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Piémont

Publié le 22/02/2012

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1 PRÉSENTATION Piémont, en italien Piemonte, région administrative du nord-ouest de l’Italie. Sa capitale est Turin. Le Piémont est délimité à l’ouest par la France, au nord-ouest par la région du Val d’Aoste, au nord par la Suisse, à l’est par la Lombardie, au sud-est par l’Émilie-Romagne, et au sud par la Ligurie. 2 GÉOGRAPHIE La région comprend les provinces d’Alexandrie, d’Asti, de Cueno, de Novare, de Turin et de Vercelli. Le Piémont est une plaine fertile bordée au nord par les Alpes, au sud par les Apennins, et au nord-est par le lac Majeur. La capitale régionale Turin est la plus grande ville du Piémont. 3 ÉCONOMIE La plaine du Piémont, l’une des plus importantes régions agricoles d’Italie, est drainée par le Pô et ses affluents. La pratique de l’irrigation est étendue, notamment dans les provinces de Novare et du Vercelli qui produisent de grandes quantités de riz. Les cultures maraîchères et céréalières se sont également développées ; la province d’Asti est connue pour ses vins et le Piémont produit 14 p. 100 du vin italien. L’élevage du bétail (moutons, chèvres) et la production laitière sont particulièrement importants dans l’économie des vallées ; le bétail et les porcs sont élevés en plaine. Turin est l’un des principaux centres industriels italiens. La métallurgie et l’industrie automobile (FIAT) y sont prépondérantes. Les autres activités industrielles de la région sont essentiellement le textile, l’habillement et les denrées alimentaires. Le Piémont est la seconde région économique du pays après la Lombardie. 4 HISTOIRE L’histoire du Piémont est étroitement liée à celle de la maison de Savoie dont les membres acquièrent de vastes territoires des deux côtés des Alpes au xie siècle. Ils étendent progressivement leurs possessions en Italie et, au début du xvie siècle, font de Turin leur capitale. Par la suite, le Piémont, du fait de sa position stratégique, est envahi à plusieurs reprises par les armées étrangères, dont celles du roi Louis XIV et celles de Napoléon. Celui-ci annexe le Piémont à la France en 1798. Seize ans plus tard, la région est restituée à la maison de Savoie qui règne sur la Sardaigne. Le royaume de Piémont-Sardaigne se révèle le plus progressiste de tous les États italiens et devient le cœur du royaume d’Italie en 1861. Superficie : 25 399 km2 ; population (2007) : 4 352 828 habitants.

« sujet, mais plutôt la profonde poésie de la Bible qui inspire cette vaste réali sation .

S'il fut tant attaché à cette inspiration, c'es t parce qu 'elle corre:;pondait à sa vision profonde de la peint ure d'être tout e t de n'être rien, si ce n'est le c message :.

transmis par les mains du pei ntre.

Cette préoccupation qui apparaît, dès 1910 , dans son œuvre ne le quitte désormais plu s jusqu'au jou r où il décide de réa liser dix-sept gra n ds tableaux qui seront au centr e du Message biblique.

Douze de ceux-ci év oq uent la Création de l'homme, l'histoire d'Abr aham, d'Isaac , de Jacob et de Moïse; les cinq autres s'inspirent du Canti que.

Réalisées d'a bord pour u ne chape lle de Vence, les t oiles, peint es entre 1954 et 1967 , devaien t trouver , avec le urs es­ qui sses préparatoires, des vitraux, une mosai que ct une tapis serie créées p our les accompagner, le lieu de leur présentation dans le bâtiment offert par Nice.

Deux auteurs de films disp ara issent Jean - Pie rre Melvill e et John Ford Le cinéaste Jean-Pierre MELV ILLE est mort le 3 aoilt 1973 des suites d'une crise cardia qu e.

De son vrai n o m J ean- Pierre Grumbach, cel ui qui alla it imposer u n style améri çain au cinéma frança is était né à Paris en 1917.

C'est pendant la guerre à Lond res, qu'il avait choisi de s'ap­ pel er Mel'\"i lle, en hommage à l'auteur de M obu Dick.

So n premier film, adapté du roman de Ver­ cors : Le silence de la mer, devait con quérir une juste notoriété.

L'écriture n'en était pas confo rme à celle qui avait alors cou rs e n France· on était loin du théâtre filmé, cher à la généraÙo n du temps, mais proche du récit ro­ manesque qui alla it donner sa p er sonnalité à la future nouvelle vague.

On peut dire que celle-c i a été devancée par Melville qui, en toumant , en 19 50, Les enfant s te rribles, de Jean Cocteau, devait e ncore affirmer davantage son originalité et sa maitrise.

Avec Bob le Flam­ b eur J'influen ce américaine se fait de plus e n plus' sensible; elle est franchement reconnue dans des œuvres comme Deux hommes dans Manhatla il ou l'A iné des Ferch aux.

Jean-Paul Belmondo a été un des interprètes favoris de Me lvill e; il a d'abo rd tourné avec lui Lé~n M orin, prêtre, d'ap rès le roma n de Béatr1~e Beek (1960 ), puis Le dou~o~! film sur.

le c m l­ lieu •· Les h is to i res pohc1eres deva 1ent, chez M e lvill e, teni•· une place imp ortan te à me~ure que les années passaient: Elle~ représenta 1e~t pour lui le moyen de fa1re na1tre la tragédie.

Le SamouraY, Le Cercle rouge, Un flic e n té­ moig nent.

Mais Le deuxième sou ffle ou L'a . T­ mée des o mbres fon t apparaitre auss i la va­ riété de son talent et de ses pos sibilités.

Sa mort l'a empêché de réaliser un nouveau film policier dont Yves Montand devait être la ve­ dette.

John FoRD, qui a été un des plus grands cinéa stes d'Ho llyw ood de la période glorieuse du cinéma américain, et un des maitres du cinéma mondial , est mort le 31 août, en Cali­ fornie, à l'âge de soixa nte-dix-huit ans.

Ce fils d'Irlandais, qui s'a ppelait Sean Aloys ius O'Fee­ ney , était né dans le Maine en 1895; il avai t treize frère s et sœurs et la famille était pau­ vre.

Il devait se rappeler toujours son enfance, les siens, l'honnêteté de ses parents et la cor­ rupti o n de ceux qui les entouraiertt.

Ayant éc h oué à l'école navale d'Annapolis, Ford, qui devait revenir de la seco nde guerre mond iale où il perdit un œi l avec le titre d'amiral.

com­ mença à travaill er pour le ciné m a en 19 13 avec un de ses frères.

Il joue un rôle dans N aissan ce d'une nation, de Griffith.

Dès 1917, il devient réalisateur et découvre le western.

Il a s i gné quelqu e cent quarante films où, tou­ jours, il s'efforce de montrer des homme s sim ­ ples confrontés ave c des événe ments extraor­ dinaires qui leu r permettent de faire preuve de leur s qualités et de découvrir leur carac­ tère ..

Entre l'Irlande de ses a ncêtres et les états de l'Ouest de l'Amérique naissante, il n e sut jamais choisir, et ses films se passent dan s la vieille île ancestrale ou dans les terres de la con­ quête.

On y voit d'ailleurs toujours des I r la n ­ dais, et, dans un sen s.

l'épopée qu 'il racont e est souvent celle des Irlandais par ti s construire le Nouveau Monde.

De cette œ u vre immense, inéga le, mais le plus souve nt admir able par son entrain, son souffle , sa poésie et sa vérité, il faut citer dans le domaine « américain » : La cheva uchée fantastiqu e (1939), La poursuite infe rna le ( 1946 ), L e massacre de Fort-Apa che (1948), Rio Grande (1950), L'homme qui tua Libe r ty Valance (1961), etc., et, dans le do­ maine c irlandais :.

: Le mouchard (1935), L'homme tranquill e (1952), Quand la lune se lève (1957 ).

Auteur de films policiers, Ford a p r oduit au moins un chef-d 'œuv re : Toute la ville eil parle (1935), avec E .G .

Ro bin son.

On lui doit aussi d'excellentes adaptations de ro­ mans : Les raisins de la colère, avec H en ri Fonda (19 4 0), d'après le livre de Faulkner, e t Die u est mo rt, d'après La puissance et la glo ire, de· Graham Green.

Cinéaste de tempé ­ rament , Ford avait trouvé avec la caméra son moyen d'expression naturel.

Il faut dire qu e cet imaginatif à l 'i n s pirati on romanl.ique savait remarquablement traduire e n im age le d rame et la grandeur de la vie.

Le western lui conve­ nait à merveille, car le western rassembl e en lui tous les thèmes de la tragédie, à la façon grecque , en faisant s'a ffronter , à traver~ ~es hommes, la libert é et la mort.

L'ouest amér1cam, et particulièr ement la région si extraordinaire de Monument Valley, lui offra it des cadres à sa mesure.

« Y-a-t-il quelque chose de plus beau qu 'un plan général d'un homme sur un cheval galopan t lib r ement à travers une pla i­ n e ? » demandait -il.

Il est vrai que cette image résume la plupart de ses films.

Mais com bien de réalisateurs s'en sont inspirée sans parvenir à v retrouver ce qui fait de Ford un auteur uni qu e : la grandeur, l'émotion, la profondeur et la beauté ?. »

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