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Alagoas

Publié le 22/02/2012

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1 PRÉSENTATION Alagoas, État du nord-est du Brésil. Sa capitale est Maceió. L’Alagoas est limité au nord et à l’ouest par l’État de Pernambouc, à l’est par l’océan Atlantique et au sud par les États de Sergipe et Bahia. 2 GÉOGRAPHIE Les plaines littorales constituées de plateaux et de collines, marquées par des embouchures fluviales, forment des marécages et des lagunes qui ont donné son nom à l’État d’Alagoas. Des plateaux s’étendent jusqu’au littoral, notamment au sud de la capitale Maceió, et se prolongent jusqu’à l’embouchure du São Francisco, à la frontière avec l’État de Sergipe. À l’intérieur des terres s’élèvent de petites montagnes et le plateau de la Borborema dont l’altitude varie entre 200 et 300 m. Le climat présente les caractéristiques tropicales générales de la région du Nordeste, avec des pluies fréquentes en hiver (en juin et juillet) et une importante période de sécheresse en été. La moyenne annuelle des températures oscille entre 20 °C et 28 °C. Le riche réseau hydrographique est essentiellement constitué de fleuves pérennes qui se jettent dans l’océan Atlantique et d’une multitude de lagunes littorales. 3 ÉCONOMIE L’État est constitué de trois secteurs économiques et géographiques distincts. La région du Litoral e Mata vit essentiellement de la culture de la canne à sucre, intégrée au secteur agro-industriel. Elle compte également d’autres activités économiques comme l’industrie chimique, l’industrialisation des fruits sans cesse croissante, ainsi que les secteurs touristique et halieutique. L’Agreste, dont Arapiraca est le principal centre urbain, est une région rurale diversifiée spécialisée dans l’élevage, les cultures rizicoles, la fumaison, la culture du coton et des fruits. Le Sertão, la région la moins peuplée de l’État, situé à son extrémité occidentale possède, à Santana do Ipanema, son principal centre urbain et économique. La population de l’Alagoas vit pour 59 p. 100 en milieu urbain et pour 41 p. 100 en zone rurale. La capitale, Maceió, est le principal centre social, politique et économique de l’État. Une forte concentration foncière, aux mains de quelques familles contrôlant la production de canne à sucre, a conduit à une politique de bas salaires touchant la majorité de la population, empêchant une distribution des terres aux petits et moyens agriculteurs. C’est la raison pour laquelle l’État d’Alagoas est considéré comme l’un des plus problématiques de la région du Nordeste, tant en matière de viabilité économique qu’en raison de ses fortes inégalités sociales. Superficie : 27 933 km² ; population (2005) : 3 015 912 habitants.

« Brejnev (Leonid) &7 3 Fin gourmet, amateur de voitures puissantes, il a imposé une certaine image de lui-même dans la vie publique soviétique et dans les relations internationales, pour lesquelles il dispose d'un conseiller personnel, Gueorgui A1exandrov.

Cette personnalisation du pouvoir laisse entier le problème de sa succession dont se préoccupent les observateurs.

Pour son soixante-dixième anniversaire, le POUS lui a réservé une véritable apo­ théose.

4 A partir du XXUJ• Congrès du PCUS (1966), Brejnev s'attache à réaliser un vaste programme de .

détente avec les puissances occidentales en vue de renforcer l'écono­ mie soviétique.

A ses yeux, la mise en œuvre de ce plan exige tout d'abord le maintien de la cohésion du bloc sOcialiste.

D'où la brutale intervention en Tchécoslovaquie (1968).

Les accords avec la RFA (1970) confirment le statu quo européen.

Cependant, c'est la coopération avec les états-Unis qui apparait prioritaire.

En dépit de leurs rivalités en Méditerranée, au Proche-Orient ou en Afrique, les deux Grands engagent des négociations destinées à aboutir à la détente sur la lfmitation d'armements nucléaires (accords SALT, signés à Moscou en mai 1972) et sur la réduction équilibrée des forces en Europe (négociations MBFR).

La conclusion de la conférence sur la coopération et la sécurité en Europe (CSCE), le 1"' aoOt 1975, à Helsinki, a consacré le statut territorial de l'après-guerre et a été saluée comme un succès per­ sonnel de Brejnev.

5 Pour Leonid Brejnev, la politique d'ouverture à l'OUest est " réaliste " dans la mesure où l'URSS en attend des crédits, des techniques et des.

échanges nécessaires à son économie dont il critique sévèrement (en particulier au XXIV" Congrès du PCUS en 1971) les retards et la rigidité.

.,.

Voir aussi : Doctrine BreJnev, Politburo.. »

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