Devoir de Philosophie

Essai

Publié le 15/01/2012

Extrait du document

Je sais que t’écrire est une grosse bêtise. Et que dés que j’aurais appuyé sur « envoyer » je le regretterais. Mais je me sens obligé de t’écrire, de te parlé, même si je sais que tu ne me répondras jamais. Tout se termine avec le temps, rien n’est éternel. Tu en es la preuve vivante. Mais je sais une chose, au fond de moi, je t’aimerais toujours, peu importe si un jour je t’oublie, peut importe si mon amour est encore plus immense ailleurs, peut importe les gestes, les disputes, les blessures, tout le mal que l’on sait fait, le fait que tu ne m’aime plus, et quoique tu puisses faire ou me dires, il y aura toujours ce petit bout de moi qui t’aimera.  Tu as marqué ma vie Meriem, même si sa n’a durée qu’un moment. Rien n’est plus vivant qu’un souvenir et je pense que la vie est trop courte pour ne pas être heureux. Alors ris, chante, crie, danse, amuse-toi et profite de chaque instant. Réalise tes rêves. Garde toujours l’espoir. Ne laisse plus jamais personne te rendre malheureuse. Vis ta propre vie. Fais ce que tu veux, mais sois heureuse. C’est tout ce que je te demande.  On oublie quelquefois le mal que l’on a souffert, jamais celui que l’on a fait : Je suis juste désolé