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Huambo

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Huambo (ancienne Nova Lisboa), ville du centre-ouest de l’Angola. À 1 701 m d’altitude, sur le plateau de Bié, Huambo se situe au cœur d’une région fertile, vouée à la culture du café, des hévéas et du coton. L’économie de Huambo, l’un des principaux centres de transport de l’Angola, repose essentiellement sur l'industrie alimentaire et la réparation d'équipements ferroviaires. La ville a été fondée en 1912 par les colonisateurs portugais, initialement pour accueillir les ouvriers travaillant à la construction de la ligne de chemin de fer reliant Benguela, sur la côte atlantique, à la province du Shaba, dans l’actuelle République démocratique du Congo. Huambo s’est développée grâce au chemin de fer et est devenue un important marché agricole, où s’échangeaient les produits de la terre et le bétail. Rebaptisée Nova Lisboa, en 1928, elle était destinée à devenir la nouvelle capitale de l’Angola, projet qui fut cependant abandonné. En 1975, lorsque l’Angola devient indépendant, Huambo retrouve son nom originel. Se trouvant au centre du pays ovimbudu, dominé par la guérilla de l’Union nationale pour l’indépendance totale de l’Angola (UNITA), Huambo est considérablement endommagée par la guerre civile opposant l’UNITA au Mouvement populaire de libération de l’Angola (MPLA). Depuis l’indépendance, les liaisons aériennes et ferroviaires sont fréquemment interrompues, limitant le développement de la ville et de la région dont elle est le chef-lieu. Population (1995) : 400 000 habitants.

« ment aux pays non signa­ taires des accords .

• En pratique : Toutes les formalités de contrôle sont suspendues à l'inté­ rieur des frontières délimi­ tées par les accords de Schengen.

En revanche, toute personne désirant se rendre dans un pays li­ mitrophe - T chécoslova­ quie, Albanie ...

-est sou­ mise à des contrôles d'identité non seulement systématiques, mais par­ fois plus sévères.

Dans les aéroports, ni les voyageurs empruntant un vol reliant deux pays de la CEE ni leurs bagages ne sont plus soumis à des contrôles d'identité.

Ce­ pendant, les contrôles de sécurité, c'est-à-dire le pas­ sage aux rayons X des bagages et des voyageurs avant l 'embarquement, sont maintenus.

Ces me­ sures se justifient par la lutte antiterroriste menée par tous les pays en général.

Les passagers de vols à destina­ tion ou en provenance de pays tiers sont contrôlés au dernier aéroport de sortie ou au premier aéroport d'entrée.

• Les marchandises : Les voyageurs circulant à travers les pays de la CEE peuvent désormais ache­ ter et transporter toutes LA LOI ET VOUS marchandises acqu1ses dans l'un quelconque de ces pays sans avoir à dé­ clarer quoi que ce soit à la douane.

Les denrées sont acquises toutes taxes comprises et passent la douane quelle que soit leur quantité et leur valeur, alors que jusqu'à la fin de 19921es Français n'étaient autorisés à faire entrer en France sans formalité que l'équivalent de 4 200 F et une quantité réglementée de tabac et d'alcool.

Seuls certains biens, comme les objets d'art ou les armes, font encore l'ob­ jet d'une réglementation particulière.

Une adresse à retenir si vous désirez vous informer plus complètement sur ce sujet : 47 bis, rue Barthélemy-Delespaul, 59999 Lille.

L'Agence européenne d'information sur la consommation (AEIC) Centre régional de la consommation Tél.

: 20-60-60-60 .

Et sur le Minitel , tapez 3614 AEIC.. »

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