l'economieeuropéenne

« plus avantageuses.

L’entreprise a agit de manière rationnelle étant donné les coûts salariaux bien plus faibles dans les pays en développement.

Malgré tous ces inconvénients, certains signes encourageants sont apparus grâce à l’Acte Unique entrée en vigueur en 1987 sous l’impulsion de Jacques Delors.

On définit des objectifs comme la lutte contre le chômage ou encore une politique de développement des régions retardataires sur le plan social. Le traité d’Amsterdam, ratifié en 1997, évoque également des idées sur le social européen notamment avec une « stratégie coordonnée pour l’emploi ».

Malheureusement les observateurs font toujours la même conclusion, la politique monétaire et la lutte contre l’inflation, porté par la Banque Centrale Européenne, ont beaucoup plus de moyens que la lutte contre le chômage. La phrase que j’ai choisi dans ce livre est la suivante : « L’Europe sociale sera alors le prochain grand chantier européen.

» J’ai choisi cette phrase car une cohésion sociale, des normes communes à tous les pays pourrait faire de l’Europe un espace social sans barrière, cela pourrait être une zone d’échange culturel dans toute l’Europe pour découvrir des traditions, des cultures… Pour résumé, jamais le social n’a constitué une priorité , l’Europe étant principalement concentré sur l’économie et la monnaie.

Les directions européennes n’énonçant que des normes minimales.

On peut donc supposer qu’un espace social européen n’est pas envisageable à court et moyen terme compte tenu des difficultés des systèmes sociaux dans les pays d’Europe.

Cependant, Figliuzzi pense que grâce au passage à la monnaie, l’Europe devra s’unir au niveau social. J’ai choisi ce livre car je voulais découvrir comment les liens économiques et sociaux fonctionnent entre les pays européens.

Il m’a relativement plu malgré un vocabulaire spécifiques et des termes parfois difficiles à comprendre.. »