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eva forest

Publié le 10/12/2015

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Eva Forest, pseudonyme de Genoveva Forest i Tarrat, née en 1928 à Barcelone et morte le 19 mai 2007 à Fontarrabie, est une femme de lettres et militante politique espagnole, engagée dans la lutte contre la dictature franquiste, contre la torture, et pour les droits des femmes. Ouvrage Cette bibliographie ne présente que les éditions françaises : Eva Forest, Journal et lettres de prison, Paris, Éditions des femmes, ‎ 1975 Eva Forest, Témoignage de lutte et de résistance, Paris, Des femmes, ‎ 1978 Eva Forest Témoignages de lutte et de résistance Traduit de l’espagnol par Françoise Campo Sur une arrestation arbitraire de la police franquiste, Eva Forest a été emprisonnée à la prison de Yeserías (prison pour femmes de Madrid) de septembre 1974 à juin 1977. De sa prison elle témoigne de la torture. « Ces témoignages, on le verra, correspondent à une époque déterminée et à un lieu précis : la prison pour femmes de Yeserías, où ne sont incarcérées que les prisonnières de Madrid et de ses environs. Ce document est donc « limité » à un moment de l’histoire de notre peuple, marqué du sceau de la violence la plus féroce. À partir de là on pourra juger de l’étendue de la répression sur la plupart des régions d’Espagne vers cette même période […]. Les témoignages que nous rapportons ici ont été publiés presque à l’état de brouillon car la tâche qui me semblait la plus urgente, durant ces heures d’angoisse, était de dénoncer ce qui était en train de se produire. » (Extrait de la préface d’Eva Forest à l’édition espagnole) « Au cours de la deuxième moitié de l’année 1975, j’ai recueilli la plupart des témoignages qui forment aujourd’hui la première partie de ce livre. J’ai non seulement écouté mes camarades raconter leurs tortures mais j’ai aussi pu constater l’importance des séquelles physiques et psychologiques que leur ont laissé les sévices subis. » E.F. Eva Forest, seudónimo de Genoveva Forest i Tarrat, nacida en 1928 en Barcelona y muerta el 19 de mayo de 2007 en Fontarrabie, es una mujer de cartas(letras) y militante política española, comprometida(contratada) en la lucha contra la dictadura franquista, contra la tortura, y por los derechos de las mujeres.ObraEsta bibliografía presenta sólo las ediciones francesas: · Eva Forest, Periódico y cartas(letras) de prisión, París, Ediciones de las mujeres 1975 · Eva Forest, Testimonio de lucha y de resistencia, París, mujeres 1978 Eva Forest Testimonios de lucha y de resistencia Traducido por español por Françoise CampoSobre una detención arbitraria de la policía franquista, Eva Forest ha sido encarcelada a la prisión de Yeserías (prisión para mujeres de Madrid) del septiembre de 1974 al junio de 1977. De su prisión testimonia de ella " Estos testimonios, lo veremos, corresponden a una época determinada y a un lugar preciso: la prisión para mujeres de Yeserías, donde son encarceladas sólo las presas de Madrid y de sus alrededores. Este documento " pues es limitado " en el momento de la historia de nuestro pueblo, marcado con sello de la violencia más feroz. A partir de allí podremos juzgar la extensión de la represión por la inmensa mayoría de las regiones de España hacia la mismo período. Los testimonios que producimos(traemos) aquí casi han sido publicados en el estado de borrador porque la tarea que me parecía la más urgente, durante estas horas de angustia, era denunciar(revelar) lo que estaba produciéndose. " (Extraído del prefacio de Eva Forest a la edición española) " En el curso de la segunda mitad del año 1975, Recogí a la inmensa mayoría de los testimonios que forman hoy la primera parte(partida) de este libro. Escuché a mis compañeros contar no sólo sus torturas pero pude comprobar también la importancia de las secuelas físicas y psicológicas que les dejaron las sevicias sufridas. " E.F. aux trois ma lettre(carte) est dirigée, mais spécialement à Juan parce qu'il(elle) consiste en ce qu'il(elle) a besoin plus donnée de son éloignement et les informations confuses et peu abondantes qui lui seront arrivées. Je m'assois(me sens) donc, Juan aimé, comme le soliá faire cette année passée sur la table de la cuisine, pour toi dire le très grand dont je me suis convenu de toi dans ces dernières semaines. Durant les longues heures que j'ai passé dans la D.G de S. j'ai eu le temps plus d'amants et tu es l'un d'eux. Mais il se tranquillisait de savoir que tu vivais une vie riche, d'une étude et un travail combiné, entouré(contourné) des amis qui t'aiment et au milieu d'une grande solidarité, cette solidarité que connaissent seulement ceux qui aiment l'homme et savent le débit(fortune) de l'énergie qu'il(elle) porte à l'intérieur. tout combien de m'est arrivé dans ce très long mois me semble un cauchemar, bien que la triste réalité consiste en ce qu'il(elle) n'a rien à voir d'un sommeil(rêve). Je sais que tu es le suffisant mûr comme pour compréhension que rien de combien de n'a dit la Presse ni aucun autre milieu d'information, il(elle) est vrai. Tu me connais. Nous avons parlé plusieurs fois de ce qui arrive dans le monde et de imagine-eux qu'ils(elles) ne me meuvent et jamais habrás pouvoir tiré une autre conclusion qu'elle dont il faut lutter parce que l'homme pense, étudie et a la connaissance de la réalité qui il s'entoure et qui par cela même je ne pourrais jamais avoir participé à rien qui était contre l'homme même. La vérité que tant ils(elles) s'entêtent à confondre resplendira dans son moment et alors les choses reviendront à son endroit. Mais je n'ai pas de nécessité de te parler plus. Tes lettres(cartes) m'ont rempli d'un orgueil toujours et ils(elles) continueront de le faire maintenant plus que jamais. Notre vie continue, nous sommes une famille unie, comme tant de familles vietnamiennes ou tant de familles chiliennes qui tu connais dans ton école. Chacun, des pleines lunes de l'amour par nous, et par les hommes, nous essaierons de travailler et d'étudier le meilleur que nous savons et pour cela il n'y a pas des âges et je, bien sûr je me sens jeune et pléthorique pour suivre. Par les autres ma vie s'écoule ici bien. Je vous ai déjà dit qu'il(elle) mange très bien et que je n'ai besoin de rien absolument. Vous savez que je suis contre la société de consommation et le gaspillage dans lequel beaucoup de gens vivent dans l'actuelle vie. Dans ce sens j'ai le fondamental dans qu'aux biens matériels il(elle) se rapporte, un crayon, un papier(rôle), des livres et celles-ci mêmes Cette lettre(carte) était, surtout, pour Juan et avec Juan je finis. Je veux qu'avec elle la tranquillité t'arrive. Rien de combien de ne nous arrive il peut tomber dans le vide. Aucune expérience ne perd, c'est une énergie qui s'accumule et est obligation de l'homme qui peut le faire, étudier et de faire des recherches, d'apprendre chaque jour plus. Je suis heureux dont tu accomplis tes 18 années entre amis, un millionnaire de culture et d'inquiétudes et ai l'impression de ce que nous te laissons la meilleure hérédité. Il(elle) voit en courant à voir les amis. Dis-eux que je les aime, que je souris à le lui(leur) dire qui rien n'existe dans ma vie qui est dans une contradiction avec ce que je vais et pense et qu'un jour, quand ce jugement aboutira à la lumière se comprendront les choses et je serai heureux. Juan anniversaire heureux aimé

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