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Staline

Publié le 14/04/2013

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staline
« Dehors les trouble-fête ! unité de la jeunesse au sein de la jeunesse hitlérienne ! Affiche de 1935 L'encadrement et la formation idéologique de la jeunesse figurent parmi les priorités Absolues. Plus malléables, les enfants et les adolescents seront les futurs hommes nouveaux, Programmés par l'idéologie. L'encadrement de la jeunesse et l'embrigadement par la propagande sont utilisés pour s'assurer la soumission des masses. Le but est de fabriquer l'obéissance par le consentement. La jeunesse est donc une priorité, un endoctrinement précoce doit permettre une pleine adhésion au régime Forger un « homme nouveau « exige dans les régimes totalitaires un embrigadement précoce de la jeunesse Les programmes scolaires sont refaits pour inculquer à la jeunesse les valeurs du régime et former les cadres obéissants des nouvelles sociétés auxquelles aspirent les dictateurs. - Les programmes scolaires sont refaits pour inculquer à la jeunesse les valeurs du régime et former les cadres obéissants des nouvelles sociétés auxquelles aspirent les dictateurs. http://www.lyceedadultes.fr/sitepedagogique/documents/HG/HG1S/1S_H13_T3_Q1_C1_et_C2_Les_regimes_totalitaires.pdf L'encadrement de la société, tout d'abord est un élément essentiel du régime totalitaire, par définition, puisqu'il la permet de conserver stabilité du régime, tout en véhiculant son idéologie. Parmi les éléments de cet encadrement de la société on trouve une propagande générale sur la population, les corporations (qui consistent en un regroupement par catégorie de métier) ainsi que les éléments de contrôle de la jeunesse que nous allons étudier Plus encore, l'embrigadement de la jeunesse va aller jusqu'à procéder à un contrôle de la pensé de la population. Si la jeunesse joue un rôle si important c'est donc parce qu'elle représente l'avenir du régime totalitaire. [...] chacune de ces organisations a ses spécificités et s'appuie sur l'idéologie du régime (II), tandis qu'une propagande adaptée à la jeunesse vient accentuer toujours plus ce contrôle de l'Etat totalitaire sur cette jeunesse (III). I - L'organisation de jeunesse et le contrôle des corps et des esprits par les régimes totalitaires A/ Fondements et objectifs des organisations de jeunesses Les organisations de jeunesses ont été un des systèmes de base du fonctionnement des trois régimes totalitaires fasciste, nazi et stalinien. Ces organisations de jeunesse vont servir d'instrument pour parvenir à exercer un encadrement total sur la société. Il y a une double finalité dans ces organisations. [ 1/ Faire une société au gout du régimes Pour les régimes totalitaires, l'encadrement et la formation idéologique de la jeunesse figure parmi les priorités absolues. Plus malléables, les enfants et les adolescents seront pour les régimes, les futurs hommes nouveaux programmés par l'idéologie. A/ Créer une société obéissante Staline et Hitler ont un projet idéologique commun qui est de créer une société nouvelles qui sera dévoué aux régimes. Le but est de fabriquer chez les jeunes l'obéissance par le consentement ce qui permettra de conserver stabilité du régime, tout en véhiculant son idéologie. Les régimes en contrôlant la jeunesse vont aller jusqu'a procéder à un contrôle de la pensé de la population. En effet si la jeunesse joue un rôle si important c'est parce qu'elle représente l'avenir du régime totalitaire. Bien sur chacune de ces organisations a ses spécificités et s'appuie sur l'idéologie du régime. Avec cet embrigadement de la jeunesse, les régimes ont la volonté de préparer l'avenir. L'objectif est d'obtenir avec les jeunes une stricte soumission au régime et à son chef. Par exemple en Allemagne, les jeunes sont embrigadés dans les jeunesses hitlériennes pour en faire de futur bon nazis ou encore en URSS il s'agit de créer un homme engagé dans la poursuite de l'idéal communise.
staline

« Qî E 1 u ::i Abel François Poisson, marquis de Marigny, frère cadet de sa favorite madame de Pompa­ dour et surintendant des Bâti­ ments du roi, de se charger de la reconstruction .

Ce dernier, passionné d'art et très au fait des derniers courants nova­ teurs, choisit un jeune architec­ te qui, jusque-là, s'est surtout fait remarquer à Lyon, Jacques Germain Soufflot.

Précédé d 'une réputation flatteuse, Souf­ flot a fait plusieurs séjours en Italie.

Enthousiasmé par cette commande, il va chercher à dépasser les anciens modèles d 'architecture religieuse, qu'il trouve trop massifs, pour rivali­ ser avec les cathédrales Saint­ Pierre de Rome et Saint-Paul de Londres.

Il lui faut deux années pour établir les plans, qui sont approuvés en 1757 et réunis­ sent, selon lui, « la légèreté de la construction des édifices gothiques avec la pureté et la magnificence de l'architecture grecque».

De 1757 à 1764 ont lieu les tra­ vaux de fondation, la construc­ tion d'une immense plate­ forme de quatre assises de pierres noyées dans du mortier et enfin la réalisation des cryp­ tes, c'est-à-dire de l'église infé- rieure.

Le 6 septembre 1764, Louis XV peut poser la premiè­ re pierre de l'église supérieure devant une immense toile sur châssis où a été peinte la façade du futur édifice.

Un pari de douze mille livres Pour obtenir la légèreté qu'il désire, Soufflot réduit au maxi­ mum l'importance des piliers sur lesquels doit reposer la voûte, ce qui suscite à la fois éloges et critiques.

En 1770 , un de ses confrères, l'architecte Pierre Patte, lance une polémi­ que en envoyant au directeur général des Bâtiments du roi un mémoire dans lequel il affirme que les piliers ne pourront jamais supporter le dôme et se fait fort d'en apporter la preuve mathématique.

Soufflot le prend au mot et propose un pari de douze mille livres à cet « homme qui n'a jamais rien construit » pour apporter la preuve du bien-fondé de ses plans .

Patte se dérobe ; et Souf­ flot continue ses travaux tout en expliquant ses partis pris par de savantes équations .

Malheureusement, accablé de dettes et miné par les soucis, Soufflot meurt en 1780, à l'âge de quelque soixante-sept ans, sans avoir terminé son œuvre .

Le chantier est repris par son assistant, Jean -Baptiste Ronde­ let, qui poursuit l ès travaux mal- SAINTE·GENEVIÈVE En 451, année où l'armée d 'Attila menace Lutèce, une jeune bergère nommée Geneviève engage la population à la résistance et parvient à sauver la ville grâce à son action et à ses prières .

Lorsqu ' elle meurt, en 502, elle est ensevelie sur le mont Lucotitius, où est élevé un petit oratoire , remplacé en 508 par une église dédiée aux saints Pierre et Paul.

C'est là que Clovis est inhumé, puis la reine Clotilde .

Sous la pression populaire , le site et l'église prennent rapidement le nom de Sainte-Geneviève.

Un nouveau sanctuaire est bâti au 1x• siècle.

Geneviève devient la patronne de Paris et, dès le XW siècle, la châsse contenant ses reliques est portée en procession pour éloigner les désastres de la capitale.

gré les difficultés financières.

Le tambour du dôme est bâti entre 1785 et 1790.

C'est alors que des fissures apparaissent dans les piliers, que Rondelet déci­ de immédiatement de renfor­ cer, donnant ainsi raison aux détracteurs de Soufflot.

Un visi­ teur du chantier a témoigné des risques encourus par ceux qui pénètrent dans l'église : « Le moindre mouvement me sem­ blait annoncer la chute prochai­ ne du dôme( ...

).

En sortant de l'édifice, j'éprouvais le plaisir qu 'éprouvent les matelots et les guerriers à la suite des tem­ pêtes et des combats : celui de me sentir encore vivant.

» Lorsque la Révolution éclate, la nouvelle église est en cours d'achèvement : le gros œuvre est terminé, mais les grands cy­ cles décoratifs retraçant l'histoi­ re de la religion chrétienne pré­ vus pour l'intérieur ne sont qu'à l 'état d'ébauche .

Bientôt, va se former le projet de consacrer l 'église Sainte-Geneviève non plus à Dieu, mais aux grands hommes .. »

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