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rein (Biologie et Anatomie).

Publié le 22/04/2013

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biologie
rein (Biologie et Anatomie). 1 PRÉSENTATION rein, organe pair situé dans l'abdomen, dont le rôle principal est l'élimination des déchets métaboliques présents dans le sang et l'élaboration de l'urine. 2 ANATOMIE Chez l'homme, les reins sont situés dans la région lombaire, en arrière du péritoine, de chaque côté de la colonne vertébrale (sous le foie à droite, sous la rate à gauche). Ils mesurent environ 12 cm de long et 6 cm de large, pour un poids d'environ 140 g chez l'homme et 125 g chez la femme. Enchâssés dans du tissu adipeux lui-même entouré d'une capsule fibreuse, les reins ont une forme de haricot, avec un bord externe convexe et un bord interne concave. Le bord interne présente en son milieu une petite dépression appelée hile, au niveau de laquelle entrent ou sortent les vaisseaux sanguins, les nerfs et les voies urinaires. L'artère rénale apporte au rein le sang venant du coeur par l'intermédiaire de l'aorte. Le sang ressort du rein par la veine rénale et passe dans la veine cave inférieure, qui le conduit à nouveau au coeur (voir circulatoire, appareil). Les voies urinaires sont représentées au niveau du hile par le bassinet, qui recueille l'urine venant de plusieurs petites cavités en forme d'entonnoir, les calices. Le bassinet se poursuit par l'uretère, canal qui véhicule l'urine du rein vers la vessie. 3 HISTOLOGIE Le rein comprend un tissu qui assure la fonction d'épuration, appelé parenchyme rénal, mêlé à un tissu interstitiel protecteur. Le parenchyme est constitué d'un très grand nombre de néphrons, unités structurelles et fonctionnelles du rein, qui sont les canaux élaborant l'urine. Chez l'être humain, chaque rein comprend environ 1 million de néphrons. Chaque néphron est constitué d'une petite structure sphérique, le corpuscule de Malpighi, et d'un tubule rénal. Le corpuscule de Malpighi est lui-même formé de deux éléments : d'une part, un bouquet de capillaires sanguins issus d'une branche de l'artère rénale et appelé glomérule rénal ; d'autre part, une poche appelée capsule de Bowman, qui enveloppe le glomérule et contient le liquide qui deviendra de l'urine. La capsule de Bowman (qui forme la « tête « du néphron), se poursuit par le tubule rénal, divisé en trois segments : le tube contourné proximal, tube sinueux proche du glomérule ; l'anse de Henlé, en forme d'épingle à cheveux ; et le tube contourné distal, également sinueux, mais éloigné du glomérule. Les tubes contournés distaux, qui terminent les néphrons, se jettent dans les tubes collecteurs, lesquels débouchent sur les calices. La naissance d'un calice, c'est-à-dire l'endroit où il reçoit des tubes collecteurs, dessine une saillie arrondie, la papille. 4 RÔLES PHYSIOLOGIQUES 4.1 Formation de l'urine Le rein assure la filtration du sang qui arrive par l'artère rénale, éliminant les déchets qu'il véhicule, et élaborant l'urine au niveau des néphrons. Il assure ensuite le transport de l'urine jusqu'aux calices, qui représentent le début des voies urinaires excrétrices. Les mécanismes de formation de l'urine par le néphron, extrêmement complexes, font l'objet d'une régulation hormonale. On peut résumer le phénomène de formation de l'urine à trois processus de base : la filtration (effectuée par le glomérule), la réabsorption et la sécrétion (toutes deux mises en oeuvre par le tubule rénal). Le glomérule filtre toutes les petites molécules du plasma sanguin, notamment l'eau, les sels minéraux (essentiellement le sodium), le glucose et l'urée (« déchet « du fonctionnement des cellules). En revanche, les grosses molécules telles que les protéines, les lipides, les lipoprotéines (contenant notamment du cholestérol), et a fortiori les cellules du sang, ne passent pas le filtre. Les éléments issus de la filtration constituent l'urine primitive, qui circule ensuite dans le tubule rénal. Au niveau du tubule rénal, l'urine primitive est progressivement transformée en urine définitive : la plus grande partie des substances utiles à l'organisme (eau, sels minéraux, glucose, etc.) est réabsorbée à travers la paroi du tubule vers les petits vaisseaux sanguins qui longent ce dernier. À l'inverse, les produits inutiles ou nocifs (déchets du métabolisme -- urée, acide urique... --, médicaments, etc.) sont excrétés, passant des vaisseaux sanguins vers le tubule. Chez l'homme, le volume moyen d'urine produit en 24 h, ou diurèse, est d'environ 1,40 l, mais il varie considérablement en fonction de la quantité d'eau et de sels minéraux (sodium) ingérés ou perdus (transpiration, vomissements, hémorragie, etc.). La régulation de l'élimination urinaire en fonction des apports et des pertes est en grande partie régulée par deux hormones actives sur le rein : l'aldostérone synthétisée par les glandes surrénales et la vasopressine (hormone antidiurétique, produite par l'hypothalamus, mais déversée dans la circulation sanguine par l'hypophyse. Voir aussi endocrinien, système. 4.2 Maintien des équilibres internes Le rein élimine les déchets du métabolisme et, éventuellement, les substances toxiques (certains médicaments, par exemple), tout en empêchant la fuite des substances nécessaires au bon fonctionnement de l'organisme. De fait, le rein joue un rôle primordial dans le maintien des équilibres hydro-électrolytique et acido-basique de l'organisme. Les reins régulent en parallèle les quantités d'eau et de sels minéraux de l'organisme (les sels minéraux sont présents sous forme d'électrolytes, éléments chimiques qui, en solution dans l'eau, se dissocient en ions). L'ion le plus abondant du compartiment liquidien extra-cellulaire (lymphes interstitielle et canalisée et plasma) est l'ion sodium (Na+), provenant du chlorure de sodium contenu dans les aliments. Par ailleurs, l'eau et le sodium sont liés : par exemple, quand le rein retient le sodium en le réabsorbant du tubule vers le sang, l'eau tend à suivre le sodium par un phénomène d'osmose. Si des troubles surviennent et perturbent l'équilibre interne eau / Na+ (homéostasie), les reins interviennent en excrétant plus ou moins d'eau ou de sodium. En liaison avec son intervention sur le sodium et l'eau, le rein participe au maintien de la pression artérielle. Une baisse de la pression sanguine, par exemple, provoque la sécrétion par certaines cellules du rein d'une enzyme, la rénine. Celle-ci permet la formation d'angiotensine, laquelle active la synthèse par la glande surrénale d'une hormone, l'aldostérone. L'ensemble de ces trois substances constitue le système rénine-angiotensine-aldostérone (ou rénine-angiotensine). L'aldostérone provoque la rétention de sodium par le rein, suivie d'une rétention d'eau, et donc d'une augmentation du volume du plasma sanguin et d'une remontée de la pression artérielle. Le rein peut aussi réguler l'équilibre acido-basique en éliminant plus ou moins d'ions hydrogène H+ (acides) et bicarbonates HCO3- (basiques). Certaines fonctions du rein sont indépendantes des précédentes. C'est le cas de la transformation de la forme chimique de base de la vitamine D (inactive par elle-même) en une forme active sur les os. Par ailleurs, le rein est l'un des principaux organes producteurs d'érythropoïétine, hormone qui stimule la production des globules rouges par la moelle osseuse. 5 PATHOLOGIES Le rein peut être atteint par des affections de même nature que celles qui touchent les autres organes, par exemple des malformations, des kystes, ou encore des tumeurs bénignes ou malignes. En dehors de ces maladies, trois groupes de troubles sont caractéristiques du rein : les néphropathies, les calculs rénaux et l'insuffisance fonctionnelle. 5.1 Néphropathies On appelle néphropathies les maladies diffuses d'un ou des deux reins. Il en existe de nombreuses variétés, groupées en plusieurs catégories, de causes très diverses. Les néphropathies localisées au niveau des glomérules rénaux, ou glomérulopathies, proviennent souvent d'une infection ou d'une maladie générale (diabète, par exemple). Elles se signalent par une hématurie et une protéinurie (présence de sang et de protéines dans les urines), des oedèmes et une hypertension artérielle. Les néphropathies du tubule rénal, ou tubulopathies, sont liées à une intoxication, à un choc cardio-vasculaire (insuffisance de la circulation sanguine après une hémorragie, par exemple) ou à une anomalie héréditaire. Elles se manifestent notamment par des perturbations de la composition en sels minéraux du sang ou des urines (excès de calcium dans les urines, excès d'ions H+, acides, dans le sang, etc.). Les néphropathies du tissu interstitiel du rein, ou néphropathies interstitielles, sont en général infectieuses (on les appelle alors pyélonéphrites) ou toxiques. Leurs symptômes, dans le premier cas, comprennent surtout douleur et fièvre. 5.2 Calculs Les calculs rénaux sont de petites concrétions plus ou moins dures qui se forment dans le rein à partir de cristaux déposés par l'urine. La formation de calculs porte le nom de lithiase (du grec lithos, « pierre «). Le constituant chimique le plus fréquent des calculs est l'oxalate de calcium, mais on retrouve parfois de l'acide urique. 5.2.1 Causes La cause des calculs, lorsqu'elle est identifiée, est soit locale (urinaire), soit générale. Les causes locales sont une infection des voies urinaires ou leur obstruction (par une tumeur bénigne comme l'adénome de la prostate, par exemple). L'hypercalcémie (augmentation de la concentration du calcium sanguin), qui fait partie des causes générales, est observée, par exemple, au cours d'un excès de fonctionnement des glandes parathyroïdes. Des calculs peuvent également se développer en cas de concentration trop élevée d'acide urique dans le sang (voir goutte). D'une manière générale, des apports alimentaires excessifs, associés à une absorption d'eau insuffisante, favorisent la formation des calculs. 5.2.2 Symptômes Les symptômes qui signalent l'existence d'un calcul peuvent être un saignement dans les urines (hématurie), une infection ou une obstruction. Les calculs rénaux de petite taille ont tendance à migrer dans l'urètre, puis vers la vessie. Leur progression s'accompagne de colique néphrétique, violente douleur qui apparaît brutalement. Si le calcul parvient à la vessie, il peut être éliminé au cours d'une miction, parfois sans que le sujet ne le décèle, et la douleur cesse. Si le calcul est trop gros pour passer, un traitement est nécessaire en urgence. 5.2.3 Traitements Le premier traitement des calculs urinaires et rénaux, à la fois curatif et préventif des récidives, est celui de la cause, quand on la connaît. L'extraction d'un calcul par chirurgie n'est presque plus employée, car l'endoscopie permet, grâce à un tube optique muni d'un petit instrument et introduit par l'urètre, de remonter jusqu'au calcul et de le désagréger ou de l'extraire. La lithotripsie extracorporelle est une technique plus récente, utilisant des ondes de choc de natures diverses, produites par un appareil externe, pour désintégrer les calculs à distance. La prévention des récidives repose sur des médicaments qui modifient l'acidité des urines ou sur un régime alimentaire adapté. On conseille habituellement de boire abondamment, car un flux urinaire élevé entraîne les cristaux en formation. Cependant, il est préférable d'arrêter de boire dès qu'une crise de colique néphrétique a commencé, afin de ne pas aggraver les symptômes. 5.3 Insuffisance rénale L'insuffisance rénale est caractérisée par une diminution des capacités du rein à épurer le sang, et plus précisément à le filtrer au niveau des glomérules. On utilise parfois le terme d'urémie pour désigner les manifestations de l'insuffisance rénale sévère. Depuis les années quatre-vingt, le pronostic de l'insuffisance rénale, généralement assez sombre auparavant, s'est considérablement amélioré. 5.3.1 Causes Les causes de l'insuffisance rénale, très nombreuses, comprennent toutes les maladies décrites ci-dessus, notamment les néphropathies. L'insuffisance rénale peut être aiguë et se manifester dès le déclenchement d'une affection, intoxication, par exemple. Elle peut être chronique et survenir au stade terminal d'une atteinte rénale. 5.3.2 Symptômes Le signe principal et suffisant pour poser le diagnostic est biologique : il s'agit de l'augmentation de la concentration sanguine de la créatinine et de la diminution de sa vitesse d'épuration (clairance de la créatinine). 5.3.3 Traitements On s'attache à supprimer ou à atténuer la cause de l'insuffisance rénale chaque fois que cela est possible. D'autres méthodes thérapeutiques, purement symptomatiques, sont adaptées à chaque cas : le médecin prescrira des antihypertenseurs si la maladie responsable de l'insuffisance rénale provoque une hypertension artérielle ; des oedèmes seront soulagés par un régime alimentaire pauvre en sodium. Lors de l'insuffisance rénale terminale, deux solutions peuvent encore être mises en oeuvre successivement. La première est la dialyse, qui permet d'épurer le sang à la place du rein -- en général, on emploie un appareil externe (le « rein artificiel «) --, la seconde, la transplantation rénale. Microsoft ® Encarta ® 2009. © 1993-2008 Microsoft Corporation. Tous droits réservés.
biologie

« en une forme active sur les os.

Par ailleurs, le rein est l’un des principaux organes producteurs d’érythropoïétine, hormone qui stimule la production des globules rouges parla moelle osseuse. 5 PATHOLOGIES Le rein peut être atteint par des affections de même nature que celles qui touchent les autres organes, par exemple des malformations, des kystes, ou encore des tumeursbénignes ou malignes.

En dehors de ces maladies, trois groupes de troubles sont caractéristiques du rein : les néphropathies, les calculs rénaux et l’insuffisancefonctionnelle. 5.1 Néphropathies On appelle néphropathies les maladies diffuses d’un ou des deux reins.

Il en existe de nombreuses variétés, groupées en plusieurs catégories, de causes très diverses. Les néphropathies localisées au niveau des glomérules rénaux, ou glomérulopathies, proviennent souvent d’une infection ou d’une maladie générale (diabète, par exemple).Elles se signalent par une hématurie et une protéinurie (présence de sang et de protéines dans les urines), des œdèmes et une hypertension artérielle. Les néphropathies du tubule rénal, ou tubulopathies, sont liées à une intoxication, à un choc cardio-vasculaire (insuffisance de la circulation sanguine après une hémorragie,par exemple) ou à une anomalie héréditaire.

Elles se manifestent notamment par des perturbations de la composition en sels minéraux du sang ou des urines (excès decalcium dans les urines, excès d’ions H +, acides, dans le sang, etc.). Les néphropathies du tissu interstitiel du rein, ou néphropathies interstitielles, sont en général infectieuses (on les appelle alors pyélonéphrites) ou toxiques.

Leurssymptômes, dans le premier cas, comprennent surtout douleur et fièvre. 5.2 Calculs Les calculs rénaux sont de petites concrétions plus ou moins dures qui se forment dans le rein à partir de cristaux déposés par l’urine.

La formation de calculs porte le nomde lithiase (du grec lithos, « pierre »).

Le constituant chimique le plus fréquent des calculs est l’oxalate de calcium, mais on retrouve parfois de l’acide urique. 5.2. 1 Causes La cause des calculs, lorsqu’elle est identifiée, est soit locale (urinaire), soit générale.

Les causes locales sont une infection des voies urinaires ou leur obstruction (par unetumeur bénigne comme l’adénome de la prostate, par exemple).

L’hypercalcémie (augmentation de la concentration du calcium sanguin), qui fait partie des causesgénérales, est observée, par exemple, au cours d’un excès de fonctionnement des glandes parathyroïdes.

Des calculs peuvent également se développer en cas deconcentration trop élevée d’acide urique dans le sang ( voir goutte).

D’une manière générale, des apports alimentaires excessifs, associés à une absorption d’eau insuffisante, favorisent la formation des calculs. 5.2. 2 Symptômes Les symptômes qui signalent l’existence d’un calcul peuvent être un saignement dans les urines (hématurie), une infection ou une obstruction.

Les calculs rénaux de petitetaille ont tendance à migrer dans l’urètre, puis vers la vessie.

Leur progression s’accompagne de colique néphrétique, violente douleur qui apparaît brutalement.

Si le calculparvient à la vessie, il peut être éliminé au cours d’une miction, parfois sans que le sujet ne le décèle, et la douleur cesse.

Si le calcul est trop gros pour passer, untraitement est nécessaire en urgence. 5.2. 3 Traitements Le premier traitement des calculs urinaires et rénaux, à la fois curatif et préventif des récidives, est celui de la cause, quand on la connaît.

L’extraction d’un calcul parchirurgie n’est presque plus employée, car l’endoscopie permet, grâce à un tube optique muni d’un petit instrument et introduit par l’urètre, de remonter jusqu’au calcul etde le désagréger ou de l’extraire.

La lithotripsie extracorporelle est une technique plus récente, utilisant des ondes de choc de natures diverses, produites par un appareilexterne, pour désintégrer les calculs à distance.

La prévention des récidives repose sur des médicaments qui modifient l’acidité des urines ou sur un régime alimentaireadapté.

On conseille habituellement de boire abondamment, car un flux urinaire élevé entraîne les cristaux en formation.

Cependant, il est préférable d’arrêter de boire dèsqu’une crise de colique néphrétique a commencé, afin de ne pas aggraver les symptômes. 5.3 Insuffisance rénale L’insuffisance rénale est caractérisée par une diminution des capacités du rein à épurer le sang, et plus précisément à le filtrer au niveau des glomérules.

On utilise parfois leterme d’urémie pour désigner les manifestations de l’insuffisance rénale sévère.

Depuis les années quatre-vingt, le pronostic de l’insuffisance rénale, généralement assezsombre auparavant, s’est considérablement amélioré. 5.3. 1 Causes Les causes de l’insuffisance rénale, très nombreuses, comprennent toutes les maladies décrites ci-dessus, notamment les néphropathies.

L’insuffisance rénale peut êtreaiguë et se manifester dès le déclenchement d’une affection, intoxication, par exemple.

Elle peut être chronique et survenir au stade terminal d’une atteinte rénale. 5.3. 2 Symptômes Le signe principal et suffisant pour poser le diagnostic est biologique : il s’agit de l’augmentation de la concentration sanguine de la créatinine et de la diminution de savitesse d’épuration (clairance de la créatinine). 5.3. 3 Traitements On s’attache à supprimer ou à atténuer la cause de l’insuffisance rénale chaque fois que cela est possible.

D’autres méthodes thérapeutiques, purement symptomatiques,sont adaptées à chaque cas : le médecin prescrira des antihypertenseurs si la maladie responsable de l’insuffisance rénale provoque une hypertension artérielle ; desœdèmes seront soulagés par un régime alimentaire pauvre en sodium.

Lors de l’insuffisance rénale terminale, deux solutions peuvent encore être mises en œuvresuccessivement.

La première est la dialyse, qui permet d’épurer le sang à la place du rein — en général, on emploie un appareil externe (le « rein artificiel ») —, la seconde,la transplantation rénale. Microsoft ® Encarta ® 2009. © 1993-2008 Microsoft Corporation.

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