Askip la musique c'est la vie
Publié le 31/05/2015
Extrait du document
«
Le paradoxe de ma folie était de passer d'un extrême à l'autre.
De l'idée que j'étais une personne hors du
commun à celle que je n'étais qu'un pion sur l'échiquier de la vie.
J'avais dans la tête, deux consciences et à
partir de ce moment, je me suis demandé si j'avais un problème.
Seulement, lorsque l'on à plusieurs
consciences, on à vite fait d'oublier ce que l'autre pense.
Plus j'avançais dans la vie et plus je développais
d'idée.
Certain jour, le meurtre, parfois le viole et d'autre encore, le suicide.
Pour moi la mort est l'expérience
de la vie la plus enrichissante.
Elle est une ascension.
Autant pour l'entourage que pour le défunt.
Elle n'est pas
inutile puisqu'elle donne à connaître la valeur de la vie.
Mes propos pourraient m'faire enfermer j'en suis
conscient.
Ils risqueraient de me faire détester et rejeter.
Pourtant j'aime pensé que certain comprendront et
j'espère que d'autre personne sont dans mon cas.
II- Ressemblance
Quand j'étais au collège, mes parents me proposait de faire de partir en voyage, d'apprendre a jouer d'un
instrument, de m'inscrire dans un club de sport, toussa toussa.
Moi tout ce que je voulais c'était rester enfermé
dans mon univers d'ado et faire «comme tout l'monde ».
C'était mon excuse pour pas sortir, « je veux être
normal ».
Étrange comme réponse quand on sait que certaine personne rêve de votre vie chaque jour et que
vous rêver d'avoir une vie simple et épuré non ? La vie d'ado c'est un cocktail d'addiction en gros.
L'ordi, les
potes, les conneries, on est tous pareil du moins très généralement et ça se comprend.
Pourquoi chercher à
devenir différent dans une société qui rejette l'étranger.
Surtout dans un collège où la perversité devance la
maturité.
Les gosses c'est bien, c'est mignon.
Allez dire ça au jeunes qui se tirent une balle dans la tête à cause
de « p'ti con ».
Mais même ça, osef, tout ce qui compte c'est le bout de notre nez.
C'est comme ça que marche
le monde now t'sais...
Putin.
On entend sans arrêt des déblatérations, des médias qui nous crache des informations détournées pour qu'on
les prennes comme ils veulent qu'on les prennes.
On nous bassine avec des faits divers du genre des p'ti rebeu
de quartier qui crame des caisses et on donne nous-même naissance a des préjugés en les déguisant en fait.
»
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