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Limites des métropoles et mégalopoles dans le monde

Publié le 17/04/2011

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III- Limites

 A.Enjeux environnementaux

1)    Surpopulation

Raréfaction des terres cultivable du fait de la rapide croissance de la pop et le dvpt  des grandes exploitations engendrant une masse de pop sans terre et sans emploi du fait des progrès des la méc agricole amènent de nombreux ruraux dépossédés à venir s’entasser en ville à la recherche d’un travail quelconque.

L’arrivée en grand nombre de population dans les villes entraîne toujours un manque de logement et une forte hausse des loyers. Lorsque la limite des possibilités d’accueil est atteinte, on assiste à l’apparition d’habitats spontanés : les bidonvilles. Dans ces quartiers, à la misère s’ajoute le problème de l’alimentation en eau potable et l’absence de ramassage des ordures. Les maladies se développent et tuent les plus fragiles (bébés et enfants).

2)    Ecologie

Pollution sonore, atmosphérique et visuelle, de l’eau : c’est le fléau des grandes métropoles. Transport, industrie et activité domestiques sont majoritairement à l’origine de cette pollution.

Gérer la circulation est sans doute la question la plus communément partagée par les responsables des gdes métropoles. La motorisation à un impacte nocif sur l’environnement (à Rio le nombre de déplacement en bus que de 5% depuis 1960 alors que le nombre de déplacement en véhicules indiv à augmenté de 430%). Elle génère des gaz à effet de serre et un bruit permanent qui nuisent ts deux à la santé humaine.

Mip de politiques de mobilité, on créer des Plan de Déplacement Urbain (France, Cananda et Europe)

Consommation énergétique et concentration industrielle : à l’origine ne grande partie de la pollution atmosphérique. Pollution actuelle est formée majoritairement de plomb, de monoxyde de carbone, de monoxyde d’azote et d’ozone.

Collecte et traitement des déchets : Forte prod au nord (1, 46kg en IDF par jour en moyenne) mais un bon niveau de collecteet de recyclage. Tandis qu’au Sud,  4 fois inférieureen volume mais collecte rarement assurée à plus de 70%, décharge mal controlées et recours très limité au recyclage (seule moitié des 4500t de déchets solides produites quotidiennement à Dehli est collectés). Traitement nécessite des éléments techniques plus avancés que la simple collecte et une fois de plus l’écart se creuse entre le mét dév et celle ne dvpt

 

 B. La montée des risques

 

Dans ces villes surpeuplées les csq des catastrophes sont beaucoup plus graves puisque tout est concentré au même endroit. Les métropoles ne sont à l’abri d’aucun risque et dans certains cas elles les entretiennent.

-         Risque sanitaire : risques sanitaires autrefois liés au climat locaux, à la déficience des services urbains ou à des pathologies endémiques « classique » ont évolué et sont de plus en plus lié au changement climatique. En témoignent les vagues de chaleurs (Paris, 2003, 4860 morts) et les phénomènes météorologiques exceptionnels (innondations, sécheresse..). Effets indirectes également puisque ces évènements favorisent la propagation d’insectes vecteurs et de maladies. La pollution également à l’origine de troubles accroissant les risques d’allergie (explosion de l’asthme ds les métropoles depuis 20 ans). De plus ces métropoles fonctionnant en réseau on a également constaté la diffusion de maladies à l’extérieur de leur contexte géo climatique (fièvre du Nil à New York depuis 1998) et la propagation de nouveaux virus très contagieux constitue une autre préoccup (grippe aviaire, H1N1)

-         Risque naturel : séisme, glissement de terrain, innondations, ouragans, tempêtes, éruption, incendies, les territ métropolitains sont fortement exposés : concentration d’équipement, d’activité, d’infrstructures, dépendance envers les sys de transports, gestion centralisée de l’eau, de l’NRJ, des télécom. Plusieurs métropoles sensibles ont engagé des pol novatrices en la matiere depuis les début des années 90’ avec des normes de constructions et l’orga des secours en cas de crise (Mexico et Tokyo) .Comme pour le risque sanitaire, il y a une probable influence des évolutions climatiques actuelles dans la recrudescence des catastrophes naturelles (le Dartmouth Flood Observatory a observé une plus grande fréquence des cata nat depuis les 80’)

-         Risque industriel et énergétique : explosion d’usine, nuage toxique ou pannes énergétiques (coupures généralisées d’élec ou de gaz). Ce risque est démultiplié dans les grandes métropoles. Insta indus et de stockage y sont en effet plus nombreuses et à cause de la surpop souvent situé trop près des pop. Elles entrainent donc des risques autant liés à leur exploitation courante (accident de Bhopal, 3 à 15 000 morts directs et Mexico en 1984, 487 morts) qu’à l’impact des cata naturelles (raffineries et installation de gaz ds la baie de Tokyo auraient des csq territble en cas de séisme à épicentre dans la métropole). Sans parler des centrales nuclaires dont la plupart se trouvent peut etre trop proches des grandes métropoles (rayon de 100km, une 20aine déjà de centrales dans la mégalopolis dont celle Three Miles Island, terrible accident en 79)

  • On renforce les procédures d’autoriation, on determine des zones d’effet mortels (Z1) et d’effets significatif (Z2)

-         Riques d’insécurité : métropoles cristallisent grand pb de la société si bien qu’elles deviennent des lieux privilégiés de la victimisation individuelle comme de la contestation colletive.

-         Risque terroriste : Toutes les métrop doivent intégrer ce 5ème type de rique qui s’est accentué depuis la fin des 80’ et s’est encore renforcé en 2001. On a constaté depuis cette date une capacité frappante de leurs auteurs à effectuer des frappes complexes et au cœur des grandes métrop du monde occi et non plus seulement dans ds pays instables politiquement comme c’était le cas avant (attentats métro Madrid et Moscou, 200 et 40,  en 2004 et NY 2001 3000 morts)

Préoccupant et difficiles à gérer, plus de 50 000 morts (cata + attentas) ds grdes métrop depuis 25 ans.

 

 

 C. Accentuation des inégalités de développement

Echelle internationale : les métropoles, fonctionnant en réseaux ; polarisent l’essentiel de l’économie et des flux mondiaux : vingt d’entre elles gèrent 85% des flux financiers mondiaux  et 25 aéroports polarisent 70% du trafic aérien. A l’exception d’une vingtaine de métropoles et des 3 géants au Sud, la mondialisation touche peu les pays du Sud qui restent majoritairement des « marges évitées ». Ils rassemblent soit les pays n’ayant rien à offrir aux pays développés, soit les Etats mis au ban des nations pour des raisons politiques (Cuba, Birmanie…) soit des pays ravagés par l’instabilité pol et les guerres civiles. Ils sont très peu métropolisés.

Echelle régionale : Les métropoles et grandes capitales économiques comme Sao Paulo, Delhi ou Shanghai  monopolisent les activités modernes et internationalisés.  Ce qui engendre de grandes disparités de développement économique  et social  >Italie Mezzogiorno et Chine en 2008 ZU 91,75% des ménages équipés en réfrigérateurs contre seulement 22,48% en ZR selon le PNUD.

Echelle locale : dipsarité meme entre citadins (bidonville, exclusion)

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