xx• siècle Sillon 1 / Note 1 Son 1 Sens de la proposition Sillon 2 / Note 2 Son2 '-----111111111111111y.----/...
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xx• siècle
Sillon 1 / Note 1
Son 1
Sens de la proposition
Sillon 2 / Note 2
Son2
'-----111111111111111y.----/
I
,,.,,
A tire avec B
mot 1 (double) mot 2
Nom
-�M
Sillon 1
Note 1
Son 1
Sillon 2
Note 2
Son 2
�2�
�2�
r,.--•--,
État
de chosn
existant
,
-�Opf
Table de valeur de vérité
est
/Œ]reie
ou
'--.[]eusse
Deux Propositions : p et q
(possibilités de combinaison)
p
Q
V
V
toutes deux vraies
V
p fausse q vraie
p vraie q fausse
toutes deux fausses
B
Les tables de valeurs de vérité
Signification
faux
A, Théorie de l'image: l'exemple du hiéroglyphe
Une Proposition (pl
V
Image
État
de choses
non existant
�2�
A, La théorie de l'image : la relation d'image
p
Nom
Image
Relation
1 R b
-----�- d'image
relation d'image interne
ho
(Relation)
p
V
Q
V
V
V
V
f } Combinaisons
f
possibles
V
V
V
V
V
b) p ou Q
V
V
cl p ou q
mais non les deux
V
V
f
f
V
V
a) non p et q
dl Tautologie
el .Contradiction
Ludwig Wittgemtein (1889-1951) occupe au sein
de la philosophie contemporaine une place parti
culi�re par le fait qu'il
« a développ6 deux philosophies différentes,
dont la seconde ne peut Stre considérée comme
la continuation de la première» (W.
STF.GMOL1.ER).
La première est exposk dans le seul ouvrage
- volumineux - que Wmol!NS11:IN ait publié de
son vivant, le Tracta/us logico-plùlosophicus
(1919) ; la seconde se trouve dans les Recherches
philosophiques, texte publié apmi sa mort (1953).
Il s'esteffectivemeotproduitune «rupture» (entre
1919 et 1926) dans la vie du philosopbc, qui per
met de distinguer deux périodes.
Deux courants
phi)osophiqucs imponants se m:lament de lui :
la �ie analytique anglo-saxonne et la
philosophie du langage (ordinary language
philosophy).
Le langage de WmoENSTEIN est simple et
dépourvu de terminologie tecbniquc, mais il
emploie des concepts comme image, monde,
substance, éthique, dans un sens très particulier.
Dans le Tracta/US, le jeune WmoENSTEIN aborde
la philosophie de l'extérieur comme constructeur
(et non tellement comme mathématicien).
Il la
divise en logique et mystique, et recompose ses
parties en phrases llllllliriques.
Les énoncés prin
cipaux constituent l'armature logique de
l'ouvrage.
Les énonœs placés sous des nombres
décimaux interprètent le plus souvent les sept
énonœs centraux, mais sont souvent plus impor
tants.
Par excml?le, l'énoncé 1 dit:« Le monde est
tout ce qw a lieu.
,.
Suivent les énonœs (expli
catifs):
« 1.1 Le monde est l'ensemble des faits, non
des choses » et
« 1.1 1 Le monde est détenniné par les faits et
par le fait que cc sont tous des faits•• etc.
Le TractalUS repose en partie sur l'analyse du lan
gage de Russl!l.L (ef.
p.
217).
WmoENSTEINd6ve
loppe celle-ci pour élaborer sa théorie de la repré,.
sentatioa:
Le monde est composé de choses et de leurs
« configurations », les états tk choses.
Les choses fonnent la « substance » du monde, et
sont en tant que telles simples, immuables et indé
pendantes des états de choses.
Dans l'état de
choses, les choses sont reliées par une relation.
Ces relations fonnent l'armature logiq,u du
monde et définissent ainsi le point de rencontre
entre le langage et le....
»
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