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Ceará

Publié le 22/02/2012

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1 PRÉSENTATION Ceará, État du nord-est du Brésil. Sa capitale est Fortaleza. L’État de Ceará appartient à la région du Nordeste. Il est limité au nord par l’océan Atlantique (573 km de côtes), à l’est par les États de Rio Grande do Norte et de Paraíba, au sud par l’État de Pernambouc et à l’ouest par l’État de Piauí. 2 GÉOGRAPHIE Le paysage dominant de l’État est constitué par des sertões semi-arides, qui s’étirent de l’intérieur vers le littoral. Cette zone à la topographie aplanie, dont les altitudes sont en moyenne toujours inférieures à 250 m, possède une couverture végétale caractéristique appelée la caatinga, énormément affectée par la sécheresse qui, périodiquement, désole la région. Des précipitations plus abondantes et mieux réparties, sur des reliefs plus élevés — les serras et les chapadas (plateau aux rebords abrupts et à la superficie horizontale) — permettent une production agricole plus diversifiée. Traditionnellement, ces zones servent d’abris aux populations et aux troupeaux pendant les périodes de sécheresses. À ce paysage de sertaões et de serras s’ajoute un vaste littoral de bas plateaux côtiers appelés tabuleiros, recouverts partiellement de dunes, de vallées alluviales et d’eaux souterraines. La région est baignée par de nombreux fleuves dont le Jaguaribe, l’Acaraú et le río Poti. Les principales villes sont Fortaleza (2 431 415 habitants), Juazeiro do Norte (231 920 habitants) et Maracanaú (191 317 habitants). 3 ÉCONOMIE En termes économiques, le Ceará compte parmi les États du Nordeste brésilien dans lesquels le secteur primaire reste le principal moyen de subsistance. Les cultures vivrières, notamment la culture de l’acajou, d’où est extrait le suc, la culture du coton qui approvisionne l’industrie textile, l’élevage porcin et caprin, ainsi que la pêche à la langouste et à la crevette, constituent ses principales activités. L’industrie (métallurgie, textile) est essentiellement localisée dans la région métropolitaine de Fortaleza. Au cours des dernières années, le secteur des services s’est beaucoup développé grâce à la croissance des activités touristiques qui ont tiré bénéfice du vaste et magnifique littoral de dunes et de cocoteraies. 4 HISTOIRE En 1535, une capitainerie est fondée dans la région et, au début du xviie siècle, des missionnaires portugais y fondent une colonie appelée Nouvelle Lusitanie. Ce n’est qu’alors que la région est réellement colonisée par la couronne portugaise. Martim Soares Moreno s’allie avec les indigènes afin de faire reculer les troupes françaises et hollandaises qui cherchent à coloniser la région et en 1619, il est nommé par son pays seigneur de la capitainerie de Ceará. En 1621, la capitainerie est intégrée à l’État du Maranhão et du Grão-Pará et à deux reprises, en 1637 et en 1649, envahie par les Hollandais. La région passe alors sous l’autorité de l’État de Pernambouc jusqu’à son autonomie en 1799. En 1824, le Ceará entre dans la Confédération de l’Équateur. C’est également la première province brésilienne à libérer les esclaves en 1884. Son développement date de la seconde moitié du xixe siècle. Superficie : 146 348 km² ; population (2005) : 8 097 276 habitants.

« Irkoutsk 1oa à Irkoutsk 1a première université sibérienne, mals ce fut finalement Tomek qui eut la préférence en 1888.

4 Lors de la révolution bolchevique, Irkoutsk devra attendre février 1920 et la défaite de Koltchak pour voir l'Armée rouge parvenir jusqu'à elle après de durs combats.

La ville n'est alors qu'un centre de transit et de commerce, paradis des Intermédiaires et des affairistes.

Aucune activité productrice n'y est implantée.

Le jeune pouvoir soviétique décide d'en faire l'un des p61es de dévelop­ pement de la .

Sibérie.

Au cours des premiers plans quin­ quennaux, les entreprises Industrielles prolifèrent.

Exploi­ tant le fabuleux potentiel énergétique de l'Angara, cen­ trales et barrages couvrent bientôt la région, donnant naissance à une gamme d'activités industriel·les très variées.

Des complexes chimiques et sidérurgiques se sont constitués, dont les activités sont largement tournées vers l'extérieur, en particulier vers les pays du tiers monde.

Pour le charbon seulement, la région possède trois gisements différents dont les réserves sont estimées à 10 mtlfions de tonnes au km2, et ils totalisent 35 000 km2.

Son exploitation est trois fols moins cher que le charbon du.

Donbass.

5 En trente ans, la population d'Irkoutsk a doublé, pas­ sant de 250 000 habitants en 1939 à 480 000 en 1978.

Elle demeure cependant à ·la sixième place des villes de l'Asie soviétique, loin derrière Novosibirsk (1 300 000 habi­ tants), Omsk, Krasnoïarsk, Novokouznetsk et Khabarovsk.

Dans Je domaine scientifique, Irkoutsk arrive au second rang,· tout de suite après Novosibirsk • .,.

Voir aussi : Bailcal, Krasnolarsk, Sayano -Chouchenslcaia, Sibérie, Transsibérien.. »

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