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ILLSUTRATIONS POUR LE POÈME - hugo

Publié le 27/02/2008

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hugo

ILLSUTRATIONS POUR LE POÈME „MELANCHOLIA“ DE HUGO, EDITION HETZEL 1880

 

Cette illsutration n’est pas une représentation réaliste du travail des enfants mais c’est une caricature pour montrer l’enfer que vivent ceux-ci. L’image touche donc à une vision fantastique. C’est une perssonification du travail des enfants. Il y a un axe de symétrie (__) dans l’illustration qui montre que la machine ressemble à un monstre (yeux bouches...). Tout se retrouve des deux cotés. Meme les enfants sont en même nombre de chaque côté de l’axe.

 

L’image est composée de plusieurs éléments. L’élément majeur est la machine (__) qui prend une place considérable dans cette illsutration. La machine dans le poème de Victor Hugo est qualifié de „prison, une machine sombre, monstre hideux, un bagne, un enfer“. On voit bien sur l’illsutration que la machine ressemble à un monstre (__) : „la bouche“ où tous les enfants sont rassemblés pour travailler. Cf „sous les dents“, „ qui mache on ne sait quoi dans l’ombre“. La machine est donc vu sous un jour effrayant comme dans la Bête Humaine de ZOLA, et le Voreux dans Germinal. La machine est „d’airain et de fer“ -> matériaux durs.

Le second élément tous les enfants (__) qui sont accroupis. Les enfants travailleurs sont assimilés à la machine, ils font toujours la même chose, sans cesse : „dans la même prison, le même mouvement“. Ils sont assimilés à des esclaves. Cependant dans le poème; Hugo indigné qualifie les enfants de „doux etres pensifs, filles de 8 ans, innocents, anges, petits comme nous sommes“. L’agilité, la souplesse, la petite taille des enfants font su’ils sont utilisés pour surveiller les machines dans les mines. Sur l’illustration, on peut compter 6 enfants. Deux filles sont à l’avant de la machine, tandis que 4 enfants sont à l’intérieur de la machine accroupis par terre. On peut voir qu’ils sont sales comme il est dit dans le poème „Aussi, quelle pâleur, la cendre est sur leur joue“. (__).

 

La tonalité de l’ensemble montre ce que les enfants vivent à l’époque lorsqu’ils travaillent. De plus ils ne font que travailler pendants des heures. Ils n’ont aucune éducation puisqu’ils ne vont pas à l’école. Leurs conditions de vie sont mauvaise. Le dernier vers du poème „d’Appolon un bossu, de Voltaire un crétin“ montre ce que les enfants vont être:“ bossu et crétin „

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