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1310 Supplice de cinquante-quatre templiers.

Publié le 02/02/2013

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1310 Supplice de cinquante-quatre templiers. La chute de Saint-Jean-d'Acre avait ramené en France 2 000 templiers. Leur ordre s'avère très riche et le roi qui n'admet pas que cet ordre du Temple, fondé en 1119 par Hugues de Payns et Godefroi de Saint-Amour, puisse ne dépendre que du pape, fait arrêter un premier groupe de cinquante-quatre templiers qu'il fait supplicier et mettre à mort, après avoir obtenu des aveux invraisemblables. Leur ordre sera supprimé par ordre du pape Clément V et leur chef, Jacques de Molay, brûlé, le 19 mars 1314. 1588 Journée des barricades. Le duc de Guise, chef de la Ligue catholique, est entré dans Paris le 8 mai, malgré l'interdiction du roi. Paris reproche à Henri III d'avoir laissé s'enfuir ceux des protestants qui ont réussi à échapper à Guise, à Vimory et à Auneau à la fin de l'année précédente, comme elle reproche au roi la cherté du pain, comme le clergé raille les prières et les pénitences du roi. Le roi reçoit Guise avec froideur. Le lendemain, Guise revient avec 400 amis armés. Pour se protéger, le roi fait appel à 4 000 Suisses et à 2 000 gardes français. Paris, dont seule la municipalité a le droit de lever des troupes dans la ville, ne tolère pas cet affront et se couvre de barricades. Seul Guise qui répond à ceux qui le saluent d'un " Vive Guise ! " par " Criez aussi vive le roi ! " parvient à ramener le calme. Il passe pour être le maître de Paris. Le lendemain le roi s'enfuit. 1776 Chute de Turgot. Turgot, à qui le Parlement avait refusé l'enregistrement des édits qu'il lui avait présentés le 4 mars précédent, est disgracié. Les édits de Turgot qui demandaient la réduction des dépenses de la cour et l'abolition de la corvée royale ne pouvaient avoir l'heur de plaire. 1881 Traité du Bardo. Ce traité doit son nom à une localité voisine de Tunis. Signé entre le bey de Tunis, Muhammad al-Sadiq, et le gouvernement français, il établit le protectorat de la France sur la Tunisie. 1930 Première liaison postale directe France-Amérique du Sud. C'est Mermoz avec ses coéquipiers Dabry et Gimier qui assurent par avion la première liaison directe entre la France et l'Amérique du Sud.

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