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Les origines de la crise selon les classiques et Marx

Publié le 17/08/2012

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SAY distingue la valeur d’échange et la valeur d’usage. La valeur d’échange est le prix et la valeur d’usage est l’utilité pour satisfaire l’acheteur du bien. La seule limite minimum au prix est le coût de production. Say a une conception large de la richesse, la production étant une création d’utilité. SAY est célèbre pour sa fameuse loi des débouchés. Selon lui, c’est la production qui ouvre des débouchés aux produits. L’acte productif créé des richesses distribuées sous forme de salaires, rentes, profits, et qui servent par la suite à acheter les produits sur le marché. Ainsi, les sommes distribuées lors de la production sont égales aux sommes demandées pour consommer. De plus, comme la demande tend toujours à correspondre à l’offre, alors seules les crises sectorielles sont possibles et se résorbent par le libre jeu du marché.    En conclusion, nous rappelons tout d’abord le sujet de la dissertation qui est le suivant : « les origines de la crise selon les classiques et MARX «. Pour MARX, l’origine de la crise est le capitalisme en lui-même. Dans son célèbre livre Capital, il met en avant plusieurs conséquences : la baisse tendancielle du taux de profit, le chômage et la crise des débouchés. Il propose même comme solution, de remplacer le capitalisme par le communisme. Contrairement aux classiques, qui ne voient en aucun qu’un du même œil, le fait que le capitalisme soit à l’origine des crises. Ils pensent même que, du point de vu économique, c’est le meilleur système qui soit. Sur ce sujet, nous faisons donc face à une divergence d’opinions. Enfin, du moins à cette époque.

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« RICARDO publie en 1817, Des principes de l'économie et de l'impôt.

Il va montrer que même en l'absence d'avantages absolus, les pays ont intérêt à se spécialiser àcondition qu'ils détiennent avantage comparatif dans la production d'un bien.

De plus, celui-ci a mis en avant la théorie de la répartition et de la croissance.

La théoriemontre la manière dont les valeurs, qui sont les richesses crées à l'occasion de la production, vont se répartir entre les différentes catégories de revenus.

Ces catégoriessont : la rente (revenu de la terre), le salaire (revenu du travail), le capital (revenu du profit).

La rente est nommée le loyer de la terre.

Elle est la quantité de travailnécessaire pour produire sur la terre la moyen fertile.

Celle-ci tend à augmenter en période de croissance économique car les besoins de la population sont plus élevés,il y a donc une mise en culture de terres de moins en moins productives.

Le salaires est lui divisé en deux prix : le prix naturel et le prix du marché.

Pour le prix demarché, le salaire s'établit selon le rapport de l'offre et de la demande.

Pour le prix naturel, le salaire s'établit selon le minimum de subsistance.

Ce salaire peut êtredifférent selon les périodes.

Le profit est le revenu capitaliste et la partie non-consommée de celui-ci est l'épargne.

Cette épargne sera réinvestie dans la production.Dans ce cas, le profit est un revenu résiduelle qui apparait une fois les salaires versés.

Ensuite, RICARDO a montré une perspective d'un développement de la valeurdu travail incorporée.

Il conserve l'idée que c'est le travail est une source de valeur et de richesse mais il se démarque de SMITH, et va proposer la théorie de lavaleur du travail incorporée dans la marchandise.

Chez RICARDO, la valeur se détermine dans la production (exemple du paradoxe de l'eau et du diamant).

Ildistingue deux sortent de biens : ceux dont la rareté est la valeur et ceux qu'il nomme marchandise qui désigne l'ensemble des biens reproductible en grande quantitépar l'industrie. (3) Jean-Baptiste SAY (1767-1832) SAY distingue la valeur d'échange et la valeur d'usage.

La valeur d'échange est le prix et la valeur d'usage est l'utilité pour satisfaire l'acheteur du bien.

La seulelimite minimum au prix est le coût de production.

Say a une conception large de la richesse, la production étant une création d'utilité.

SAY est célèbre pour safameuse loi des débouchés.

Selon lui, c'est la production qui ouvre des débouchés aux produits.

L'acte productif créé des richesses distribuées sous forme de salaires,rentes, profits, et qui servent par la suite à acheter les produits sur le marché.

Ainsi, les sommes distribuées lors de la production sont égales aux sommes demandéespour consommer.

De plus, comme la demande tend toujours à correspondre à l'offre, alors seules les crises sectorielles sont possibles et se résorbent par le libre jeu dumarché. En conclusion, nous rappelons tout d'abord le sujet de la dissertation qui est le suivant : « les origines de la crise selon les classiques et MARX ».

Pour MARX,l'origine de la crise est le capitalisme en lui-même.

Dans son célèbre livre Capital, il met en avant plusieurs conséquences : la baisse tendancielle du taux de profit, lechômage et la crise des débouchés.

Il propose même comme solution, de remplacer le capitalisme par le communisme.

Contrairement aux classiques, qui ne voient enaucun qu'un du même œil, le fait que le capitalisme soit à l'origine des crises.

Ils pensent même que, du point de vu économique, c'est le meilleur système qui soit.Sur ce sujet, nous faisons donc face à une divergence d'opinions.

Enfin, du moins à cette époque.. »

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