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XX' siècle Plante Polymère Molécule Atomes LAMARCK Particule élémentaire DARWIN A L'évolution d'après Darwin et Lamarck B L'évolution è tous...

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« XX' siècle Plante Polymère Molécule Atomes LAMARCK Particule élémentaire DARWIN A L'évolution d'après Darwin et Lamarck B L'évolution è tous les niveaux C Les êtres vivants idéaux n'apparaissent pas de facto dans l'évolution D Le développement d'après H.

Spencer (ex: l'apparition d'un système solaire) Les théories, notamment celles qui sont apparues au XIX' siècle, mettent en lumière un développe­ ment dans le domaine de la nature, ont eu des répercussions non seulement sur la biologie, mais aussi sur la philosophie de la nature, I 'anthropo­ logie et la théorie de la connaissance. Les pmnièns théories admettent déjà un change­ ment des espèces et ouvrent ainsi la voie à des énoncés généraux sur l'évolution : GEORGES CUviER (1744-1832) estime que les témoignages de la paléontologie prouvent la thèse selon laquelle, à la suite de caJastropMs, les êtres vivants ont été recréés d'une manière plus parfaite. E.

GEOfl'ROY SAINT-Hn.A!RE (1772-1844) consi­ dère l'homologie de structure comme le signe d'une ascendance commune. J.

W.

vONGœnœ(l 749-1832)postule une/onne originaire capable d'évolution pour la plante et l'animal. Quant à JEAN-BAPJ'ISTE UMARCIC (1744-1829), il suppose, chez les organismes, un instinct de perfectionnement qui tend vers des structures toujours plus complexes. Le moteur de cette évolution scion l.AMARCJC consiste dans une adaptation aux besoins, ttansmise héréditairement : c'est I'« hl!réd.ité de l'acquis •· Par exemple le cou de la girafe: les girafes avaient à l'origine un cou plus cowt, mais l!taient contraintes de le tendre en pcrmancnce afin d'atteindre les feuilles hautes dans des arbres éle­ vl!s.

Ceci a, peu à peu, conduit à un allongement de leur cou, qui est transmis hl!réd.itairement (schmlaA). Le comportement détermine par consl!qucnt la trueturt, et l'utilisation l'organe. C'est le �le élaborl! par Curta DanriD ( 18091882) qui aura un rôle de détonateur.

Dans son ouvrage La Constitution des espèces au moyen de la sélection naturelle (1859), il abandonne défini­ tivement l'idée de l'immuabilité des espèces : Tous les êtres vivanls engendrent plus de descen­ dants que n'en liclame leur conservation.

Il y a parmi eux des fonnes déviantes, dotées de propriétés modifiées (la variation, aujourd'hui appelée mutation), qui, dans la lutte pour la vie (anglais: strugglefor life), s'imposent et se repro­ duisent La sélection de ceux qui sont le mieux adaptés à leur milieu conduit à une continuation du développement de l'cspêœ.

Toutes les cspêœs animales et végétales sont issues de la variation/mutation et de la sélection (schéma B). L'idée de base de DARWIN a été étayée et enrichie au XX' siècle par une foule de � (prin­ cipalement la génétique et la biologie moléculaire). Les IWlltats suivants de la biologie moderne ont une porttt �: -Auamecspêœne1'51e�ement inchangée. Les sciences naturelles tendent à récuser I '« essen­ tialisme • (K.

l'oP!>ER), qui admet des meoœs constantes.

En biologie la représentation d'espèces animales et végétales idéales est abandonnée au profit d'une définition dynamique de l'espèce, par exemple: Scieoœs / La biologie « comme groupes de populations naturelles se reproduisant entre elles ,.

(E.

MAYR) ; - En biologie, la position dominante de l'hoame comme « couronnement de la création ,.

est remise en cause. Depuis l'ouvrage de DARWIN l'Originede l'homme (1871), l'évolution humaine est considérée comme faisant.... »

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