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Le réchauffement climatique et ses conséquences sur la vie et la santé des animaux polaire

Publié le 05/05/2012

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De nos jours, la planète va mal. L'influence des hommes sur celle-ci se fait largement ressentir depuis quelques années. En effet, on observe un réchauffement climatique de plus en plus fort d'environ, pour le moment, 0.8°C par rapport à la température générale d'il y a 40 ans. Les pires conséquences s'observent aux pôles majoritairement avec la fonte de la calotte glaciaire. Des conditions météorologiques extrêmes sont visibles partout dans le monde, tsunami, cyclone, tornade, canicule et bien d'autres encore. Toutes ces conséquences affectent largement des vies animales, végétales et surtout humaines. L'homme peut cependant agir sur ces catastrophes mais il doit le faire maintenant pour espérer voir des améliorations avant qu'il ne soit trop tard. Chaque petit geste pour l'environnement n'est pas anodin, l'addition de tous ces actes pour la planète sera un premier pas pour son rétablissement. Dans un premier temps nous allons donc essayer de comprendre ce qu'est, exactement, le réchauffement climatique et depuis quand et comment est-il présent sur notre planète. Puis nous verrons quelles sont les conséquences de ce réchauffement et comment lutter contre son expansion. Pour finir, nous étudierons le cas particulier de l'ours polaire et nous verrons, dans un cadre général, les prévisions pour l'avenir. Comment le réchauffement climatique influence-t-il la vie des animaux polaires ?

« température à la surface de notre planète serait plus froide de 33°C.

Cependant les activités humaines libèrent de plus enplus de ces gaz dans l'atmosphère, perturbant dangereusement le fragile équilibre naturel.D'où proviennent ces gaz ?Le pétrole est la principale source d'énergie mais aussi d'émissions de CO2.

Il représente 40% desémissions en provenance des combustibles fossiles.

Les produits pétroliers sont utilisés pour presque tous les véhicules àmoteur, les avions, ainsi que pour de nombreux systèmes de chauffage et centrales électriques.

Cette source d'énergiesemble en danger car elle a été trop exploitée pendant les dernières années.

Le charbon se révèle tout aussi responsable quele pétrole et pourrait bientôt devenir le principal ennemi du climat.

La combustion du charbon rejette de très grandesquantités de CO2.

Le lignite est une roche sédimentaire composée de restes fossiles de plantes est encore plus polluant que le charbon.

Bien que les réserves de charbon et de lignite soient estimées pouvoir durer plusieurs centaines d'années, leurusage incontrôlé constituerait une catastrophe majeure pour le climat mondial.

Le gaz naturel est considéré comme étant lemoins polluant des combustibles fossiles et on peut l'utiliser de manière efficace pour la cogénération de chaleur etd'énergie.

Mais il dégage tout de même 50% de la quantité de CO2 dégagée par le lignite.

La destruction des forêts tropicalesest responsable d'un cinquième du total des émissions de CO2.

La déforestation est terriblement dangereuse car elle peutentraîner l'effondrement de l'ensemble d'un système climatique régional comme l'Amazonie.Le méthane, l'oxyde de nitrateet d'autres gaz industriels sont aussi des gaz à effet de serre.

Les principales sources de méthane sont l'élevage, l'agricultureet la destruction des forêts.

L'agriculture est quant à elle la principale source d'oxyde de nitrate (engrais).

Le climat d'unerégion est défini par ses tendances climatiques et ses conditions météorologiques.

Lorsque celles-ci changent, le climat estperturbé.

Partout dans le monde, les tendances climatiques changent.

On observe ainsi des variations de la température,parfois plus élevées ou parfois plus basses, des variations des précipitations et l'augmentation d'événementsmétéorologiques dangereux tels que les pluies torrentielles d'été et les vagues de chaleur.

Le changement climatiqueprésente des risques pour la santé et la sécurité des personnes, de la faune, des forêts, des fermes et de l'eau.

Aucunshomme n'a pensé aux dégâts sur l'environnement.

Les scientifiques affirment que si nous ne réduisons pas ces émissions, lestempératures pourraient monter de 3 à 9 °C d'ici la fin du siècle.

2.

Quelles sont les conséquences de ce réchauffement climatique ?Le réchauffement climatique a des conséquences très préoccupantes voire dramatiques sur l'homme et l'environnementmais celui-ci continue de faire des ravages.

On en observe de différents types, comme par exemple :L'élévation du niveau dela mer provoquant des inondations des zones côtières, à cause de l'augmentation de la température de l'eau, la dilatation del'eau chaude la rendant plus volumineuse que l'eau froide.

La perturbation voire la destruction de certains écosystèmes.

Leréchauffement des terres émergées et des latitudes élevées.

La fonte des glaciers, diminution voire disparition danscertaines zones de la glace dans l'Arctique et l'Antarctique.

Les vagues de chaleur plus intenses.Les fortes pluies plus fréquentes et denses.

Les cyclones, typhons et ouragans plus intenses, avec des vents et précipitationsplus violents ainsi que des inondations, provoquant des dommages humains et matériels graves.

La baisse de la ressource eneau potable.

La migration des peuples subissant le réchauffement climatique.

L'extinction d'espèces à cause desdérèglements de leurs écosystèmes.

La recrudescence de maladies infectieuses, qui s'étendront vers le Nord.

Selon unrapport du Forum humanitaire mondial publié en 2009 et présenté par Kofi Annan, l'ancien secrétaire général des NationsUnies, le réchauffement climatique tue 300 000 personnes par an.

Ce sont les pays du Sud, et les 325 millions de personnes lesplus pauvres du monde qui sont les plus touchés par le changement climatique.

Ouragans, cyclones, inondations, pluiestorrentielles, vagues de sécheresse, élévation du niveau de la mer.Ces phénomènes menacent de nombreux pays et desmilliards d'hommes et de femmes.

Les perspectives d'augmentation de température varient entre 1,8°C et 4°C d'ici la fin dusiècle, augmentation qui ne sera pas répartie uniformément sur la planète.

Au Pôle Nord, les températures moyennes des dixdernières années ont augmenté 2 fois plus vite qu'au niveau mondial.

II.

Ses conséquences sur la banquise et les animaux polaire 1.

La banquise La banquise est une étendue de glace flottante.

Elle se situe aussi bien au pôle Nord qu'au pôle Sud.

Bienqu'elle ne représente pas la totalité des région polaire, elle est néanmoins la zone dont l'évolution est un repère pourmesurer la conséquence du réchauffement climatique.

Au pôle Nord, elle se forme à la surface de l'océan Arctique.

Salocalisation, entourée de terres, limite son étendue et joue sur sur son épaisseur.

En effet, sous l'action du courant de dérivetranspolaire, une partie des glaces hors de l'océan Arctique pour rejoindre au bout de trois ans l'océan Atlantique.

Mais uneautre partie reste emprisonnée dans le courant giratoire de Beaufort qui longe les côtes Nord de l'archipel canadien et del'Alaska, dans une boucle qui se referme en passant par le centre de l'océan Arctique.

Dans ces zones, l'épaisseur de labanquise piégée, qui persiste plusieurs années, mesure en moyenne 3 mètres d'épaisseur, mais elle peut atteindre 5 à 6mètres au large de la côte nord-ouest du Groenland.

Dans l'hémisphère Sud, la banquise se forme autour du continentAntarctique.

L'absence d'obstacles ne limite pas sa superficie (environ 20 millions de km²), ni sa dérive, elle se renouvelledonc d'une année à l'autre, ce qui explique sa faible épaisseur (1 mètre de moyenne) par rapport à celle de l'océan Arctique.Diminution de la surface et de l'épaisseur de la banquise Arctique La banquise hiver a diminué de façon régulière, de 16millions de kilomètres carrés dans les années 1950 à 14 millions en 2006.

La banquise d'été, elle, a diminué régulièrement de11 à 8 millions sur la même période.

En 2007, la banquise d'été (surface moyennée sur 3 mois) perd 2 millions de kilomètrescarrés par rapport à 2006.

le record de la plus petite surface de glace de l'océan Arctique jamais enregistrée a encore été battuen septembre 2007, avec une étendue de près de 50% inférieure à celle des années 1950-960 : 4,13 millions de km².

Il a été. »

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