Lettre de Walter Redlich à sa femme

Ma bien-aimé Jettel  Je peux m’imaginer l'agitation que la lettre tombera, mais je vous demande d'être fort maintenant. La communauté juive de Nairobi la semaine dernière a accepté de payer les frais d'immigration. Maintenant il est temps. Après six mois, je peux enfin relâcher Regina et te rencontrer ici. Je t’ en supplie, n’ hésiter un jour de plus, mais rend toi immédiatement à Karl Silbermann. Il peut vous aider avec les billets de bateau. Dites-lui que ce navire, il est et combien de temps cela va n'a pas d'importance. Tant que cela vous prend à la fois.    Jettel, nous avons besoin d'urgence, est un réfrigérateur. S'il ne passe plus dehors dans vos deux caisses, balancer pour cela le service de Rosenthal. C'est complètement insignifiant ici et procure encore quelques Petromax des lampes, en outre, des secteurs de moustique et chaussures fermes pour toi et Regina. Tenter dans tous les cas, prendre l’argent et les bijoux.  Vous savez ce que les nazis ne nous font déjà. Parler aussi peu que possible sur vos plans .Vous ne pouvez pas faire confiance à personne, pas même le peuple qui venait d'être nos meilleurs amis. Oh Jettel, mon cœur se brise à la pensée que je risque de bientôt disparaître deux d'entre vous dans mes bras. Il est difficile quand j'imagine comment douloureuse cette lettre à ta mère est.