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Askip la musique c'est la vie

Publié le 31/05/2015

Extrait du document

I- Différence   Je me suis toujours demandé si j'étais comme les autres. J'ai toujours eu cette impression d'être différent. Petit, j'm'imaginais des mondes fantastiques dans mon jardin et des batailles rien qu'avec un baton. J'étais un héros mélangeant Sacha, Yugi, Aragorn, et Luc. Je passais des après-midis à imaginer des scènes invraisemblablement anachronique, drôle pour mes parents et fascinante pour l'enfant que j'étais . Mais les délires évolue avec l'âge et ceux de mon enfance restait dans la norme.   Chaque jour de ma vie, je n'ai fait quasiment que rire et sourire. Chaque moment difficile, chaque rancune, chaque rancœur, je gardais tout. Cet agglutinement de ressentiment transformait mes délires et les obscurcissait. Ils devenait folie et me faisait sombré peu à peu. J'avais peur. Je sentais en moi toute la haine d'une vie. Je me sentais différent et cela me terrorisait. Je n'avais pas peur du rejet, non, bien au contraire. J'avais peur que l'affection que l'on me portait nuise à ses émetteurs. Ma « divergence » n'était pas lié à un trait physique, mais bien à une entité qui semblait m'habiter. Un spectre noir, de rage et de désespoir à l'apparence d'un serpent. J'étais fourbe et j'avais l'impression de tout contrôler. J'avais cette idée que les gens autour de moi étaient tous faible d'esprit et que les duper était chose facile. J'étais un marionnettiste, un homme, fin un gosse, qui avait le potentiel de gouverner le monde et pourtant, j'avais cette impression d'être observer. Comme un animal dans un zoo tu vois. Je ne savais plus quoi pensé et je me demandais si le monde dans lequel je vivais était réel. Je me retrouvais dans la peau de Jim dans The Truman Show. Cette question fut la plus énigmatique pour moi. Je me suis demandé si je vivais réellement ou si je n'étais que le personnage d'une série ou d'une attraction quelconque.   Le paradoxe de ma folie était de passer d'un extrême à l'autre. De l'idée que j'étais une personne hors du commun à celle que je n'étais qu'un pion sur l'échiquier de la vie. J'avais dans la tête, deux consciences et à partir de ce moment, je me suis demandé si j'avais un problème. Seulement, lorsque l'on à plusieurs consciences, on à vite fait d'oublier ce que l'autre pense. Plus j'avançais dans la vie et plus je développais d'idée. Certain jour, le meurtre, parfois le viole et d'autre encore, le suicide. Pour moi la mort est l’expérience de la vie la plus enrichissante. Elle est une ascension. Autant pour l'entourage que pour le défunt. Elle n'est pas inutile puisqu'elle donne à connaître la valeur de la vie. Mes propos pourraient m'faire enfermer j'en suis conscient. Ils risqueraient de me faire détester et rejeter. Pourtant j'aime pensé que certain comprendront et j'espère que d'autre personne sont dans mon cas.   II- Ressemblance   Quand j'étais au collège, mes parents me proposait de faire de partir en voyage, d'apprendre a jouer d'un instrument, de m'inscrire dans un club de sport, toussa toussa. Moi tout ce que je voulais c'était rester enfermé dans mon univers d'ado et faire «comme tout l'monde ». C'était mon excuse pour pas sortir, « je veux être normal ». Étrange comme réponse quand on sait que certaine personne rêve de votre vie chaque jour et que vous rêver d'avoir une vie simple et épuré non ? La vie d'ado c'est un cocktail d’addiction en gros. L'ordi, les potes, les conneries, on est tous pareil du moins très généralement et ça se comprend. Pourquoi chercher à devenir différent dans une société qui rejette l'étranger. Surtout dans un collège où la perversité devance la maturité. Les gosses c'est bien, c'est mignon. Allez dire ça au jeunes qui se tirent une balle dans la tête à cause de « p'ti con ». Mais même ça, osef, tout ce qui compte c'est le bout de notre nez. C'est comme ça que marche le monde now t'sais... Putin.   On entend sans arrêt des déblatérations, des médias qui nous crache des informations détournées pour qu'on les prennes comme ils veulent qu'on les prennes. On nous bassine avec des faits divers du genre des p'ti rebeu de quartier qui crame des caisses et on donne nous-même naissance a des préjugés en les déguisant en fait commun tandis que les réels problèmes reste caché par nos autorités. Personne ou presque ne se rappel la marche de 83 par exemple et c'est triste. Aujourd'hui les jeunes sont formaté et ceux qui ne le sont pas sont des déchets. Faut se l'avouer, si tu rentre pas dans le rang soit tu te pend, soit on t'aide a le faire. Les gosses sont con et connaisse tout. Pourtant ils ont bien tord, parce qu'a ce jour j'ai 18ans et déjà, j'me rend compte à quel point on était stupides. Fin bref tout ça pour dire qu'on est tous pareil. C'est négatif comme pensé mais c'est la seule que l'on peut retiré d'un tel monde.   Sans déconné, on joue tous le rôle de pion, vivant notre vie de pion, avançant tout droit comme un pion, pour au final se faire bouffer et crever, comme un pion. Mais j'suis d'accord, la vie c'est sympa quand même et ça vaut la peine d'être vécu... Enfin. Finalement tout dépend des autres puisque sans les autres t'es rien qu'une merde, si personne t'aime autant crever qu'on s'le dise t'sais. Trop d'pessimisme. Mais si j'écris c'est justement par ce que monde, cette vie, cette routine, me gave. Parfois. Et souvent je me dis, mec, tu vas faire quoi, t'es qu'une merde. Je sais pas si toi aussi tu connais ce genre de situation, celle où tout s'écroule, où tout te casse les couilles et que la seule chose que tu puisse vouloir c'est simplement t'barrer. Où ça tu t'en fiche, partout est mieux qu'ici. Et où le seul réconfort se trouve dans la musique. Parce que oui, la musique ça aide et c'est sûrement la plus belle chose qui existe dans ce monde vu la diversité d'la chose. Clairement y'a pas 36 truc qui puisse te faire kiffer, planer, danser, apprendre, sourire ou badé dans l'même temps. Askip la musique c'est

« Le paradoxe de ma folie était de passer d'un extrême à l'autre.

De l'idée que j'étais une personne hors du commun à celle que je n'étais qu'un pion sur l'échiquier de la vie.

J'avais dans la tête, deux consciences et à partir de ce moment, je me suis demandé si j'avais un problème.

Seulement, lorsque l'on à plusieurs consciences, on à vite fait d'oublier ce que l'autre pense.

Plus j'avançais dans la vie et plus je développais d'idée.

Certain jour, le meurtre, parfois le viole et d'autre encore, le suicide.

Pour moi la mort est l'expérience de la vie la plus enrichissante.

Elle est une ascension.

Autant pour l'entourage que pour le défunt.

Elle n'est pas inutile puisqu'elle donne à connaître la valeur de la vie.

Mes propos pourraient m'faire enfermer j'en suis conscient.

Ils risqueraient de me faire détester et rejeter.

Pourtant j'aime pensé que certain comprendront et j'espère que d'autre personne sont dans mon cas.

  II- Ressemblance   Quand j'étais au collège, mes parents me proposait de faire de partir en voyage, d'apprendre a jouer d'un instrument, de m'inscrire dans un club de sport, toussa toussa.

Moi tout ce que je voulais c'était rester enfermé dans mon univers d'ado et faire «comme tout l'monde ».

C'était mon excuse pour pas sortir, « je veux être normal ».

Étrange comme réponse quand on sait que certaine personne rêve de votre vie chaque jour et que vous rêver d'avoir une vie simple et épuré non ? La vie d'ado c'est un cocktail d'addiction en gros.

L'ordi, les potes, les conneries, on est tous pareil du moins très généralement et ça se comprend.

Pourquoi chercher à devenir différent dans une société qui rejette l'étranger.

Surtout dans un collège où la perversité devance la maturité.

Les gosses c'est bien, c'est mignon.

Allez dire ça au jeunes qui se tirent une balle dans la tête à cause de « p'ti con ».

Mais même ça, osef, tout ce qui compte c'est le bout de notre nez.

C'est comme ça que marche le monde now t'sais...

Putin.   On entend sans arrêt des déblatérations, des médias qui nous crache des informations détournées pour qu'on les prennes comme ils veulent qu'on les prennes.

On nous bassine avec des faits divers du genre des p'ti rebeu de quartier qui crame des caisses et on donne nous-même naissance a des préjugés en les déguisant en fait. »

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