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Bel ami deuxième partie chapitre 1

Publié le 05/12/2010

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Introduction

 

Duroy a épousé Madelaine Forestier et ils se rendent chez ses parents en normandie. Nous plongeons  donc dans ce qui fut les racines du héro et dans ses sentiments de photologie. Tandis que nous découvrons quelque portrait typique de paysans normand et de femmes. Nous étudierons :

                      - I) la nostalgie du passé

                      - II) des portraits opposé

 

                        I) la nostalgie du passé ou la force de la mémoire

 

                          a) les sensations

 

Nous découvrons donc George Duroy au pays de ses origines cad de son enfance et nous voyons qu’il peut exprimé une certaine sensibilité à laquelle le lecteur n’est pas habitué. L.9 nous le voyons « grisé « enivré, ne maîtrisant plus un projet ambitieux d’arriviste mais se laissant aller, d’ailleurs quelque phrase avant le passage étudier il affirmé « être content de revoir ses vieux et que sa fait plaisir tout de même « et c’est «  l’air natal « l.8 qui va toucher sa sensibilité et faire resurgir une foule de sensation toute liée au souvenir de la jeunesse, nous touchons la un point important du travail de Maupassant puisque que tout comme Marcel Proust il va travailler sur le motif de la mémoire. En effet au l.9 « sensations «, l.10 « souvenir retrouvé «, l.11 « chose d’autrefois revus «. Nous percevons nettement que le personnage se laisse doucement submergé par ses sensations pour replonger dans le passé. Ce sont les sensations alfactice et visuelle qui vont opéré ses sensations en lui l.12 «  odeur de sol «, l.13 «  résine «, l.14 « senteur du logis « et, «  une marque de couteau dans une porte «l.11, l.12 «  chaise boiteuse «. Et le narrateur va alors insisté sur la vision globale de tous les éléments propre aux souvenirs en utilisant l’adjectif indéfinis « tout « à trois reprise l.9 «  toutes les sensations «, l.10 tous les souvenirs, toutes les choses « et en utilisant un vocabulaire imprécis et généralisant l.10 « des choses «, l.11 « riens « et enfin des articles indéfinis l.11 « des riens «, « une marque «, l.12 « une chaise « « des odeurs «. Et enfin un rythme ponctué de virgule des l.1 à 12 propres à évoquer la monter régulière des souvenirs. Tout reste donc imprécis pour faire appelle à la mémoire.

 

                          b) L’amour de la Normandie

 

Maupassant est normand et il décrit un personnage normand, le réalisme ne peut être présent dans se point commun et dans Bel Ami, l’auteur renvoi dos à dos la Normandie et paris. La Normandie est le lieu de sa vie qu’il va tenter de renier tout au long de l’oeuvre pour gommer ses origines modestes. La Normandie est le lieu de son identité et où il ne cherche ni à poser ni à paraître à l’opposé de paris.

 

                          c) Le paysans normand ou le personnage naturaliste

 

Dans se passage le narrateur met en évidence la grossièreté des paysans qu’il dénonce il les transformes en type humain, les réduisant à des traits presque caricaturaux quelque page avant ce passage il fait un portait très grossier des parents de Georges Duroy et la description du déjeuner l.1à24 ne fais qu’affirmé se portrait. Le père Duroy blague vulgairement en racontant des histoires grivoise et malpropre déjà connu  de Duroy l.7 sa grossièreté est également évoqué par le vocabulaire de la boisson avec les allusions au cidre et au vin l.4, 22, 23, 24. Quand a la métaphore utilisée par Maupassant pour évoquer le débit oratoire du père Duroy l.4, 5 « il lâchait le robinet de ses plaisanterie de choix « elle est toute à la fois évocatrice du mépris et de la gêne du fils ambitieux qui ne peut pas prendre une distance vis à vis de se père si rustre qui raconte l.6 des histoires malpropre. Et nous notons un vocabulaire très dépréciatif l.4 «  robinet «, L.6 « grivoise, malpropre «. Quand à la mère de Duroy la narrateur met en évidence certains très physique et moraux.  C’est un procédé que Maupassant utilise souvent dans ses portraits de normand. «  Ses membres son déformé par la lourde besognes « l.18, « doigts usé « l.17, regarde ainsi une femme triste et sévère se sont les caractéristique inverse de celle qui constitue le quotidien de George Duroy et là nous notons un vocabulaire très dépréciatif et méprisant. Le père et la mère sont donc aussi rustique l’un que l’autre et l’ordonnance peut étudier le repas en est encore une illustration péjorative l.1 à 2.

                       II) des portraits opposés

 

                          a) une saynète théâtrale

 

Ce passage rappel le dîné au café riche (1ere partie chap.5) apportant les mêmes motifs : le repas associe à la grivoiserie et la nourriture révélatrice de la personnalité des convives. Le texte se présente comme une saynète (petit sketch, petite pièce théâtrale espagnol) à quatre personnages ou les indications saynique nous renseigne sur les personnages. Le père raconte des histoires mal propres l.6 le héro en rie l.7 dans les deux personnages suivants se sont les femmes qui sont présente l’une après l’autre pour bien souligné différence leurs seul point commun étant leurs tristesse et leurs mutisme. « La mère Duroy ne parlait pas « l.15 et « Madelaine ne parlait guère « l.25 ; l.15 la mère Duroy est triste l.15 26 Madelaine aussi. Ce qui différencie sont les mouvements la mère Duroy se lève a tout moment l.21. Alors que Madelaine demeures sans bouger.

 

                          b) Deux femmes que tout oppose

 

Le narrateur adopte tour à tour le point de vue des deux femmes et nous fait pénétré dans leurs pensé les plus secrète, il oppose ainsi «  la vieille rustique, travailleuse « à la femme de la ville «  paresseuse « le sentiment qui prédomine chez la mère Duroy est la haine envers cette bru qui n’est pas celle dont elle avait rêvé. Ce sentiment est exprimé par une phrase très longue, saccadée, des l.16 à 21 ou certains mots reviennent «  haine « avec de nombreuse virgule qui symbolise tout les grief que la mère Duroy a contre cette femme de la ville « l’envoyé du diable, venu séduire son fils « le vocabulaire est religieux et moral et il renvoi au mythe de la femme fatal. « Maudite « l.19 « répulsion « l.19 «  réprouvé, péché « l.20. Madelaine est donc associé au péché elle est celle pour qui le mal arrive, elle symbolise la ville avec tout se que représente le divertissement et l’amusement lié a la ville par opposition a la rusticité de la campagne. Madelaine elle se montre déçu l.27 et l’expression « petit paysans « l.29 montre combien elle méprise ses beaux parents avec lesquels elle n’a rien en commun.

 

Conclusion

 

 Ce texte constitue une pause dans l’intrigue le narrateur nous faits apercevoir le sentiment des personnages de l’intérieur le héro nous apparaît plus humain, nostalgique et sentimentale. Replongé dans les lieux de son enfance nous n’en mesurant que plus son désir d’ascension sociale. Découvrons aussi une Madelaine qui ne se comprend pas vraiment son mari et Maupassant laisse affleuré un de ses thèmes favori le contrat permanent selon lequel il est impossible de connaître et de comprendre l’autre.

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