Thuringe

« D'abord, le cerveau humain est programmé pour penser avant d'agir et c'est pourquoi la responsabilité de nos actes nous revient.

En effet, un humain ne peutcesser de réfléchir.

Avant tout geste, qu'il soit positif ou négatif, le jugement de notre inconscient nous éclaire sur chaque situation.

Alors pourquoi dit-on quecertaines personnes sont moins aptes à résonner le bien et le mal avant d'agir ? Nous pensons que les enfants de bas âge ont moins la capacité d'utiliser leursbons jugements, mais ils sont quand même conscients du geste posé et des conséquences qu'il apporte , comme par exemple : un enfant qui désobéit à uneconsigne dans une cour d'école est capable de prédire les conséquences qu'engendreront son acte car le professeur avait déjà dit que ce geste était interditdans les règlements de l'établissement.

Donc il devra être responsable de son geste et accepter les conséquences.

Étant donné que nous raisonnons avant depasser à l'acte, nous devons acquérir une certaine responsabilité personnelle de nos actions.

Ensuite, nous croyons que chaque geste posé doit être assumé par l'individu en question.

Alors, les actes posés relèvent d'une décision personnelle.L'influence des autres peut venir jouer sur notre bon jugement mais après une certaine réflexion, c'est la conscience personnelle qui vient influer nos décisions etc'est nos valeurs qui viennent affecter nos jugements.

Comme par exemple : un adolescent qui a été élevé dans le monde de la drogue aura plus de probabilité deconsommer ou de vendre mais la décision finale se rapporte à lui-même.

Que ce soit un bon influence ou un mauvais, la personne doit avoir la capacité de juger legeste aura des conséquences notables ou non.

Le jugement de chaque acte est personnel a chacun, chacun peut croire qu'il est bon pour elle-même de poser ungeste et d'autres peuvent percevoir celui-ci étant négatif.

En somme, malgré l'influence des personnes, nous devons assumer nos actes et parfois reconnaître lebon jugement.Par contre, nous pouvons être conscients que dans notre société nous sommes entourés de plusieurs cultures et que chaque individu n'a pas la mêmeéducation.

Une personne peut être éduquée d'une certaine façon par ses parents avec des valeurs personnelles mais ces valeurs ne sont pas communes à tous.Le comportement de certaines personnes relève de leurs éducations à l'enfance, comme par exemple : si un parent n'apprend pas à son enfant qu'il est mal devoler, l'enfant ne le saura jamais et il volera sans être conscient que son geste entrainera des conséquences.

De plus, certaines personnes ne partagent pas lesmêmes croyances, que ce soit religieuses ou spirituelles, donc ils seront influencés par la croyance générale.

Ces gens croiront si ardument en leur foi qu'ils nedistinguent plus le bon et le mauvais leurs actions.

Donc, pour conclure, nous ne sommes pas pleinement responsables de nos actes dans l'optique ou notrejugement relève de notre éducation ou de nos croyances acquises.

Il est vrai que dans notre société, personne n'a la même éducation et que nous sommes entourés de plusieurs différentes cultures mais dans un pays, il y ades lois à respecter, et tout le monde, incluant les immigrants doivent s'y soumettre.

Même si un enfant n'est pas élevé de la même façon qu'un autre, il doit savoirle différencier le bien et le mal et doit être conscient des conséquences qu'engendrent les actes posés comme par exemple : au Canada, il y a des limites devitesse tandis qu'ailleurs, il y a des places o ù ils sont supérieures donc chaque individu qui s'établit au Canada doit se conformer aux lois Canadiennes.

Si il ne s'y conforme pas, il subira les conséquences et aura une contravention.

Donc nous pensons que cela n'explique pas le fait qu'une personne étrangère pourrait êtretenue non-responsable, ce n'est pas une raison valable.

Pour conclure, comme le disait Skinner, les facteurs environnementaux comme par exemple : la famille, les croyances et l'éducation peuvent influencer certainsindividus mais nous sommes tout de même responsables de nos actes car avant tout, notre cerveau est programmé pour penser avant d'agir et que nos gestesposés doivent être assumés.

Nous pouvons alors nous demander si nous ne serions pas responsables de nos actes, la société serait-elle autant sécuritaire ?Est-ce que les gens se croiraient tout permis et y aurait-il encore un contrôle de l'autorité ? À vous d'en juger.. »