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Le corbusier, un oeuil perspicace

Publié le 29/04/2013

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  Différentes « cités radieuses « ont vu le jour en France dans la seconde seconde partie du XX è siècle grâce à des architectes . Quels étaient leur objectif et leurs caractéristiques ?   Les réalisation par Le Corbusier ou l'expression d'une réflexion théorique sur le logement collectif : Les unité d'habitation connue sous le nom de Cité radieuse tentant de concrétiser une nouvelle forme de cité , un « village vertical «/ de Marseille, que les Marseillais nomment familièrement « La Maison du fada «,résidence édifiée entre 1945 et 1952 , bâtie sous forme de barre sur pilotis et comptant 337 appartements en duplex séparés par des « rues intérieures «. Elle est essentiellement composée de logements, elle comprend également au niveau de sa rue centrale des bureaux et divers services commerciaux (pâtisserie, hôtel, restaurant gastronomique, librairie spécialisée, etc.). Le toit terrasse de l'unité, libre d'accès au public, est occupé par des équipements publics : la cour de récréation de l'école maternelle, un gymnase, une piste d'athlétisme, une petite piscine pour enfants et un auditorium en plein air. / de Rezé ou La Maison familiale, est une résidence sous forme de barre sur pilotis située dans la commune de Rezé (Loire-Atlantique), au sud de l'agglomération nantaise . Installée dans un parc boisé de 6 hectares et au pied d'une pièce d'eau, elle fait 52 m de haut, 108 m de long, et 19 m de large. Elle est plus petite que celle de Marseille. Elle comprend 294 logements répartis sur 17 étages et accessibles par 6 rues intérieures. Ils peuvent accueillir 1400 personnes. Les appartements sont en duplex « montant « ou « descendant « et profitent de la double orientation est-ouest de chaque côté de l'immeuble ou sont exposés au sud. Ils sont cependant plus petits et moins variés que l'unité marseillaise. Les équipements sont constitués d'une école maternelle située sur le sommet du toit et de locaux collectifs entre les escaliers. Un bureau de poste y est implanté (mais quitte le site en 2002). La coopérative a cependant refusé d'y inclure une rue commerçante. / de Briey-en-Forêt, construite entre 1959 et 1960 à Briey (vers Metz) , elle s'inscrit dans un projet plus large de nouveau quartier d'habitation en pleine forêt . C'est Georges-Henri Pingusson qui est l'architecte en chef de ce projet de quartier et qui réalise d'ailleurs 2 ensembles de 100 logements et une école à proximité de l'unité. L'objectif est de loger la population alors en pleine augmentation en lien avec l'expansion des mines de fer et de l'industrie sidérurgique. Le bâtiment proposé fait 110 mètres de long et 56 mètres de haut. Il comprend 339 logements en duplex répartis sur 17 étages avec six rues intérieures. Le modèle est celui de la Cité Radieuse de Rezé repris quasiment à l'identique avec quelques nuances : les logements sont plus petits (contraintes des HLM obligent), il n'y a aucun équipement sur le toit ni rue commerciale. Demeure habité quelque temps. / de Firminy-Vert ( vers Lynon) est le plus important site réalisé par l'architecte en Europe . Il plancha sur deux plans d’urbanisme : le premier, en 1958, était l’élaboration d'un centre civique (stade municipal, maison de la culture et de la jeunesse et l’église) ; le second, vers 1962, était la réalisation d’un projet de 3500 logements repartis sur trois unités d’habitations. Il prévu aussi des équipements scolaires et commerciaux.     Auguste Perret : Outre ces jugements de valeur inévitablement subjectifs, il a joué un rôle déterminant : premier architecte à saisir l'intérêt constructif du béton armé (au début des années 1900), il est toujours resté attaché à ce matériau à la fois économique et robuste, tout en initiant quelques principes comme le « style sans ornement « , la structure poteau-poutre-dalle ou le plan libre.     Ainsi, certains historiens voient l’évolution de l’Architecture moderne comme un fait social, lié au projet de modernité et donc proche des Lumières. Ce serait l’aboutissement des révolutions sociales et politiques. D’autres voient le Mouvement moderne comme résultante du développement technique tant il est vrai que les possibilités des nouveaux matériaux comme le fer, l’acier, le béton et le verre ont conduit à l’invention de nouvelles techniques de construction contribuant à la révolution industrielle.

« maternelle située sur le sommet du toit et de locaux collectifs entre les escaliers.

Un bureau de poste y est implanté (mais quitte le site en 2002).

La coopérative a cependant refusé d'y inclure une rue commerçante. / de Briey-en-Forêt, construite entre 1959 et 1960 à Briey (vers Metz) , elle s'inscrit dans un projet plus large de nouveau quartier d'habitation en pleine forêt .

C'est Georges-Henri Pingusson qui est l'architecte en chef de ce projet de quartier et qui réalise d'ailleurs 2 ensembles de 100 logements et une école à proximité de l'unité. L'objectif est de loger la population alors en pleine augmentation en lien avec l'expansion des mines de fer et de l'industrie sidérurgique.

Le bâtiment proposé fait 110 mètres de long et 56 mètres de haut.

Il comprend 339 logements en duplex répartis sur 17 étages avec six rues intérieures.

Le modèle est celui de la Cité Radieuse de Rezé repris quasiment à l'identique avec quelques nuances : les logements sont plus petits (contraintes des HLM obligent), il n'y a aucun équipement sur le toit ni rue commerciale.

Demeure habité quelque temps.

/ de Firminy-Vert ( vers Lynon) est le plus important site réalisé par l'architecte en Europe .

Il plancha sur deux plans d'urbanisme : le premier, en 1958, était l'élaboration d'un centre civique (stade municipal, maison de la culture et de la jeunesse et l'église) ; le second, vers 1962, était la réalisation d'un projet de 3500 logements repartis sur trois unités d'habitations.

Il prévu aussi des équipements scolaires et commerciaux.

    Auguste Perret : Outre ces jugements de valeur inévitablement subjectifs, il a joué un rôle déterminant : premier architecte à saisir l'intérêt constructif du béton armé (au début des années 1900), il est toujours resté attaché à ce matériau à la fois économique et robuste, tout en initiant quelques principes comme le « style. »

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