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Rondônia

Publié le 22/02/2012

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1 PRÉSENTATION Rondônia, État de l’ouest du Brésil. Sa capitale est Porto Velho. Créé en 1956 à partir de l’ancien territoire Guaporé, l’État de Rondônia est limité au nord par l’État d’Amazonas, à l’ouest par l’État d’Acre, à l’ouest et au sud par la Bolivie et à l’est par l’État de Mato Grosso. Le nom de l’État rend hommage à Candido Mariano da Silva Rondon, broussard, géographe et anthropologue brésilien qui, à la tête de la Commission Rondon, entre 1907 et 1917, a implanté 2 270 km de lignes télégraphiques, désenclavant ainsi des régions jusqu’alors inconnues et pacifiant les Bororós, victimes de massacres perpétrés par les Blancs. 2 GÉOGRAPHIE Le territoire de l’État de Rondônia se compose de bas plateaux au nord, des plateaux de Parecis et Pacaás Novos qui traversent l’État selon un axe sud-est / nord-est, le long du plateau central, et de plaines alluviales où s’écoulent les sinuosités de la Guaporé. Malgré un climat équatorial chaud et humide, des entrées de masses d’air polaire, particulièrement sensibles de mai à octobre, entraînent une chute brutale des températures. Tous les fleuves de l’État appartiennent au bassin du fleuve Madeira, affluent de l’Amazone. Le plateau des Parecis divise, par ailleurs, les eaux des fleuves qui se jettent dans le Madeira et de ceux qui rejoignent le Mamoré et la Guaporé. Porto Velho (380 884 habitants) est la capitale de l’État de Rondônia. 3 ÉCONOMIE Jusqu’aux années 1940, les activités économiques s’articulent essentiellement autour de l’exploitation du caoutchouc, de la châtaigne du Pará, de la cassitérite, du poisson et des fourrures d’animaux sauvages rares. Toutefois, lors de la création de l’État, Porto Velho bénéficie d’une meilleure infrastructure sociale et économique, d’investissements fédéraux et de l’implantation de colonies agricoles à proximité de la capitale. Dans les années 1970, suivant les consignes de la politique d’occupation des frontières dictée par les principes idéologiques de sécurité nationale, le gouvernement fédéral élargit le réseau routier de la région en construisant plusieurs autoroutes, dont la BR-364, qui relie directement l’État à Cuiabá et São Paulo, le libérant ainsi de l’ancienne dépendance fluviale avec Manaus et Belém. De nombreux paysans sont, par ailleurs, venus du sud à la recherche de terres cultivables, attirés par les richesses naturelles de l’État. Aujourd’hui, l’exploration de la cassitérite par de grandes entreprises minières nationales et internationales, la modernisation technologique de l’agriculture mécanisée et l’introduction de la culture du soja constituent les principales caractéristiques de l’organisation socio-économique de l’État de Rondônia. 4 HISTOIRE Depuis le xvie siècle, cette région accueille des broussards et des prêtres. C’est au xixe siècle et au début du xxe siècle que les collecteurs de latex commencent la colonisation. Par l’intermédiaire du traité de Petrópolis (1903), le Brésil s’engage envers la Bolivie à construire une ligne de chemin de fer Madeira-Mamoré reliant Santo-Antônio do Madeira à Vila Bela, à la confluence de Beni-Mamoré, et essentiellement destinée à écouler la production bolivienne par le Madeira et l’Amazone jusqu’à l’océan. La construction de la ligne ferroviaire, achevée en 1912, attire des immigrants, originaires de Grèce et d’Espagne pour la majorité, et s’avère très onéreuse (30 millions de dollars) et meurtrière (la malaria, notamment, entraîne la mort de nombreux ouvriers). En raison de la faible production de la région et des coûts d’entretien élevés, la ligne ferroviaire connaît un lourd déficit financier, avant d’être remplacée par l’autoroute BR-364 dans les années 1970. Superficie : 238 512 km² ; population (2005) : 1 534 594 habitants.

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Depuis le debut aoiat, les Allies, qui ont unifie leur haut commandement et benefident du soutien de plus en plus massif des troupes americai- nes du general Pershing, ont lance de multiples attaques couron- nees de succes.

La retraite allemande se fait en bon ordre, mais I la fin septembre, une offensive alliee generalisee sur tout le front est declenchee.

La progression est lente mais reguliere. Les craintes du general Ludendorff : « l'effondrement final peut survenir I tout moment *.

On craint une percie decisive des Allies que l'armee allemande, en inferiorite numerique et qui manque de reserves, ne serait pas a meme d'enrayer.

Des lore, le pire pourrait etre redoute :l'invasion du territoire allemand? une capitulation sans conditions? des troubles revolutionnaires inte- rieurs? Les espoirs du general Ludendorff : gagner du temps, obtenir un armistice qui permettra aux combattants allemands de souffler et au haut commandement de raccourcir les lignes et de preparer une Eventuelle reprise des combats.

Les militaires ne seraient d'ailleurs pas les principaux responsables de la situation dramatique actuelle : les milieux politiques de l'opposition (le centre catholique et les sociaux-democrates, majoritaires au Reichstag) devront desormais en entrant au gouvemement, a manger la soupe qu'ils nous ont mijotee a.

L'armistice devra etre sollicite « aupres du President Wilson en vue d'un retour I la paix sur la base des 14 Points a : 67 A partir de ce texte TOUS pouvez, au choix : — rédiger un commentaire composé à votre initiative — faire un commentaire organisé en répondant aux questions suivantes : 1 Quel est le point de la situation militaire sur le « front Ouest » dont parle Ludendorff? 2 En quoi consisterait, aux yeux de l'état-major allemand « l'effondrement final qui peut survenir à tout moment »? 3 En quoi une paix sur la base des Quatorze points du président Wilson peut-elle paraître acceptable à l'Allemagne? (Nancy-Reims-Strasbourg-Besançon — Sujet II) PLAN SOMMAIRE La situation militaire sur le front occidental en octobre 1918 : les Allemands ont perdu l'initiative des combats (échec de leurs offensives du printemps dans les régions de Saint-Quentin puis d'Armentières, au Chemin des Dames, en Champagne).

Depuis le début août, les Alliés, qui ont unifié leur haut commandement et bénéficient du soutien de plus en plus massif des troupes américai­ nes du général Pershing, ont lancé de multiples attaques couron­ nées de succès.

La retraite allemande se fait en bon ordre, mais à la fin septembre, une offensive alliée généralisée sur tout le front est déclenchée.

La progression est lente mais régulière.

Les craintes du général Ludendorff : « l'effondrement final peut survenir â tout moment ».

On craint une percée décisive des Alliés que l'armée allemande, en infériorité numérique et qui manque de réserves, ne serait pas à même d'enrayer. Dès lors, le pire pourrait être redouté : l'invasion du territoire allemand? une capitulation sans conditions? des troubles révolutionnaires inté­ rieurs? Les espoirs du général Ludendorff : gagner du temps, obtenir un armistice qui permettra aux combattants allemands de souffler et au haut commandement de raccourcir les lignes et de préparer une éventuelle reprise des combats. Les militaires ne seraient d'ailleurs pas les principaux responsables de la situation dramatique actuelle : les milieux politiques de l'opposition (le centre catholique et les sociaux-démocrates, majoritaires au Reichstag) devront désormais en entrant au gouvernement, « manger la soupe qu'ils nous ont mijotée». L'armistice devra être sollicité «auprès du Président Wilson en vue d'un retour à la paix sur la base des 14 Points » :. »

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