Devoir de Philosophie

Dunlop-Pirelli

Publié le 19/02/2012

Extrait du document

Créée le 1er janvier 1971, l'union Dunlop-Pirelli, groupe anglo-italien, a réalisé en 1974 un chiffre d'affaires de 3,7 milliards de dollars. Employant 172 000 salariés, elle est le second producteur mondial de pneumatiques et d'articles dérivés du caoutchouc, après les deux sociétés américaines Goodyear (5,2 milliards de dollars) et Firestone (3,6)...

« des grarids producteurs americains et de Michelin, et s'attaquer au marche des Etats-Unis. 4 Premiere grande fusion °Wee depute Ia guerre entre une flrme brftannique et une societe du Marche commun, ('union Dunlop-Pirelli est accueiliie avec enthouslasme par les partisans de ('entree de Ia Grande-Bretagne dans la CEE.

L'alliance se conclut cur un plan d'egalite.

Dun- lop recoit des participations anent jusqu'a 49 Vo dens les societes du groups Pirelli et vice-versa.

Chacun reste majoritaire dans seaacthdtesipropres, conserve sa marque et se place sous une direction bicephale.

Le nouvel ensemble, present dans une trentaine de pays, dispose d'environ 200 usines. 5 Les difficultes economiques queconnatt Mane entratnent en 1971 et 1972 un deficit de Pirelli (86 mil- lions de dollars).

Dunlop decide en consequence de ne plus donner sa garantie financiers a la filiale ita- lienne du groupe.

L'union deraeure.

malt; hos comptes des deux parties sont provisoirement separes.

Paralle- lement, une reorganisation est entrepriae.

En juillet 1973. Pirelli adopts un plan quInquennal de redreesement.

Mat - gre Ia crise de I'industrie automobile et is haesse du caoutchouc, le deficit est MO.

Le retablissement de la solidaritt financiere entre Dunlop et Pirelli paratt de nouveau possible.

De son cote, Dunlop a vendu en 1974 son departeMant canadien itFirestone etcree aux Etats-Unis Dunlop-Aviation. des grands producteurs américains et de Michelin, et s'attaquer au marché des États-Unis.

4 Première grande fusion opérée depuis la guerre entre une firme britannique et une société du Marché commun, l'union Dunlop-Pirelli est accueillie avec enthousiasme par les partisans de l'entrée de la Grande-Bretagne dans la CEE. L'alliance se conclut sur un plan d'égalité.

Dun­ lop reçoit des participations allant jusqu'à 49% dans les sociétés du groupe Pirelli et vice-versa. Chacun reste majoritaire dans ses activités propres, conserve sa marque et se place sous une direction bicéphale.

Le nouvel ensemble, présent dans une trentaine de pays, dispose d'environ 200 usines.

5 Les difficultés économiques que connaît l'Italie entraînent en 1971 et 1972 un déficit de Pirelli (86 mil­ lions de dollars).

Dunlop décide en conséquence de ne plus donner sa garantie financière à la filiale ita­ lienne du groupe.

L'union demeure, mais les comptes des deux parties sont provisoirement séparés.

Parallè­ lement, une réorganisation est entreprise.

En juillet 1973, Pirelli adopte un plan quinquennal de redressement.

Mai- gré la crise de l'industrie automobile et la hausse du caoutchouc, le déficit est réduit.

Le rétablissement de la solidarité financière entre Dunlop et Pirelli paraît de nouveau possible. De son côté, Dunlop a vendu en 1974 son département canadien à Flrestone et créé aux États-Unis Dunlop-Aviation.. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles