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Peut-on exister sans les autres?

Publié le 08/05/2011

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Peut-on exister sans les autres ? La réponse à cette question parait banale, en effet, la possibilité de vivre seul, sans personne parais normale et faisable. Il serait même possible qu'elle soit naturelle et meilleure que la vie en société, cela serait comme un nouvel état, un « Etat de nature «. Nous pouvons subsister, donc exister sans l'entourage, simplement seul. En effet le cas des enfants sauvages ou même l'exemple de Robinson Crusoé, nous ferait acquiescer cette possibilité. Ils ont réussit à vivre seul, loin de la société et des personnes. Cependant, leurs cas n'est pas forcément aussi parfait qu'on pourrait le croire, ils ont réussies à vivre, mais les recherchent nous pousseraient à croire qu'ils ont survécues. Pour les Grecques, l'existence est possible grâce aux autres et la communication. Alors si je vis seul, je n'échange pas, donc je n'existe pas. Si je ne peux exister sans les autres, cela veut dire que je suis dépendant de mon entourage et que sans eux je ne suis rien, je ne serais donc pas libre, et je dois quelque chose aux autres car ils ont permis que j'existe. Alors, exister serais à conditions de pouvoir grandir, et évoluer près des autres. Notre existence ne serait pas grâce à nous et nos efforts, mais aux autres qui nous entourent, elle ne serait pas innée, nous ne serions donc pas homme naturellement mais par les autres. C'est-à-dire que chaque chose que j'ai cru acquérir seul, par mes propres moyen, cela serait les autres qui me l'aurait permis. D'un côté exister sans les autres serait un état naturel qui ne serait que mieux, que l'existence en société qui nous paraitrait pourtant la plus évidente, mais d'un autre côté nous ne pourrions peut être pas être « homme « sans les autres. Alors serait-t-il possible d'exister sans les autres ? Puis-je réellement exister sans les autres ? Ne serions-nous pas libre d'exister par nous même ? Aurions-nous la possibilité de vivre seul, et cela serait-t-il meilleure qu'en société ? Devrions-nous vivre ou survivre ? La solitude serait t'elle signe de bonheur, et de progression, ou de tristesse et régression ? En considérant que vivre seul, serait meilleur pour l'homme, il serait donc mieux que nous soyons tous dans cette solitude. Cependant, l'existence d'un homme seul peut être idéalisé par rapport à la réalité de se qu'il en était si l'on retournait à l'Etat de Nature. Lorsque l'on parle de l'existence, le terme « état de nature « est souvent utilisé pour défendre l'idée d'un état sauvage que l'on pourrait se faire d'un homme ayant toujours vécu seul ; par exemple l'homme préhistorique qui ressemble a un animal, qui est représenté comme un être vulgaire et sans réflexion plus approfondie. Pourtant l'homme préhistorique n'était pas un être à l'état de nature. Alors est ce encore plus primitif que l'image que l'on se fait déjà d'un homme préhistorique ? L'état de nature est imaginé par Jean Jacques Rousseau (18ieme siècle) qui critique et observe les moeurs de son époque sous la monarchie absolue. Lors d'un concours d'écriture, Rousseau va écrire un livre : « discours sur l'origine des inégalités. 1755 « Sa thèse étant que les hommes sont différents, mais qu'il n'y a pas d'inégalités, en revanche que c'est l'entrée en société qui crée des inégalités future. Donc la vie en société pour jean Jacques Rousseau cela n'est pas une bonne chose. Mais alors pourquoi parle-t-il d'état de nature ? Il est question d'état de nature car Rousseau va avoir une nouvelle vision de l'homme. En effet pour lui l'homme seul est un être parfait, complet qui n'a besoin de rien d'autre, qui se suffit à lui-même, qui n'a pas besoin d'autrui pour survivre. D'où d'ailleurs cette citation qui dit que : « en considérant l'homme tel qu'il a du sortir des mains de la nature, je vois un être moins fort que les autres mais organisé le plus avantageusement de tous. Je le vois se rassasiant sous un chêne, se désaltérant au premier ruisseau, trouvant son lit au pied du même arbre qui lui a fourni son repas, et voila ses besoins satisfait. « Lorsque l'on voit cette définition de l'état de nature, on pense tout de suite aux fameuses histoires de tarzan, ou le livre de la jungle. Des enfants qui deviennent adultes et qui vivent tranquillement, qui communiquent et vivent avec les animaux et tout se passe très bien. Cela nous fait donc plutôt penser à une image idéalisé de l'état de nature, comme un rêve, une utopie. Dans cet état on ne pense à rien, on pense juste à se nourrir et s'entretenir, l'homme est donc ignorant innocent et sans conscience. L'état de nature donne envie d'y croire, comme être tranquille, cela peut d'ailleurs faire penser à la vie d'Adam et Eve dans le jardin d'Eden, le lieu parfait, l'abondance de nourriture, la cohésion avec les animaux, sans connaissance, juste peut être parler d'instincts, mais c'est quand Eve va donner le fruit à Adam pour avoir la connaissance du bien et du mal qu'il vont être dénaturées, et vont prendre conscience qu'ils sont nus et donc la naissance du désir et de l'envie. Alors peut être était ce cela l'état de nature parfait que l'on pourrait s'imager ? Mais qu'il y a-t-il de si mal à savoir, apprendre et penser ? Cela nous empêcherais t'il d'avancer ? Rousseau pense que la société, que l'état civile rend l'homme dénaturé, il perd quelque chose. Cela crée une dépendance, puisque dans la civilisation, on a de l'entourage puis, on aide, on rend des petits services, on se fait aider, en réalité, il y a toujours une reconnaissance, quelqu'un est toujours supérieur ou inferieur à nous même. D'où le début de la jalousie de l'envie d'avoir se que l'autre possède. Puis lorsque la jalousie est la, les conflits commence à arriver. Pourquoi lui possède t'il cette belle voiture et moi pas ? Pourquoi il est président et elle non ? Puis des injustices naissent. Et puis comme on peut le voir au cours de l'histoire, des guerres pour des terres, des continents, puis la régression de l'homme à l'état de l'esclavage. Tout cela est défini par Rousseau comme une régression de l'Homme, en effet pour lui, s'est la société qui crée la société et la guerre. Rousseau est donc nostalgique d'un état de nature. Mais alors, si il aime tant cet état de nature, pourquoi ne pas y remédier et tout simplement tous nous faire retourner à l'état de nature ? En effet, imaginons, que d'un seul coup tout le monde quitte sa maison et va dans la forêt que chacun abandonne sa famille ses amis et ses connaissances, qu'il devienne complètement naturel. C'est vraiment impossible même impensable, cet état de nature ne restera qu'un rêve pour Rousseau, celui-ci n'est pas un anarchiste, il ne veut pas tout révolutionner le monde entier, il souhaite tout simplement une société meilleure, il l'appellera « la moins pire de toute « c'est l'égalité, une démocratie. Il a mené le peuple à la révolution, les idées guident le monde. En effet, la preuve en est que maintenant nous vivons sous un système démocratique. L'image de l'homme à l'état de nature parait idéalisée, mais si nous devrions expérimenter cet état cela serait totalement impossible, rien que par le fait d'imaginer retirer un enfant du sein de sa mère pour le laisser dans la nature, sans savoir se qu'il se passera par la suite puisqu'il faut que le petit ne voit jamais un humain. Donc moralement et techniquement impossible. Mais si l'on découvrait un enfant isolé prématurément ? Comment cela se passerait t'il ? Comment l'enfant réagirait ? C'est se que l'on appel le cas des enfants sauvages. Alors, peut-on exister sans les autres ? Le cas des enfants sauvages n'est pas tellement inconnu, il fait même partit de notre culture, puisque nous connaissons tous Tarzan, le livre de la jungle ou bien même l'histoire des jumeaux Romus et Romulus. Mais alors, vivre depuis le début comme un être naturel est t'il aussi parfait que l'on voit dans les dessins animé, et ainsi que Rousseau l'espérait ? Imaginons, un bébé qui est abandonné dans la jungle, la première idée s'est que déjà il se ferais manger par une bête féroce ou écraser par un arbre, ou noyé par la pluie, mais même tout simplement mort de faim. Et s'est la qu'entre le mystère, comment cet enfants va-t-il survivre à la faim ? Bien sur on connait le mythe de la louve qui récupère l'enfant et lui donne de son lait mais est-ce réel ? Nous n'en savons pas tellement car le plus intéressant est à venir. En effet, dans les livres ou dessins animés que nous voyons, l'enfant grandit, s'habille et communique avec les animaux, chasse et tout fonctionne très bien, mais si cela n'était qu'une belle histoire racontée aux enfants ? Car une réelle histoire est celle de Victor l'enfant sauvage. L'histoire est réelle et a été écrite par Lucien Malson. Cet enfant qui s'appellera Victor par la suite est soustrait accidentellement ou criminellement et pour un temps prolongé du contact de tout être humain et de la société. Des chasseurs vont trouver cet enfant ou du moins ce petit être, âgé environ d'une dizaine d'année, il sera capturé et placé à l'asile à Paris. Naturellement il attira très rapidement la curiosité, ce petit être a été retrouvé nu, avec une hygiène déplorable, et se déplaçant à quartes pattes, grognant et mordant. Ce petit être a des troubles du comportement, de perceptions sensibles ; la conclusion est qu'il n'est ni homme ni animal. Alors est ce cela que Rousseau appelait « état de nature « ? En effet on peut remarquer que c'est loin de la belle image que nous faisais Rousseau dans sa description et que c'est également très loin de toute ces belles histoires que l'on connait par coeur et que de génération en génération nous transmettons. Mais alors, ce petit être peut-il évoluer pour devenir un humain, est ce que la société peut l'aider à évoluer ? On pourrait se dire que puisqu'il a toujours été comme sa il va toujours y rester, on ne peut pas progresser à un âge aussi élevé et un déficit aussi important, à tel point que l'enfant n'a pas de conscience réfléchie, il restera donc toujours un être ni homme ni Humain. D'ailleurs Lucien Malson citera « Les enfants privés trop tôt de tous commerces sociales demeurent démunies dans leur solitude, au point d'apparaitre comme des bêtes dérisoires, comme des moindres animaux « Mais, on observe Victor dans un milieu qui n'est pas le sien, on fait des affirmations sur des problèmes, et des reflexes qu'il a ou qu'il n'a pas, mais pourtant pendant environ 10 années il a survécue dans la forêt seul. Et nous ne pouvons savoir s'il était heureux ou pas, alors, nous ne saurons jamais si cet état de nature est oui ou non, meilleur que la civilisation. Et malgré se que tout se que les personnes pouvaient dire, ou le pensait, le Docteur Jean Itard qui a observé et éduqué cet enfant sauvages pendant 10 années va démontrer que toutes ces affirmation ne sont que simples logiques et que au contraire le petit être pourra grandir. Petit à petit, alors que tout le monde oublie cet enfant, Victor évolue est apprend à être humain. Le fait de côtoyer des humains et d'être entouré, Victor va changer et va adopter des comportements de plus en plus proche de l'homme en s'éloignant de ceux de l'animal. Mais alors cela veut dire que Victor évolue et apprend à être humain grâce à l'humain ? Et que grâce à ce docteur, il peut être humain. Il est humain parce qu'il est avec les autres. Cela veut donc dire que même si il a survécue dans la forêt, il n'était pas homme, mais que maintenant il exister grâce aux autres. L'entourage, l'amour, et l'humanité lui a appris à être lui. L'inhumanité de Victor provient de l'absence de stimulation des facultés humaines ; l'Homme est le résultat de se qu'on fait de lui, et de se qu'il fait de lui-même. C'est donc par l'entourage de Jean Itard donc de l'Humain que le petit être a appris a être un homme donc, il a exister comme un Homme grâce aux autres. Les Grecque dans l'anthropologie antique on toujours dit, que l'Homme est un animal Politique. Il est impossible de vivre seul, l'Homme seul est incomplet. Et c'est d'ailleurs se que l'on a pus observé chez le cas de Victor l'enfant sauvage, lorsqu'il a été récupéré, il était « incomplet « puisqu'il était différent. L'homme a besoin des autres pour survivre. Mais c'est de la vie en société que nait les problèmes de commerces, donc richesses donc jalousie, et donc c'est repartit pour l'Anthropologie moderne avec Aristote. Peut-on exister sans les autres ? Peut-on exister sans les autres ? Sous cette question les réponses les plus logiques ont rapidement été enlevées. En effet, on a vue que c'est la société qui rendrait l'homme mauvais et pas naturel ; et c'est de la que Rousseau a inventé l'état de nature qui paraissait vraiment utopique mais que celui-ci espérait vraiment. Puis nous avons compris de par l'expérience des enfants sauvages que cet état de nature n'était pas aussi parfait qu'il en avait l'air. Et enfin, les Grecques nous ont appris que la société était le plus important pour l'humain puisque sans cela il n'est pas humain. C'est à partir de toutes ces constatations que nous voyons que d'une question qui pourrait paraitre simple au début n'est pas aussi facile. Que nous pouvons exister sans les autre mais nous ne serions pas Homme, mais qu'avec les autres, un domaine de jalousie, et problèmes naitra forcément avec chaque existence fondée sur la civilisation. Alors « La seule chose la plus importante est d'exister, il est inutile de toujours chercher à prouver que l'on existe, puisque c'est une évidence «

« quitte sa maison et va dans la forêt que chacun abandonne sa famille ses amis et ses connaissances, qu'il deviennecomplètement naturel.

C'est vraiment impossible même impensable, cet état de nature ne restera qu'un rêve pourRousseau, celui-ci n'est pas un anarchiste, il ne veut pas tout révolutionner le monde entier, il souhaite toutsimplement une société meilleure, il l'appellera « la moins pire de toute » c'est l'égalité, une démocratie.

Il a mené lepeuple à la révolution, les idées guident le monde.

En effet, la preuve en est que maintenant nous vivons sous unsystème démocratique.L'image de l'homme à l'état de nature parait idéalisée, mais si nous devrions expérimenter cet état cela seraittotalement impossible, rien que par le fait d'imaginer retirer un enfant du sein de sa mère pour le laisser dans lanature, sans savoir se qu'il se passera par la suite puisqu'il faut que le petit ne voit jamais un humain.

Doncmoralement et techniquement impossible.

Mais si l'on découvrait un enfant isolé prématurément ? Comment cela sepasserait t'il ? Comment l'enfant réagirait ? C'est se que l'on appel le cas des enfants sauvages.

Alors, peut-onexister sans les autres ? Le cas des enfants sauvages n'est pas tellement inconnu, il fait même partit de notre culture, puisque nousconnaissons tous Tarzan, le livre de la jungle ou bien même l'histoire des jumeaux Romus et Romulus.

Mais alors,vivre depuis le début comme un être naturel est t'il aussi parfait que l'on voit dans les dessins animé, et ainsi queRousseau l'espérait ?Imaginons, un bébé qui est abandonné dans la jungle, la première idée s'est que déjà il se ferais manger par unebête féroce ou écraser par un arbre, ou noyé par la pluie, mais même tout simplement mort de faim.

Et s'est laqu'entre le mystère, comment cet enfants va-t-il survivre à la faim ? Bien sur on connait le mythe de la louve quirécupère l'enfant et lui donne de son lait mais est-ce réel ? Nous n'en savons pas tellement car le plus intéressantest à venir.

En effet, dans les livres ou dessins animés que nous voyons, l'enfant grandit, s'habille et communiqueavec les animaux, chasse et tout fonctionne très bien, mais si cela n'était qu'une belle histoire racontée aux enfants? Car une réelle histoire est celle de Victor l'enfant sauvage.

L'histoire est réelle et a été écrite par Lucien Malson.Cet enfant qui s'appellera Victor par la suite est soustrait accidentellement ou criminellement et pour un tempsprolongé du contact de tout être humain et de la société.

Des chasseurs vont trouver cet enfant ou du moins cepetit être, âgé environ d'une dizaine d'année, il sera capturé et placé à l'asile à Paris.

Naturellement il attira trèsrapidement la curiosité, ce petit être a été retrouvé nu, avec une hygiène déplorable, et se déplaçant à quartespattes, grognant et mordant.

Ce petit être a des troubles du comportement, de perceptions sensibles ; laconclusion est qu'il n'est ni homme ni animal.

Alors est ce cela que Rousseau appelait « état de nature » ? En effeton peut remarquer que c'est loin de la belle image que nous faisais Rousseau dans sa description et que c'estégalement très loin de toute ces belles histoires que l'on connait par coeur et que de génération en génération noustransmettons.

Mais alors, ce petit être peut-il évoluer pour devenir un humain, est ce que la société peut l'aider àévoluer ? On pourrait se dire que puisqu'il a toujours été comme sa il va toujours y rester, on ne peut pas progresserà un âge aussi élevé et un déficit aussi important, à tel point que l'enfant n'a pas de conscience réfléchie, il resteradonc toujours un être ni homme ni Humain.

D'ailleurs Lucien Malson citera » Les enfants privés trop tôt de touscommerces sociales demeurent démunies dans leur solitude, au point d'apparaitre comme des bêtes dérisoires,comme des moindres animaux »Mais, on observe Victor dans un milieu qui n'est pas le sien, on fait des affirmations sur des problèmes, et desreflexes qu'il a ou qu'il n'a pas, mais pourtant pendant environ 10 années il a survécue dans la forêt seul.

Et nous nepouvons savoir s'il était heureux ou pas, alors, nous ne saurons jamais si cet état de nature est oui ou non, meilleurque la civilisation.

Et malgré se que tout se que les personnes pouvaient dire, ou le pensait, le Docteur Jean Itardqui a observé et éduqué cet enfant sauvages pendant 10 années va démontrer que toutes ces affirmation ne sontque simples logiques et que au contraire le petit être pourra grandir.

Petit à petit, alors que tout le monde oublie cetenfant, Victor évolue est apprend à être humain.

Le fait de côtoyer des humains et d'être entouré, Victor vachanger et va adopter des comportements de plus en plus proche de l'homme en s'éloignant de ceux de l'animal.Mais alors cela veut dire que Victor évolue et apprend à être humain grâce à l'humain ? Et que grâce à ce docteur, ilpeut être humain.

Il est humain parce qu'il est avec les autres.

Cela veut donc dire que même si il a survécue dansla forêt, il n'était pas homme, mais que maintenant il exister grâce aux autres.

L'entourage, l'amour, et l'humanité luia appris à être lui.

L'inhumanité de Victor provient de l'absence de stimulation des facultés humaines ; l'Homme estle résultat de se qu'on fait de lui, et de se qu'il fait de lui-même.

C'est donc par l'entourage de Jean Itard donc del'Humain que le petit être a appris a être un homme donc, il a exister comme un Homme grâce aux autres. Les Grecque dans l'anthropologie antique on toujours dit, que l'Homme est un animal Politique.

Il est impossible devivre seul, l'Homme seul est incomplet.

Et c'est d'ailleurs se que l'on a pus observé chez le cas de Victor l'enfantsauvage, lorsqu'il a été récupéré, il était « incomplet » puisqu'il était différent.

L'homme a besoin des autres poursurvivre.

Mais c'est de la vie en société que nait les problèmes de commerces, donc richesses donc jalousie, et doncc'est repartit pour l'Anthropologie moderne avec Aristote.

Peut-on exister sans les autres ? Peut-on exister sans les autres ? Sous cette question les réponses les plus logiques ont rapidement été enlevées.En effet, on a vue que c'est la société qui rendrait l'homme mauvais et pas naturel ; et c'est de la que Rousseau ainventé l'état de nature qui paraissait vraiment utopique mais que celui-ci espérait vraiment.

Puis nous avonscompris de par l'expérience des enfants sauvages que cet état de nature n'était pas aussi parfait qu'il en avait l'air.Et enfin, les Grecques nous ont appris que la société était le plus important pour l'humain puisque sans cela il n'estpas humain.C'est à partir de toutes ces constatations que nous voyons que d'une question qui pourrait paraitre simple au débutn'est pas aussi facile.

Que nous pouvons exister sans les autre mais nous ne serions pas Homme, mais qu'avec les. »

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