jeannot et colin

Jeannot et Colin Jeannot est fils de commerçants tandis que Colin est fils de pauvres paysans. Ils ont un joli physique. Colin est sensible, il pleure. Jeannot à un air de supériorité et est méprisant. Il st vaniteux, satisfait de lui-même. L’évènement perturbateur engendre une modification des caractères (le père de Jeannot devient riche). Péripéties : le départ de Jeannot à Paris. Ironie : le narrateur est omniscient. Expression ironique : «  monsieur le marquis », exagération. Voltaire se moque des nouveaux riches qui ne sont pas nobles. Complicité entre le lecteur et l’auteur « on ». Conclusion : La présentation des personnages est très simplifiée, le récit est mené très rapidement. Il y a un jeu ironique avec le lecteur qui augmente le plaisir de lire pour éviter un enseignement pesant. Jeannot et sa famille sont à Paris, ils ont été anoblis. Ses parents veulent lui donner une éducation, ils ont achetés un titre de richesse. Ils consultent un auteur puis un gouverneur. Voltaire critique les parents et les conseillés des parents. Personnages : père, mère, gouverneur et auteur. Les parents ne sont pas d’accord, la mère veut que Jeannot soit aimable alors que le père veut qu’il fasse du latin. L’auteur ne veut pas qu’on apprenne les langues anciennes (mauvaise argumentation, ironie). Le gouverneur refuse l’apprentissage (géographie, astronomie, géométrie). Chacun donne son opinion. Il y a des figures de style ironiques. La mère pose beaucoup de questions, le père est ignorant. Ironie de Voltaire : comique de geste, de langage, de caractère, de répétition, de situation. «  la géométrie est une mauvaise plaisanterie » : géométrie et plaisanterie s’opposent, c’est une antithèse. « les femmes ont cette supériorité sur nous que parce qu’elles ne savent pas le latin », supériorité s’oppose à « ne savent pas ». Procédés Hyperbole : « accablement du désespoir » ; « abîmé dans sa douleur » : Voltaire accentue les émotions de Jeannot pour mieux faire apparaître Colin comme un sauveur. Enumération : lignes 2,3 et 4. Cela montre l’apparition de Colin qui possède beaucoup de biens. Oxymore : « grossièrement agréable » : apparence gentille. Comparaison : « la voiture n’allait pas comme le char d’un petit maître » : Voltaire fait allusion à Jeannot qui était riche dans le passé. Antithèse : « confus et attendri » ; « douleur et joie » ; « tendresse et honte » : Jeannot regrette ses mauvaises actions, il est transformé. Anaphore : répétition de « nous » : paroles de Colin rapportées au style direct. Cela montre la régularité de la vie travailleuse de Colin qui aboutit au bonheur. Impératif : « ne sois plus marquis » ; « viens dans l’hôtellerie » : Colin donne de bons conseils, son amitié n’a pas changée. Périphrase : « le coin de terre où nous sommes nés » : symbolique de la terre natale où l’on a était heureux avec son ami d’enfance.