
décrit un homme indéterminé.
« L'actuel roi de France existe,.
est analysé en
« Une et une seule entité est roi de France», ce
qui est une proposition fausse, et il en va ainsi
de même pour la liaison avec« et celui-ci est
chauve », parce que le premier membre de la
proposition est faux.
RUSSELL nomme secondaire cet emploi d'une
description, lorsque la forme de la proposition est
du type :« Il est faux qu'il y ait une entité qui.......
»
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